Scott Cunningham

J’ai lu cet album sur les conseils d’un ami. Graphiquement, c’est très particulier : c’est un travail autour du noir, c'est une distillation d’encre, épaisse par moments, lumineuse à d’autres. On côtoie la notion de pointillisme en noir et blanc. Quel en Seurat le résultat ?

Il faut chercher les formes pour comprendre parfois le sens de certaines planches, et pourtant les expressions des visages semblent évidentes. Le cadre, le Zaïre à la géographie tourmentée, se prête bien à l’immersion car de l’eau né le Congo et son atmosphère étouffante : magie, animisme, sida et groupes armés.

Lumumba, Mobutu, Kabila, ils sont tous là en toile de fond, toile noire sur fond blanc bien sûr. J’avoue avoir peu goûté les explications politiques autour de ces leaders et leurs affiliations politiques.

C’est le côté onirique qui en fait un album particulier, même Si, Gnac (difficile à placer autrement) la politique est la clef de cette histoire. On y croise des personnages qui font obscurément référence à un équivalent africain du Kurtz, et même du Willard d’apocalypse now... Je l’ai Luce et compris (est-ce si sûr ?) comme un hommage à Conrad.

Au bout du fleuve Zaïre

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Ce tome regroupe les 4 épisodes de la minisérie initialement en 1999, dans le label Vertigo de l'éditeur DC Comics. Ils ont été réalisés par le scénariste Scott Cunningham, le dessinateur Danijel Žeželj, et le coloriste Lee Loughridge, avec des couvertures de Richard Corben. La présente édition correspond à la version française qui est en noir & blanc, sans les couvertures de Corben. L'éditeur Mosquito s'était lancé dans la publication de l'intégrale des œuvres de Žeželj et il était parvenu à obtenir les droits de cette histoire.



Dans le parc national des Virunga en 1997 au Zaïre, un groupe de grands singes est en train de se reposer assis dans la forêt, quand ils entendent un bruit de branche brisée. Un groupe d'homme armés arrive, et ils ouvrent le feu massacrant les gorilles. L'un d'eux s'allume une cigarette et la met dans la bouche d'un primate pour se marrer. Il y a un bruit de petite branche cassée, et le braconnier est comme aspiré dans les branches au-dessus de lui. Puis un deuxième. Puis le troisième alors que du sang commence à dégouter. Sept jours après dans une salle de réunion à Langley en Virginie, un gradé explique la situation à une douzaine d'agents. Il montre une photographie projetée au mur sur laquelle on voit trois pieux de bambou dans une clairière, chacun surmonté de la tête d'un des braconniers. Trois soldats Hutu, de ceux qui dirigeaient les camps de réfugiés au Zaïre. Les pieux sont disposés avec soin, alors que les têtes ont été violemment arrachées. Les corps restent introuvables. L'intervenant continue. Pour les États-Unis, les guerriers hutus ont toujours été un atout. Leur petit gouvernement exilé à la frontière rwandaise a permis de déstabiliser la zone, le genre de chaos sous contrôle, que les États-Unis encouragent. En 94, plus de deux millions de hutus se réfugièrent en une nuit dans la jungle. Ayant perdu la guerre contre les tutsis au Rwanda, ils ont dû bouger leurs fesses. Les tutsis voulaient du sang après le génocide orchestré par les leaders hutus. Là-bas, les guerres tribales riment avec épuration ethnique.



L'intervenant poursuit : suite à la disparition des trois soldats hutus, une expédition est partie à leur recherche. Elle n'est jamais revenue. Ces cent huit soldats ont fini par être retrouvés, enfin juste leur tête, toutes au sommet d'un pieu de bambou dans une clairière. Mobutu soutient les hutus et les États-Unis soutiennent Mobutu. Mais si un adversaire s'avérait une menace sérieuse, les États-Unis seraient obligés de reconsidérer leur position au Zaïre. Comme c'est l'Afrique, on pourrait penser que ce rituel sanglant est un coup de Kabila pour effrayer l'ennemi, sauf que par pur hasard un satellite a découvert que les pieux sont disposés selon un schéma précis qui forme un mot ou plutôt un nom : Devilin. Devilin DuPaul se lève et sort de la salle. Deux jours après, il est à bord d'un petit avion militaire qui va se poser à Kinshasa, accompagné par trois militaires. Thomas Glass le noir, spécialiste de la gâchette, Toni Lin asiatique et sniper, et un ancien combattant du Salvador.



