Sara O`Leary

Une pépite à feuilleter pour tous les amateurs d'histoires à lire en famille.

En effet, l'album commence par une jolie question : "Raconte moi une histoire, Maman,"?

Les pages suivantes enchaînent un festival de tendresse visuelle avec un graphisme fin et sobre, mais aussi des références en cascades aux différents contes traditionnels pour enfants.

Vous refermerez cet ouvrage avec des petits yeux ronds noirs remplis d'imaginaire comme les petits héros !
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J'ai adoré cet album, destiné certes aux enfants mais qui plaira tout autant aux adultes (surtout si on aime les soeurs Brontë) : l'histoire est très douce et jolie, on y apprend mine de rien l'essentiel sur l'enfance et la vie de la fratrie, avec une langue accessible aux enfants. J'ai aimé le fait qu'à travers l'exemple des enfants Brontë, ce livre mette en avant la lecture, le pouvoir de l'imagination et de l'écriture. Mais aussi que, malgré une idée reçue, l'enfance des Brontë était joyeuse et leur vie à Haworth pas du tout désagréable. L'anecdote des petits livres faits par les Brontë est assez peu connue et je trouve ça très bien que cet album la mette en avant (on a d'ailleurs un mini-dossier documentaire à ce sujet en fin d'ouvrage très intéressant).



Un mot enfin sur les illustrations : c'est l'autre gros point fort de cet album, les dessins sont vraiment beaux, mignons voire "cosy" mais en même temps très riches : j'ai beaucoup aimé la planche en fin d'album qui rend hommage au célèbre portrait des trois soeurs par leur frère Branwell et les illustrations de cet album sont globalement tellement jolies qu'on se surprend à interrompre la lecture pour les admirer dans le moindre détail.



Bref, comme on pouvait s'y attendre, Au pays des histoires est un magnifique album et un superbe hommage à la fratrie Brontë. C'est sans conteste un de ces livres qu'on est heureux d'avoir dans sa collection et que l'on prend plaisir à relire de temps à autre.

Jules, comme beaucoup d’enfants, aimerait savoir comment était sa maman, petite ; quels étaient ses rêves et ses jeux, ses goûts et ses couleurs. Lui ressemblait-elle, haute comme trois pommes…? Souvent, il feuillette l’album de famille où il retrouve des photos d’elle ; c’est rigolo et charmant, étrange et émouvant de voir ainsi sa maman. Si petite, comme lui…



Un jour, les images ne lui suffisent plus, Jules a besoin d’entendre la voix de sa mère, d’écouter son histoire de petite fille. Alors elle raconte : mêle le réel et l’imaginaire, file la métaphore en se faisant aussi petite qu’une lilliputienne, parle de sa poupée qui avait la même taille, de ses bains dans l’abreuvoir à oiseaux, de sa gourmandise, de ses amusements, de ses passe-temps… Elle met en scène la petite fille qu’elle était, en saupoudrant sur ses propres souvenirs des petits bouts de contes, qu’on avait dû lui lire.



Une merveille d’album, tendrement beau. Des mots doux et sensibles, des dessins délicats au charme suranné. Un livre à glisser entre les petites mains de nos enfants et pourquoi pas leur raconter nous aussi des morceaux d’enfance…
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Exceptionnellement aujourd’hui je ne vous présente pas un livre lu avec Petit Ouistiti mais une petite merveille que je me suis offert sur les recommandations de @emjydingleybell. Un splendide album illustré qui raconte aux petits (et grands) l’histoire de la fratrie Brontë.

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Si je n’ai pas lu tous leurs romans (c’est un objectif) et que je ne les ai pas tous follement aimé (coucou « Les Hauts de Hurlevent »), j’ai toujours été fascinée par les trois sœurs, leur histoire. Et quand j’ai vu des petits bouts des illustrations, il m’a été impossible de ne pas craquer.

