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4.07/5 (sur 1226 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

S.C. Stephens est une auteure de romance.

Après le succès de "Indécise" (Thoughtless, 2009), son premier roman, elle n'a cessé d'écrire. Les autres volumes de la série ont connu un succès similaire.

Elle vit dans le Nord-Ouest Pacifique avec ses deux enfants.

site officiel : http://authorscstephens.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/SCStephensAuthor

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Bibliographie de S.C. Stephens   (7)Voir plus

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Citations et extraits (188) Voir plus Ajouter une citation
- On ne peut pas juste redevenir amis ? l'interrompis-je. Se parler comme avant ? Se toucher ?
Je me levai pour faire un pas vers lui mais, en entendant mon dernier mot, il fit deux pas en arrière et déglutit en secouant la tête.
- Non. T'avais raison, ça peut pas marcher.
Je sentis les larmes me monter aux yeux. Ça me manquait tellement.
- Mais j'ai envie que ça marche, moi. Je voudrais juste pouvoir te toucher, te serrer dans mes bras. Rien de plus.
J'étais en pleine crise de manque et je ressentais un besoin irrépressible de sentir ses bras autour de moi et de poser ma tête sur son épaule. Il ferma les yeux et prit une grande respiration avant de les rouvrir.
- C'est impossible. Y a qu'avec Denny que tu peux faire ça. C'est un mec bien, lui.
- Toi ausi, t'es un mec bien.
Je repensais à la façon dont il avait pleuré dans mes bras : je n'avais jamais vu quelqu'un éprouver autant de remords.
- Je suis tout le contraire, murmura-t-il avant de quitter la pièce.
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Je savais que notre amitié était spéciale et qu’elle dérivait parfois vers autre chose. Je savais que ce qu’on faisait était dangereux stupide et qu’on jouait avec le feu. Mais je ne pouvais pas m’en empêcher. J’étais incapable d’arrêter de penser à lui ou de réprimer mon envie d’être près de lui, de le toucher, de le sentir contre moi
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Tu es vraiment adorable. Je t’ai déjà dit à quel point ça m’excite ? chuchota-t-il.
– La question serait plutôt : qu’est-ce qui ne t’excite pas ? répondis-je en riant
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-Kellan, Est-ce que nos vêtements sont par terre?
-Quels vêtements?
-Ceux qu'on n'est pas en train de porter.
Il sourit et roula sur le côté pour poser sa tête sur ma poitrine.
-C'est mon type de vêtement préféré.
Il se mit à me caresser et je fermai les yeux? Puis il prit la couverture entre ses dents et la tira pour exposer ma poitrine, et avant que j'ai le temps de réagir, il était déjà en train d'embrasser la pointe de mes. Qu'Est-ce que j'avais perdu, déjà?
-tu peux regarder s'ils sont par terre?
-Tu es sûre, dit-il sans quitter ma poitrine des yeux.
-Oui, répondis-en riant. S'il te plait.
Il glissa sa tête à travers le rideau et la rentra immédiatement, les sourcils froncés.
-il n'y a rien.
Je m'assis et fouillai partout, y compris sous le matelas. Rien.
-Nos affaire sont où, alors?
-Aucune i...
Il s'interrompit et soupira.
-Je vais le tuer.
Je remontai le drap sous mon menton pour couvrir ma poitrine.
-Griffin a piqué nos vêtements?
Il haussa les sourcils en guise de réponse. J'aurai voulu être mortifié et en colère mais c'était tellement normal que Griffin se comporte comme un abruti que je finis par éclater de rire. J'étais tellement contente que les choses soient redevenues "comme d'habitude" à cet instant que j'eus presque envie d'embrasser Griffin. presque.

lepetitmondedeceline.blogspot.fr
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C’est mieux de ne pas dire adieu, de juste partir, d’arrêter de mentir.
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Physiquement, il était l'incarnation de l'idéal masculin. Mais son cœur, son âme, sa tristesse, son humour, sa musique... c'était tout ça qui faisait vraiment battre mon cœur.
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Vous avez combien de jours de vacances à Noël?

