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Critiques de Roberto Ricci (86)
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Urban, tome 3 : Que la lumière soit...

Après l’explosion à laquelle nous avons assisté dans les dernières pages du tome 2, nous découvrons l’ampleur des dégâts. Cet incident a causé une panne générale d’électricité, laissant Monplaisir sans yeux (caméras), sans oreilles (micros) et sans voix. Comment A.L.I.C.E. et Springy vont expliquer la situation aux milliers de vacanciers de Monplaisir et ainsi éviter que la panique se déverse dans les rues de la Cité du plaisir ?



Luc Brunschwig développe son scénario avec poigne. Quand à Roberto Ricci, il continue à nous faire profiter d’une ambiance graphique absolument sublime. Il faut bien peu de pages pour reprendre le fil de cette lecture et replonger dans l’univers si atypique de la série. On croit avoir assisté au chant du cygne de ce système hyper-médiatique mais les rebondissements vont nous amener encore plus loin dans le cynisme et l’hypocrisie dont peut faire preuve une organisation.
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Urban, tome 1 : Les règles du jeu

Zachary Buzz quitte la ferme familiale le cœur gros. Il laisse là sa sœur et toute sa vie derrière lui pour un avenir encore incertain. Le train qu'il prend doit le mener à Monplaisir, un gigantesque complexe de loisirs, le dernier endroit où ça rigole dans la galaxie ! Une cité tentaculaire et amorale, dans laquelle tout le monde se déguise et fait ce qui lui plaît.

Lui, il y est attendu pour commencer son nouveau job de policier...



Urban est un projet qui tient particulièrement à cœur pour Luc Brunschwig. Fan d'AC/DC, voilà près de 30 ans (il avait alors 15 ans) que l'idée lui trottait dans la tête de faire une adaptation en bande dessinée de l'un de leurs titres : Sin City.

Malheureusement pour lui, il ne fut pas le seul a avoir cette idée, et c'est Frank Miller qui saisit le premier l'opportunité avec son œuvre au titre évocateur : Sin City (1994 - 2001). À ce moment là, Luc Brunschwig débutait à peine sa carrière...

Mais il voulait raconter son Sin City à lui. Les Humanoïdes Associés lui en laissèrent l'opportunité en 1999 avec Urban Games. Une aventure qu'il partagea avec Jean-Christophe Raufflet, Laurent Hirn et Laurent Cagniat au dessin et Caroline Van Den Abeele à la couleur. Malheureusement, aucune suite ne verra le jour à cet album.

C'est à Roberto Ricci que nous devons cette résurrection, puisqu'il demanda à Luc Brunschwig deux ans plus tôt s'il n'avait pas un projet qui dormait dans un tiroir...

Si nous ne connaitrons jamais la suite d'Urban Games, Urban se révèle être à son image : les mêmes idées y sont développées. Mais cette fois, gageons que le projet emmené par Futuropolis, et probablement bien plus abouti tant scénaristiquement que graphiquement, aille à son terme : pas moins de 6 tomes sont prévus !



Si vous écoutez bien les paroles d'AC/DC, vous devriez bien vous faire une idée de cette ville de tous les vices :

Diamonds and dust

Poor man last, rich man first

Lamborghini's, caviar

Dry martinis, Shangra-la

[...]

Ladders and snakes

Ladders give, snakes take

Rich man, poor man, beggar man, thief

Ain't got a hope in hell, that's my belief

[...]





La suite à lire sur BenDis...
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Urban, tome 5 : Schizo robot

Magnifique série.

Pour un coup de hasard à la médiathèque, ce fut un coup de génie.

Merci aux auteur et dessinateur pour ce "merveilleux" moment de lecture. Je mets des guillemets parce que l'histoire est loin d'être merveilleuse: âmes sensibles, s'abstenir. Pour le reste, jusqu'à la dernière page, c'est parfaitement maitrisé, immersif et bousculant.

Vous trouverez plus de détails dans les critiques précédentes.

A vivement conseiller.
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Urban, tome 4 : Enquête immobile

Ce quatrième tome nous éclaire un peu plus sur l'origine de la cité "Monplaisir". L'enquête de l'urban interceptor Buzz se poursuit malgré son enfermement et nous en apprend beaucoup plus sur l'histoire du créateur, Springy Fool, de sa terrible invention A.L.I.C.E. et de la fameuse Madame Colson, celle dont je vous parlais dans la critique précédente.

J'ai déjà eu l'occasion de mentionner que cette série ne faisait pas dans la dentelle et ce n'est pas ce nouveau tome qui fera exception. On creuse dans le sordide... Un peu trop peut-être. J'ai parfois une impression de sur-enchêre pour frapper le lecteur là où ca fait mal...

Pour le reste, tout est maitrisé et passionant jusqu'aux dernières pages qui nous annoncent un dernier tome tendu.