En 1993, l'éditeur DC Comics officialise la réalité de plusieurs séries destinées aux adultes, avec la création d'un label appelé Vertigo. Au sein de ce label, se trouvent des séries indépendantes de toutes autres, des histoires courtes également indépendantes, et des séries de personnages dont la propriété intellectuelle appartient à DC, mais qui ont migré vers Vertigo, comme Swamp Thing ou Doom Patrol, ou d'une manière un peu différente Sandman. De temps à autre, l'éditeur donne le feu vert pour la migration d'un autre de ses personnages. C'est ainsi que Congo Bill bénéficie de la présente minisérie, qui ne nécessite aucune connaissance préalable du personnage. Ce dernier a été créé en en 1940 par Whitney Ellsworth & George Papp, et ses aventures ont été publiées de 1940 à 1960. Avec la séquence d'ouverture, le lecteur comprend que c'est ce grand singe Congo Bill animé par l'esprit d'une être humain, William Glenmore, qui a massacré les 3 soldats, puis les 108 autres un peu plus tard. Cela découle tout simplement du titre. En revanche, il ne s'attend pas forcément à l'exposé de géopolitique de la scène suivante.



Le scénariste a décidé d'inscrire son récit dans la réalité de la situation politique du Zaïre et de la République Démocratique du Congo à cette époque, avec le spectre du génocide des Tustsis au Rwanda qui a eu lieu du 7 avril au 17 juillet 1994. Il vaut mieux que le lecteur soit familier de cette situation avant d'entamer sa lecture. Tout d'abord l'exposé de l'intervenant est très lacunaire, et les remarques des personnages par la suite le sont tout autant. Pour saisir le contexte, le lecteur doit donc être familier des grandes lignes de l'histoire du Congo Belge, pouvoir situer Joseph-Désiré Mobutu / Mobutu Sese Seko président de la République Démocratique du Congo, de 1965 à 1997, Laurent-Désiré Kabila (président du Congo de 1997 à 2001), Patrice Lumumba (1925-1960), homme d'État congolais, ainsi que le génocide des Tutsis par les Hutus. Sous cette réserve, il peut alors saisir les enjeux politiques, et comprendre ce que représente la mission de Devilin DuPaul à Kinshasa, puis dans la jungle. Il établit alors le parallèle avec Apocalypse Now (1979) de Francis Ford Coppola. La structure de l'intrigue est similaire, sans que le déroulement soit identique. Il y a par exemple un passage au cours duquel DuPaul et ses soldats sont sur un bateau remontant le fleuve Zaïre, mais sans qu'il ne survienne les mêmes événements que lors de la remontée du fleuve Nùng par la capitaine Willard. Cunnigham n'est ni Joseph Conrad, ni Coppola, mais il parvient à développer la métaphore des États-Unis incarnés par Devilin DuPaul qui doivent revenir sur le site de leurs opérations et se confronter aux conséquences de leur ingérence.



En 1999, Danijel Žeželj a déjà une dizaine de bandes dessinées derrière lui et une personnalité graphique bien affirmée. D'un côté, le lecteur regrette un peu que la taille des pages ait été réduite d'un centimètre en hauteur et en largeur par rapport au format comics original, ce qui tasse un tout petit peu les dessins. D'un autre côté, il est plutôt satisfait que cette version soit en noir & blanc, sans les couleurs de Lee Loughridge, malgré les qualités de ce professionnel, car l'artiste joue beaucoup sur les contrastes entre des zones de noir solides et le blanc de la page. Pour le coup, il met en œuvre une vision d'artiste, à la fois en tant que réalisateur et directeur de la photographie. Son parti pris esthétique apparaît dès la première page, avec la silhouette des arbres et des tiges de bambou, et la silhouette massive des gorilles avec leur regard humain, ainsi que l'intense lumière qui semble effriter la dureté des contours. Lorsque les trois soldats viandards arrivent, ce ne sont que des silhouettes en contre-jour, avec l'éclat du canon de l'arme à feu gommant une partie de leur silhouette. Comme d'habitude avec les pages de cet artiste, le lecteur éprouve la sensation qu'il a sculpté ses personnages et ses décors au burin, pour obtenir un effet expressionniste, de formes primordiales, essentielles. Les visages sont fascinants dans leur aspect brut, sans fard, énigmatiques, ne révélant que peu de chose sur l'état d'esprit, et rien sur les pensées intérieures. Les individus deviennent indéchiffrables, insondables, avec une force de caractère singulière. Le calme apparent de Thomas Glass n'est pas identique à celui de Toni Lin : le sien est étudié grâce à une grande capacité de contrôle de lui-même, celui de Toni semble plus naturel.