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Le livre est absolument splendide et je suis tombée amoureuse des illustrations de Briony May Smith. Je ne vous ai mis que deux pages en ritournelle parmi mes préférées pour vous laisser la surprise de la découverte mais j’avais envie de toutes les mettre ! Elles représentent parfaitement l’ambiance, la lande, elles collent à l’idée que je me fais d cette famille. C’est sombre et doux, c’est attachant et sincère, réaliste.

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L’angle choisi est également parfait. Celui de ces petites livres que sœurs et frère se créaient pour s’évader, s’amuser, s’offrir des rires et des voyages. L’origine très certainement des romans que nous connaissons maintenant. J’ai beaucoup aimé que l’autrice s’adresse à ses petits lecteurs et qu’à la fin elle leur propose de créer eux aussi leur mini-livre. Une véritable ode à la lecture, l’écriture et l’imagination.

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Une réussite totale que je ferai découvrir à Petit Ouistiti dans quelques années.

Ils sont quatre frère et sœurs. Charlotte, Branwell, Emily et Anne. Quatre enfants qui grandissent dans la campagne anglaise entourés de leur père et leur tante.



Malgré la tristesse qui a ébranlé leur foyer au presbytère, la fratrie Brontë mène une existence paisible entre jeux dans la lande et découverte de leur amour des livres. 



Ensemble, ils laissent libre court à leur imagination pour inventer des histoires et Charlotte fabrique un livre miniature pour sa sœur. Des mots d'enfants pour une belle histoire. 



Avec ce joli récit, nous découvrons l'enfance des Brontë. Une enfance simple mais riche en moments partagés.



Une histoire pleine de tendresse avec en clôture de la lecture quelques pages documentaires qui permettent aux plus jeunes d'en apprendre plus sur cette famille d'écrivains renommés. 



J'ai eu un coup de cœur pour les illustrations de ce livre. Des dessins de toute beauté, tout en douceur, que l'on prend plaisir à découvrir au fil des pages.



Un très bel album qui permet au jeune public de faire connaissance avec la fratrie Brontë et qui fait la part belle au pouvoir des mots.
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Sara O'Leary nous raconte l'enfance heureuse de la fratrie Brontë, faite de lectures, de fabrication de livres, et d'imagination partagée. Malgré le dénuement dans lequel la famille vivait, malgré la tristesse causée par la mort de leur mère et de leurs deux soeurs aînées, Charlotte, Branwell, Emily et Anne étaient 4 enfants joyeux et soudés.

À la fin du récit, un rappel de leur oeuvre et une frise chronologique permettent d'en apprendre davantage.

Les illustrations de Briony May Smith, comme toujours, sont touchantes et rendent impeccablement hommage à la grâce de l'enfance.

Lily est une adorable petite fille qui aime construire des bateaux à l'aide de cartons ou des cabanes avec des coussins. Elle peut ainsi laisser libre cours à son imagination et devenir une aventurière. Mais ce qu’elle aime encore plus, c’est plonger dans un bon livre et vivre d’incroyables histoires.



Le soir, sans sortir de sa chambre, juste avant de dormir, Lily visite de magnifiques contrées comme le Pays des Contes de fées ou le Pays des Merveilles. C’est fantastique ! Elle peut être une sirène ou un chevalier. Elle peut même voler !



Lily est l’héroïne de cette histoire mais elle est aussi l’héroïne de ses propres histoires. N’est-ce pas merveilleux ? En lisant cet album je me suis revue enfant construisant un navire et me rêvant pirate !



Cette histoire subtilement racontée par Sara O'leary est une ode à l’inventivité des enfants. Mais c’est aussi un bel hommage à la littérature jeunesse car Lily parcourt certains livres bien connus que vous reconnaîtrez sans peine. Elle nous donne d’ailleurs la liste qui compose sa petite bibliothèque en fin d’ouvrage ! [...]
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Si de la fratrie des Brontë, nous connaissons et lisons toujours les romans et poèmes des sœurs, Emily, Charlotte et Anne, on oublie souvent, ou ignore, leur frère Branwell et leurs fertiles écrits de jeunesse



Grands lecteurs de la bibliothèque paternelle, qui bien que Révérend possédait notamment la poésie de Byron, les enfants Brontë se sont lancés dans de fabuleuses épopées livresques à partir d'un cadeau reçu par Branwell.