A lire absolument.
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Urban, tome 3 : Que la lumière soit...

Ce troisième tome devient plus dur, plus noir. On y constate que l'état totalitaire à exploitation en circuit fermé contrôle à peu près tout sauf l'incident qui a lieu à la fin du second volume dans la cité des mille plaisirs. Les dirigeants et notre héros sont perturbés. Zach, épris de justice se pose beaucoup de questions.

Le grand format de cette bande dessinée la rend toujours agréable à lire.



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Urban, tome 5 : Schizo robot

Through the Looking-Glass



[Résumé] Il aura fallu près de dix années pour parachever cette série d’anticipation qui a germé il y a des lustres dans l’esprit foisonnant d’un scénariste particulièrement talentueux et qui connut un faux départ en 1999 avant de renaître sous les crayons alertes et virtuoses de l’impressionnant Roberto Ricci… Avec Schizo Robot Luc Brunschwig nous entraîne de l’autre côté du miroir pour un final aussi glaçant qu’ébouriffant qui remet en perspective les évènements qu’il nous avait contés dans les tomes précédents…



Si on quitte à regret l’univers d’Urban, c’est qu’on s’était attaché à ces personnages délicieusement complexes et remarquablement bien écrits qui n’ont cessé d’évoluer et de se densifier au fil des péripéties de façon vertigineuse et bougrement cohérente…



Somptueux graphiquement, solidement charpenté et porté par une narration impeccable, Urban s’impose d’ores et déjà comme l’une des meilleures séries d’anticipation du neuvième art… A ne manquer sous aucun prétexte ! Mais sachez que vous n’en sortirez pas indemnes et, qu’à l’instar du Pouvoir des Innocents, l’histoire vous hantera longtemps après avoir refermé l’album…


Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Urban, tome 5 : Schizo robot

J'avais presque les yeux qui brillaient en tournant les pages. Il y a vraiment de belles choses qui passent dans les yeux des personnages de Luc Brunschwig. Il y a évidemment le dessin magnifique de Roberto Ricci. Et ce petit supplément d'âme qui vient des mots du scénariste-dialoguiste. C'est vraiment ce qui caractéristique aussi ses autres collaborations.

Typiquement le genre de titre et de série qui me réconcilie avec le format.
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Urban, tome 5 : Schizo robot

Clap de fin pour cette série SF marquante. On a, malheureusement, laissé depuis quelques tomes la dystopie (sauf de manière marginal à travers le parcours des protagonistes) pour plus d’actions et de mystères. Si les réponses aux questions soulevées par l’enquête ont toutes trouvées une réponse, certaines n’en demeurent pas moins un peu décevantes et obscures voir abruptes. On regrettera aussi le traitement un peu rapide et facile de certains caractères mineurs apparus plus tôt dans la série et qui n’ont jamais trouvé de réels utilités. Graphiquement, on est toujours sur du très haut niveau avec des personnages qui gagnent encore en précision, en expressivité et une mise en page toujours plus dynamique. Les décors fourmillent d’une quantité de détails assez démente et même après plusieurs lectures, on continue de trouver de nouvelles pépites. Rien que pour ça, la série mérite d’être lue et relue.
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Urban, tome 5 : Schizo robot

Très bonne conclusion pour peut-être la meilleure série d'Anticipation en BD de ces dernières années à mon gout. Le scénario est très bien ficelé, l'histoire s'étoffant de tome en tome. Et que dire du dessin qui est juste parfait, un gros bravo aux auteurs.

Une série à lire absolument pour tous les amateurs de S.F..
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Urban, tome 1 : Les règles du jeu

Un gros coup de coup de coeur pour cette BD. La cité de Monplaisir ressemble au monde de John DEEFOOL, détective de classe B, mais notre héros lui est atypique, il arrive de la campagne, pur et est confronté à une cité des plaisirs où tout est jeu ... d'argent. Le dessin met en scène avec habileté les écrans omniprésents. On est très vite impliqué et accroché dans le superbe scénario de Luc BRUNSCHWIG.
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Le manuscrit interdit, tome 1

1951 l'anthropologue américain Egon Bauer décrypte un manuscrit mentionnant la présence de Jésus au Tibet pendant plus de 10 ans sous le nom de Yus Asaf; or en ces temps de conflit avec les chinois se trouver dans un monastère bouddhiste tibétain de met pas à l'abri le vieil homme. En effet un régiment de l'armée chinoise arrive au monastère et incendie les lieux tuant au passage tous les moines et laissant Egon Bauer pour mort parmi les décombres. L'arrivée de ces brutes n'étant pas un hasard.



