Citations de Rebecca Maizel (51)
Honni soit qui mal y pense.
je voudrai vous dire que je ressentis le feu, l'enfer et la douleure.Ce serait la seule punition justepour toutes les vies que j'avais prises sans vergogne au cours de mon existence
mais ce n'est pas ce qui arriva.
tout ce que je ressentis, c'est un eblouissement d'or et de diaments de lumiere.
Je veux sentir le soleil sur ma peau
et savoir ce que c'est qu'être amoureuse
il me sembla entendre quelque chose avant de sortir dans l'aube .Je crois que c'étaient les genoux de Justin heurtant le sol. J'écartai le rideau et un éclair de lumière matinale me frappa en pleine face. Je levai les mains sur les côtés .
Je voudrais vous dire que je ressentis le feu, et l'enfer et la douleur. Ce serait la seule punition juste pour toutes les vies que j'avais prises sans vergogne au cours de mon existence .
Mais ce n'est pas ce qui arriva.
tout se que je ressentis, c'est un éblouissement d'or et de diamants de lumière.
FIN.
"- Pourquoi n'as-tu pas peur de mourir ?
- Parce que j'ai enfin vécu."
Je ne te déteste pas. Simplement, je ne veux plus avoir affaire à toi. Je veux vivre ma vie sans rituels, sans cercles de vampires sanguinaires tuant mes amis. J'aime mieux sortir avec des filles qui... qui restent en vie, tu vois.
la peine de la malédiction, tout remontait du fond de mon ame. en lieu et place de larmeq, les feux de l'enfer flamdaient dans mon corp. le soulagement des pleurs ne coulerait jamais plus sur mon visage.
- Lenah ? chuchota Justin.
Il me caressait les cheveux. La tête posée sur sa poitrine, j'écoutais son cœur battant revenir à une vitesse normale. Dehors, le ciel s'emplissait d'étoiles.
- Oui ?
Je somnolais sous ma couette chaude et moelleuse.
- Tu veux venir au bal d'hiver avec moi ?
- Bien sûr.
J'était sur le point de m'endormir.
- Justin ?
- M-mm ? fit-il, à peine plus éveillé.
- C'est quoi, la bal d'hiver ?
Il éclata de rire, si fort que me joue rebondit sur son torse.
J’allais me plonger dans le mode d’emploi d’un ordinateur portable lorsqu’un coup frappé à la porte m’arracha à ma méditation. Un pull noir, tout simple, qui avait appartenu à Rhode, pendait à un bras du fauteuil.
Je le passai par-dessus mon débardeur avant de m’enfoncer dans les profondeurs de l’appartement.
— Révèle-toi ! ordonnai-je à la porte fermée.
— Euh… me répondit timidement une voix masculine.
— Ah, pardon, je voulais dire : qui est-ce ?
Doucement, Lenah. Après tout, je ne présidais plus un cercle de vampires.
— Une livraison de voiture pour Lenah Beaudonte. J’ouvris d’un coup.
— Une voiture ?!
Rhode se leva. Il faisait toujours les cent pas quand il avait quelque chose de difficile à me dire. Un jour, au XVIe siècle, je lui avais demandé pourquoi. "Pour ne pas avoir à te regarder dans les yeux", m'avait-il répondu.
"- Qui êtes-vous ?
- Personne en particulier."
Le chagrin est une émotion que les vampires n'ignorent pas entièrement ; mais il leur fait plutôt l'effet d'un glissement, ou d'un changement dans la direction du vent. C'est une palpitation muette, un rappel parasite des douleurs emboîtées à l'infini qui définissent l'univers vampirique.
Je pivotai vers Rhode, dont les yeux étaient rivés au sol. Ses bras pendaient le long de son corps ; il aurait pu être une statue des temps moderne, tant il était immobile.
Je m'approchai et m'arrêtai à quelques centimètres de lui, comme je le faisais depuis des mois.
- Je vais t'embrasser, maintenant, lui chuchotai-je.
- J'espérais que tu dirais cela, me souffla-t-il en retour, ce qui nous fit sourire. Lenah, que ferai-je sans toi ? dit-il encore, et je sentis la chaleur corporelle qui émanait de lui.
Un mot unique me traversa, et je frémis.
- Vivre.
Nos lèvres se rencontrèrent ... la sublime pression de sa bouche contre la mienne. La chaleur de sa bouche, sa saveur à lui. Je suivis les mouvements de ses lèvres et la douce caresse de sa langue. Ses mains remontant dans mon dos m'envoyèrent des picotements jusqu'en haut des bras.
C'était meilleur que tout ce que j'avais imaginé. Mon Rhode embrassait avec douceur. Il prit mon crâne dans sa main et s'insinua plus loin dans ma bouche. Ne me quitte pas.
" -T'es vraiment pas ordinaire. Je veux dire, ta manière de parler... C'est... Tu es intelligente. J'aime bien écouter ce que tu as à dire."
"Parfois, c'est la décision la plus difficile qui nous libère."
Tout est dans l’intention
L'année passée, avec toute sa beauté, son bonheur et ses horreurs, avait fait de moi une autre personne. Je n'aurais pas dû survivre à ce rituel, et pourtant je l'avais fait. Ainsi que Rhode. Ce ne serait plus jamais comme avant entre Justin et moi. Trop de choses avaient changé. J'avais changé.
Je n'aimerais jamais Justin.
Je pourrais exécuter tous les gestes, porter les vêtements appropriés, le parfum qu'il fallait, et dire ce qu'il fallait dire. Mais jamais je n'aurais dû vivre dans ce monde moderne. Je n'étais pas faite pour cela.
Je vivrais ma vie pour Rhode, même si cela signifiait que je devais exister sans lui. Il était le seul. Mon âme sœur. Mon amour.
Même s'il ne me pardonnait jamais.
Même si tout était terminé.
A l'instant où le soleil se lève, il commence aussi à se coucher. Au moment de notre naissance, nous commençons à mourir. Toute la vie est un cycle, Tony.
Toutes nos erreurs restent-elles logées dans nos coeurs? Pouvons-nous jamais lâcher prise? Ce qui est gravé dans la pierre peut toujours être effacé. Car la pierre n'a pas d'emprise.
Même la pierre peut être brisée.