Et ainsi naissent Les Juvenilia et les Royaumes de Glass Town, Gondal et Angria



Cet album nous les raconte et plus encore, par mots et par dessins. Le trait, en rondeur, restitue leur complicité dans un cadre austère mais libre, dans ce paysage de landes propices à l'imaginaire

Il s'enrichit d'un petit dossier sur la vie de cette fratrie inégalable

Un petit garçon est plongé dans l'album de famille. Il demande à sa maman de lui raconter une histoire qui évoque son enfance, elle se prête au jeu.

Chaque page est une invitation aux rêves et à l'imagination. L'auteure joue avec le prénom de la maman « Capucine » : elle était si minuscule que tout le monde l'appelait « Puce » car son prénom était trop grand. L'histoire fait référence à plusieurs contes comme : Boucle d'or ou encore Alice aux pays des merveilles.



Dans les souvenirs de cette maman s’entremêlent le réel et l'imaginaire. Petite, elle jouait à la corde à sauter avec de la laine, se rassasiait d'une framboise plus grosse qu'elle, dormait dans une moufle ou bien se faisait un chapeau d'une pâquerette. Son quotidien était un terrain de jeux et d'aventures. L'univers onirique et fantaisiste de l'ouvrage m'a totalement conquis.



A travers ce récit, l'auteure évoque le tendresse de la relation mère-fils et leur complicité.



Que dire des illustrations au crayon tellement elles sont magnifiques. J'ai particulièrement apprécié le petit coté suranné et vintage de la colorisation pour évoquer le passé. Le trait est très fin tout en délicatesse.



L'objet livre est très beau d'une grande sobriété et est doté d'une très jolie reliure en tissu.



Un album teinté d'une douce nostalgie pour retomber en enfance. Un grand coup de cœur qui me donne envie de découvrir les autres albums du duo Sara O'Leary et Julie Morstad.

Cette histoire rend à l’enfance sa part de conte et de mystérieux où tout est imaginable. Qui n’a jamais rêver de se faire petite souris ?



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Quand j’étais petite…, Sarah O’Leary, Julie Morstad, l’étagère du bas, 14€95

Une maman raconte son enfance à son fils, qui est plongé dans l'album photo.

Si on peut imaginer que les souvenirs réels servent de base à ce récit, on devine vite que le jeu prend le pas sur le réalisme et que les contes qui ont sans doute bercé son enfance s'invitent dans cette chronique du temps passé.


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★ Les livres que les enfants écrivent sont microscopiques, mais les mondes qu’ils renferment sont gigantesques



Des mondes de passion et de désir, de lutte et de liberté. Des paysages sauvages et des histoires tourmentées. Des personnages portant le poids de leur destin. Les histoires des sœurs Brontë font partie de celles qui transcendent les époques, continuant d'éveiller l'imagination et d'inspirer des générations entières de lecteurs. Et c’est dans leur enfance, dans les landes sauvages du Yorkshire, que réside l'essence de leur inspiration littéraire…



ஜ Au pays des histoires. L’enfance de Charlotte, Branwell, Emily et Anne Brontë ஜ Sara O’Leary Briony May Smith Gallimard jeunesse



A travers des illustrations envoûtantes et des mots terriblement inspirants, cet album jeunesse met en lumière l'importance de la lecture, l'incroyable puissance de l'imagination et la magie de l'écriture.



En découvrant les racines profondes de la créativité des sœurs Brontë, nous sommes invités à nous plonger dans l'univers magique de l'enfance, où chaque instant est une invitation à rêver, à créer et à explorer les horizons infinis de l'imagination.



Cet album jeunesse nous rappelle avec tendresse que les histoires les plus puissantes naissent souvent des rêves les plus simples et que chaque enfant détient en lui le pouvoir de créer des mondes extraordinaires avec rien de plus que son imagination et un crayon à la main.