De l'autre côté de l'océan Elen sans nouvelles de son père depuis un moment s'inquiète et en parle à son oncle Dash, réalisateur à Hollywood, et lui annonce son désir de se rendre sur place pour faire des recherches. Après moults débats il accepte qu'elle parte sur place à la condition d'être accompagnée par un détective privé aventurier du nom de Kevin McBride.



L'idée du scénariste d'annoncer la présence de Jésus au Tibet m'a paru assez bizarre mais sert au moins une intrigue passionnante et une enquête qui promet mystère et rebondissements. Ce premier tome annonce simplement la découverte du manuscrit et met en place une atmosphère de suspicion et de problème géo-politique. Pas spécialement fan de ce genre de récit j'ai toutefois été surprise du résultat, les dessins quant à eux sont extrêmement riches et réalistes.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Urban, tome 1 : Les règles du jeu

Tout simplement ce qui ce fait de mieux dans le genre ! Prévu sur 7 tomes, on en est au 3ème, et on ne peut qu'être impatient tellement on est captivé par l'univers crée par Luc Brunschwig et incroyablement dessiné par Roberto Ricci.

On voudrait que ça ne finisse jamais !
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Urban, tome 3 : Que la lumière soit...

Le deuxième tome avait tapé très fort et le troisième ne fait pas dans la dentelle. Il y a bien longtemps désormais que nous avons compris que "Monplaisir", cet hybrise entre cité-état et parc d'attractions présentait une face cachée bien sombre. A l'image de son mentor, complètement bipolaire, la ville respire au rythme du spectacle à n'importe quel prix.

Le prix va être très fort et notre loyal agent Buzz va avoir bien du mal à en sortir indemne. Tous les personnages principaux et secondaires sont désormais lancés ans cette course morbide et seule l'apparition d'une certaine Madame Colton laisse un semblant de micro-espoir...



Toujours aussi convaincu par la qualité et la richesse de la narration, la mise en scène et le dessin. Je n'aurais qu'une micro-réserve sur l'omniprésence du dévoué Narcisse qui joue beaucoup de rôles...
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Urban, tome 5 : Schizo robot

Luc Brunschwig et Roberto Ricci y parviennent haut la main en offrant un épilogue à la hauteur et font de leur Urban une des toutes meilleures séries de ces dernières années.
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Urban, tome 1 : Les règles du jeu

Cet univers est aussi riche que glauque. Tout est sale, chaque cm² suinte la médiocrité et les rêves brisés.



La trame narrative est magnifiquement servie par un dessin fouillé, où chaque planche s'apparente à un "où est Charlie" puisant avec force dans notre pop culture (enfants des années 80/90, vous boufferez de la nostalgie à chaque case).



Une enquête au plus prêt des canons du genre noir, pervertis et moqués par le cadre dans laquelle elle se déroule : un parc d'attraction ultime sans limite ni tabou.



Plongez dans la laideur et l'égoïsme d'un tourisme institutionnalisé comme ultime garant de paix sociale, celui qui fait fi de l'exploitation humaine et qui sacralise le divertissement comme récompense suprême d'une humanité épuisée.



Et au milieu, l'histoire d'un "flic" un peu niais et un peu grotesque, qui pense être du côté du rêve pour mieux se dégoûter du cauchemar.



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Le manuscrit interdit, tome 1

Roberto dal Pra' nous plonge dans un polar ésotérique à la Da Vinci Code sauce italienne.

Dans les années 1950 un anthropologue Egon Bauer découvre à Lhassa un manuscrit qui pourrait changer la lecture des évangiles. Mais les chinois violentent les moines tibétains et Bauer échappe aux flammes grâce à des religieux qui le recueillent.

Sans nouvelle de son père, la fille de Bauer part à sa recherche accompagné du détective McBride.

Entre temps Le vieil homme écrit à sa fille pour lui annoncer sa découverte.

Une bande dessinée intrigante avec des planches couleur sépia qui donnent un coté rétro charmant.

Vivement la suite.
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Urban, tome 4 : Enquête immobile

Oui. Je lis Luc Brunschwig. Je le confesse. J'ai beau essayer d'arrêter, mettre des patchs, non, je replonge toujours dedans. C'est indécent, j'en ai conscience, j'y passe des heures, mais je n'arrive pas à décrocher. Ce n'est pas ma première, ni ma dernière avec le sieur, je crains n'être accro, le processus empire à chaque lecture.



Dans "La mémoire dans les poches", outre le fond social, la finesse du discours, le risque pris à parler racisme et religion avec intelligence, j'avais trouvé l'écriture vraiment intéressante et créative, ça fourmillait de phrases choc, de formules à extraire. J'attends que ma bibliothèque municipale investisse dans le dernier tome pour en pleurer d'émoi. Ça ne peut pas être manqué. Rien qu'à cette pensée, mon corps trésaille, mes mains tremblent, à tel point que j'en profite pour monter des œufs en neige.