D'un côté, le lecteur constate bien qu'il s'agit uniquement d'encre noire sur du papier, déposée par des coups de pinceau. De l'autre côté, il s'en dégage une force émotionnelle irrésistible qui implique le lecteur avec intensité. Il frémit en voyant le massacre des grands singes. Il ressent le même malaise que Thomas Glass quand il repense à l'assassinat qu'il a mené à bien, mais en tuant par mégarde un enfant, ce qui le hante. Il ressent son mélange d'amusement et d'intérêt lors de la séance de divination du futur avec la sorcière, ainsi que son cynisme quand il fait le compte de ce que cela lui a coûté. Il voit l'altérité des crocodiles, des sauriens qui n'ont rien de commun avec la race humaine, une force de la nature étrangère et terrible. Il est choqué par le décalage visuel entre Toni en bikini plongeant dans la piscine, et l'exécution sommaire qui se déroule à quelques mètres de là. Il ressent la force primale de Congo Bill quand il apparaît en entier dans le dernier épisode, une force spirituelle, une facette de l'âme de l'Afrique, sans aucune connotation colonialiste, sans une trace de condescendance occidentale.



Lors des presque 30 ans d'existence de la ligne Vertigo, de nombreux projets sortant de l'ordinaire ont vu le jour, souvent très réussis. Ici, le scénariste a l'ambition de mettre les États-Unis face à leur responsabilité dans les massacres en Afrique, à la suite d'une politique extérieure interventionniste. Pour ce faire, il se calque sur Apocalypse Now pour la structure de son récit, sans le même génie narratif, ni la même profondeur, mais en réussissant à tenir la métaphore tout du long de l'intrigue. Le récit acquiert plus de consistance grâce à la mise en image expressionniste de Danijel Žeželj, évitant le regard occidental sur l'Afrique, pour une narration visuelle moins littérale. En revanche, le récit peut paraître parfois un peu décousu si le lecteur n'est pas familier du contexte géopolitique et historique.

C'est une critique qui sera à mettre à jour une fois que j'aurai fini de le lire mais voilà ce que j'en pense pour le moment : Je cherchais une façon de m'initier à la wicca, j'ai toujours été attiré par la magie, depuis toute petite, la wicca ne se résume pas à ça, c'est une religion à part entière et c'est pour ça que plus jeune je ne m'y intéressais pas vraiment. Avec l'âge je me suis sensibilisée à mon rapport avec la nature, végétarienne depuis plus de 3 ans je prends toujours plus conscience des dérives de notre société, de l'écart qui se creuse entre nos besoins et nos désirs. Je sens, peut-être à tort que la fracture n'est pas très loin, j'essaye de discuter autour de moi mais je désespère, je dois l'avouer, je n'ai plus beaucoup d'espoirs pour l'avenir et quand ce genre de choses arrivent on essaye de trouver du réconfort où on peut. Bien qu'Athée j'ai toujours pensé qu'une force existait, celle de la nature tout simplement, j'ai toujours eu beaucoup de respect pour les puissances naturelles : l'océan, le feu, les grandes étendues, les déserts, la glace, bref vous avez saisi, toujours ce sentiment d'être face à bien plus fort que moi. Au milieu de toutes ces émotions et ces réflexions j'ai fait deux "rencontres" la première avec Déborah Harkness et ses livres "All souls" qui sont particulièrement versés dans la wicca, j'ai ressenti une affinité toute particulière avec sa conception de magie sans chercher à en savoir plus. Finalement au printemps derniers j'ai effectué une visite à Paris qui avait pour thème la magie. Notre guide était particulièrement versée dans la Wicca, j'ai enfin eu une vision globale de cette religion et eu très envie de mieux la comprendre, c'est ainsi que j'en suis venue à m'acheter ce livre. Il est pour l'instant très instructif, il reprend les bases des connaissances afin de permettre une pratique individuelle, il fait un peu le tour des symboles, de leurs significations, leurs liens avec les éléments et le Dieu et la Déesse. Un seul reproche pour l'instant : l'auteur prend toujours l'exemple de l'argent. A chaque fois il s'agit de demander à la Déesse de nous remplir les poches. Je suis déçu de son rapport à la chose, je cherche à fuir cette quête de l'argent (qui pour moi est l'un des poisons principaux de notre société) et je la retrouve là où je pensais en être débarrassée. Mais je vais passer autre pour en faire quelque chose qui me ressemble comme l'auteur nous le conseille d'ailleurs fort a propos.