A savourer avec passion, offrir avec générosité, et à partager sans limites 💫


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Quand la maîtresse demande à ses élèves ce qui rend leur famille unique, les enfants peuvent surprendre par leurs réponses, poétiques et surtout loin des clichés d’adultes. Ce n’est pas d’avoir deux mamans qui choque l’une d’entre eux, mais qu’elles chantent toutes les deux horriblement faux ! Famille d’accueil, famille monoparentale, recomposée, enfant élevé par sa grand-mère, famille homoparentale, parent handicapé, résidence alternée, enfant unique ou famille nombreuse… La famille se décline sans modèle figé et ce qui importe pour les petits, c’est bien que l’harmonie règne et que tout le monde s’y aime ! Un album qui explique aux enfants (6-8 ans) qu’il y a bien mille et une manières de faire famille, et qui peut aussi faire passer le message à quelques “grands”.
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La petite histoire

Lily est débordante d'énergie et d'imagination. Elle plonge dans les contes et crée, joue son monde, ses rêves.

Mon avis

Un album peps, rafraîchissant avec une petite héroïne de tous les jours avec des illustrations colorées pleine page très immersives. Un.joli album qui donne le smile.

Illustré avec dynamisme au trait d’encre et couleurs vives, relativement classique toutefois, l’album pétille de bonnes intentions dont il serait fort dommage de priver les enfants à partir de 5 ans.
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Jules demande à sa maman de lui raconter des histoires de quand elle était petite. Avant d’être une maman, elle s’appelait Capucine et, quand elle était petite, elle vivait dans une maison de poupée, se rassasiait d’une framboise ou encore dormait dans une moufle !



Après avoir découvert le duo O’Leary/Morstad avec Il était une fois Lily, ce sont les toutes jeunes éditions de L’Étagère du bas qui publient leur nouvel album en France. Cette fois-ci, à travers un texte sensible et poétique, elles évoquent la relation entre une mère et son enfant, et continuent à explorer l’imaginaire à travers les souvenirs de cette maman qui était aussi petite qu’un insecte et vivait des choses extraordinaires ! Des références à certains contes bien connus viennent émailler ce joli récit aux illustrations délicates, sobrement colorées et finement rétro. De jolies illustrations en page de garde et un dos toilé complètent ce bel album en hommage au partage entre l’enfant et le parent et à la tendresse et l’amour d’une mère pour son fils.
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À partir de 5 ans



On suit les aventures d’une petite fille inspirée par ses lectures. Ainsi au grès des pages, il est amusant de croiser et reconnaître les références aux contes européens. Lily nous rappelle que l’on peut être qui on veut l’espace d’une rêverie, alimentant ainsi le pouvoir de l’imagination sur le quotidien.

L’ensemble dégage une vraie douceur tant par le graphisme et les couleurs de l’illustration, que par le souvenir des fantaisies enfantines.




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Lily est une petite fille débordante d’imagination qui arrive à transformer un simple carton en un magnifique navire. Dans sa chambre, elle s’invente des histoires dont elle est l’héroïne et elle part vivre de folles aventures.



Elle se retrouve notamment dans la jungle de Mowgli, se rend au Pays des Merveilles ou nage comme La petite sirène.



Ce livre met en avant l’importance de la créativité chez les enfants. Il montre que développer l’imagination permet de s’approprier différentes identités, de nous évader dans d’autres mondes et participe à la construction de notre personnalité. C’est une étape essentielle chez les enfants.



Les illustrations sont douces, pleines de fantaisie et j’ai adoré suivre les péripéties de la vivante exploratrice Lily.



J’ai également beaucoup aimé retrouver à la fin du livre des photos d’enfant des deux auteurs ainsi qu’une petite liste des contes évoqués dans le récit.



Un album qui nous donne envie de retomber en enfance, qui célèbre l’amour de la lecture, des histoires et nous montre l’importance de l’inventivité.
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