Ici, littérairement parlant, non. Rien ne survole dans l'écriture. C'est rapide, fluide, efficace, jamais de phrase qui ne fonctionne pas, certes, on y croit, mais sans formules, je ne suis capable d'extraire une citation dont je me dise : "- Celle-ci va donner envie de se pencher sur le bouquin !".

Et pourtant. J'adore. Quelque chose prend. Tout fonctionne sur moi. Pensez comme je m'étonne. Serait-il devenu stérile du verbe, Luc ? Serais-je aveugle ? C'est vrai qu'à relire d'Ormesson et Johnny Hallyday, j'ai été déçu. Ne suis-je plus capable de discerner la belle prose du tout venant ? Est-ce que tout paraît fade l'hiver ?



Non. Simplement, la jubilation est ailleurs. Luc Brunschwig sait aussi s'effacer quand il le faut au profit de l'histoire. Je trouve la démarche courageuse. On se régale de l'uchronie évoquée, des détails des dessins, des arrières-plans, de l'ambiance, de l'atmosphère, on avale le tout avec friandise, et l'on attend le dernier tome avec espoir. Puisque ça ne peut pas être manqué, on vous dit !
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Urban, tome 4 : Enquête immobile

Avec Enquête Immobile Luc Brunschwig et Roberto Ricci confirment leur talent et leur synergie avec un quasi sans faute sur tous les plans. Seul problème, il faut maintenant attendre pour enfin connaitre la conclusion d’une des meilleures séries de science-fiction en BD.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Urban, tome 3 : Que la lumière soit...

La fin du tome précédent abandonnait non seulement le lecteur sur un « cliffhanger » de format, mais livrait surtout un message important : Luc Brunschwig ne compte à nouveau pas ménager ses personnages !



À l’aide d’une narration toujours aussi experte, distillant ses flash-backs avec précision et parcimonie, mon scénariste préféré apporte un nouvel éclairage sur certains de ses protagonistes, dont Ishrat et Springy Fool. Si l’histoire de cette jeune fille couverte de tatouages commerciaux nous est enfin révélée, c’est l’homme habillé en lapin blanc que Brunschwig choisit de placer sous ses projecteurs. En revenant sur son passé et sur la genèse de Monplaisir, il montre le vrai visage de l’homme qui anime cette cité à l’apparence idyllique. Un portrait qui n’a rien de vraiment reluisant…



L’éclairage apporté aux personnages se fait néanmoins dans la pénombre car la ville de tous les plaisirs est victime d’un attentat qui a provoqué une gigantesque panne électrique. Cette coupure générale plonge non seulement la mégapole dans un chaos total, mais contribue surtout à une mise à nu de toute la superficialité de cette société accro à la téléréalité, construite sur des inégalités sociales et donnant à l’argent le pouvoir de l’illusion du bonheur. Après avoir livré les regards innocents de Zach et du jeune Niels sur ce gigantesque parc d’attractions, l’auteur fait maintenant tomber les masques et les décors, laissant ainsi entrevoir toute la noirceur des coulisses peu glamour de ce paradis artificiel dorénavant privé de paillettes. Les effets de la panne d’électricité se font d’ailleurs également ressentir en dehors de Monplaisir, où le scénariste nous réserve aussi quelques rebondissements surprenants, qui donnent envie de découvrir la suite au plus vite.



Mais, ce sera pour le prochain tome, assez de révélations pour cette fois-ci, il est temps d’éteindre à nouveau la lumière, de refermer l’album… la lumière fût, mais ce qu’elle dévoila n’était que noirceur… assez d’émotions pour aujourd’hui… merci Luc !



Hola ! Attendez ! Rallumez ! J’ai oublié de vous parler du truc le plus important de cet album : Roberto Ricci ! Je vous ai déjà souvent dit que les planches de l’artiste transalpin sont à flinguer, que le travail minutieux qu’il réalise au niveau de l’architecture et des décors force mon admiration et qu’il parvient à plonger ce monde fait de néons, de paillettes et de couleurs dans une ambiance oppressante, tout en distillant la noirceur qui anime les coulisses de cet univers enjôleur. Et bien, il a fait encore plus fort lors de cet album. S’il profite comme d’habitude de ce monde costumé, qui met gratuitement des milliers de déguisements à la disposition de ses visiteurs, pour truffer ses planches de nombreux clins d’œil savoureux, il a cette fois eu la gentillesse d’intégrer mes enfants dans une des cases. Ainsi, page 53, vous pouvez découvrir Iben et Alec déguisés en Mega Mindy et Mega Toby, pour le plus grand bonheur de leur papa. Grazie mille Roberto !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Le coeur de l'ombre

Un trait charbonneux expressionniste du plus bel effet, magnifié par des couleurs exubérantes.
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