-Je ne sais pas trop. Quatre ou cinq jours, peut-être une semaine, pourquoi?

Je haussai les épaules et passai mes bras autour de son cou.

-ça te dirait de venir avec moi à un mariage dans l'Ohio?

-C'est quelqu'un que je connais? Dit-il d'un air amusé.

-Juste une fille un peu fadasse et agaçante que la moitié de la planète déteste.
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A partir du moment où vous arrivez à l'école, on vous enseigne que le temps est constant. Que c'est une des choses qui ne changent jamais, sur laquelle on peut toujours compter, un peu comme la mort et les impôts. Il y aura toujours soixante secondes dans une minute, soixante minutes dans une heure, vingt-quatre heures dans une journée, et le temps passera à la même vitesse tout au long de votre vie.
Eh bien, c'est la plus grosse connerie que j'aie jamais apprise à l'école. La vérité, c'est que le temps fluctue. C'est facile de perdre des heures ou même des jours en un clin d’œil, et parfois, passer d'une heure à une autre est une torture. C'est un flux et un reflux aussi implacables que les marées, et tout aussi puissants. Les moments dont vous souhaiteriez qu'ils durent toujours sont ceux qui passent à toute vitesse, et ceux que vous voudriez abréger avancent avec la lenteur d'un escargot. C'est ça, la vérité. Et de mon côté, ma vie avançait en accéléré sans que je puisse faire quoique ce soit.
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Il leva les yeux au ciel, comme s’il ne comprenait pas comment quelqu’un sur cette planète pouvait l’aimer, encore plus quelqu’un de sa famille. Être aimé était quelque chose de nouveau pour lui, ou du moins, l’acceptation du fait d’être aimé. Il connaissait ce sentiment, pourtant : son groupe l’aimait, et Denny aussi, mais l’image qu’il avait de lui-même avait été faussée pendant tellement longtemps… Il avait fallu que je rentre dans sa vie pour faire évoluer les choses. Mais une vie passée à ne pas se sentir désiré par ses parents était difficile à oublier, et il en souffrait encore parfois.

Je me levai et le pris par la taille.

– Bien sûr qu’il t’aime… Tu es son fils.

– Ça ne veut rien dire.

Mon cœur se serra lorsque je vis son air sombre et je passai une main dans ses cheveux humides.

– Moi, je t’aimerai toujours.

– Promis ? demanda-t-il en me serrant contre lui.

– Promis, assurai-je en posant ma tête sur sa poitrine. C’est impossible de ne pas t’aimer. Crois-moi, j’ai essayé.
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Il nous déshabilla du regard, et je plissai les yeux : il voulait dire que le nombre d’allumeuses dépassait de loin celui des copines des musiciens.

– Mais nos copains ne savent pas qu’on est là, insistai-je. C’est une surprise.

Il eut un petit sourire en coin, sans bouger d’un millimètre.

– Alors quand ils vous verront dehors après le spectacle, ce sera vraiment une surprise.

J’allais répliquer quand Anna me lança un regard meurtrier pour me faire taire. Elle alla le rejoindre et lui caressa le bras, avant de s’humecter les lèvres aussi lentement et sensuellement que possible.

– On doit bien pouvoir trouver un moyen de s’arranger, murmura-t-elle d’une voix rauque. Impressionnant, ajouta-t-elle en passant sa main sur ses pectoraux.

Il lui sourit et posa les yeux sur son décolleté. Elle redressa subtilement les épaules pour lui offrir une vue encore meilleure et il décroisa les bras pour lui poser effrontément une main sur la poitrine. J’avais envie de lui décoller la tête, mais Anna agita un doigt dans son dos pour me faire signe de ne pas bouger.
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