Fin des années 90 au Zaïre, ça commence sur une scène de braconnage où le gibier ne sera pas finalement celui qu'on croit. Au point que la grande Amérique s'en mêle et envoie un commando. Plusieurs thèmes se mêlent dans ce roman graphique, les guerres ethniques en Afrique, l'ingérance des puissances étrangères, les relents de colonialisme, la sorcellerie.

Le scénario est solide, le dessin tout en noir et blanc convaincant. Laissez vous tenter, vous ne devriez pas le regretter.

La Wicca autrefois pratiquée en coven (c'est à dire "cercle de sorciers") est aujourd'hui de plus en plus pratiquée individuellement (il n'est pas toujours aisé de trouvé des adeptes dans sa proximité géographique et tout le monde ne souhaite pas intégrer de coven). C'est pourquoi Scott Cunningham nous propose ce livre initiatique pour une pratique de la Wicca individuelle. Trésor d'informations quant aux principes, aux déités, aux rituels et aux outils de cette religion, ce livre apporte toutes les informations nécessaires pour ceux qui souhaitent s'initier. Le dernier chapitre est consacré à son propre livre des ombres (recueil du sorcier) où il nous propose donc ses propres invocations et ses conseils concernant le pouvoir des herbes, huiles, encens, cristaux et runes. Très intéressant.

Ce livre est une BASE essentielle à la magie naturelle. Il contient l'essentiel des correspondances sur les plantes de façon synthétique tout en incluant des éléments de folklore importants. Une petite illustration permet de reconnaître plus ou moins facilement la plante concernée. J'ai été cependant un peu déçu de ne pas trouver certaines plantes (comme le thuya ou cèdre canadien) ; d'autant plus que je ne me sens pas très familière avec son système de correspondance, mais ça c'est entièrement personnel.

Ce livre de Scott Cunningham est un incontournable pour toute personne qui s'intéresse à la Wicca.

Il se divise en deux parties.

La première explique l'histoire de la Wicca, la roue des saisons et les différentes fêtes, qui peut se reconnaître wiccan et les objets rituels qui sont utilisés lors des cercles que pratiquent les magiciens wiccans.

La deuxième partie est un véritable livre des ombres où on retrouve des rituels, des recettes, des conseils, des informations pour une pratique quotidienne de la wicca dans sa vie.

A mettre entre toutes les mains des personnes intéressées!

Ce livre nous apprend à mêler la magie à notre quotidien et plus particulièrement à la nourriture ! Il offre des correspondances intéressantes sur la plupart des aliments que l'on consomme au quotidien sans se rendre compte de ce qu'ils peuvent nous apporter énergétiquement.

Ce livre offre globalement d'intéressantes recettes, mais j'ai été déçue par la partie encens qui est quasi-absente et les correspondances peu développées... On préfèrera regarder dans son encyclopédie des plantes magiques.

Le véritable intérêt de ce livre est la partie explicative sur comment utiliser les plantes dans la magie, sous toutes leurs formes (huiles, infusions, teintures, savons...) et aussi des DIY très complets sur toutes ces utilisations possibles. Un livre essentiel si vous désirez en savoir plus sur la magie des plantes.

Ce petit livre fournit une liste de petits rituels très simples et presque instinctifs à réaliser en communion avec les éléments. C'est une bonne référence pour en apprendre plus sur la magie naturelle/élémentale. J'ai particulièrement aimé l'inclusion des astres dans certains charmes.

Lorsque Silvana des éditions J’ai lu m’a proposé de découvrir sur livre, je n’ai pas hésité une seule seconde. Le sujet du livre m’a rappelé mon époque collège, lycée où je me suis intéressée à cette religion.

Le livre est divisé en trois parties. Une première qui nous apporte des données théoriques, une seconde concernant la pratique de cette religion et une troisième qui nous donne des exemples de rituels à pratiquer.

La première partie nous montre qu’il s’agit plus qu’une religion. En effet, d’après ce livre, j’ai l’impression qu’il est surtout question d’une façon de vivre. Dans tous les cas, religion ou façon de vivre, la wicca est très tolérante. Second point qui me reste en mémoire de ma lecture : la wicca est très présente dans notre calendrier. En effet, la chandeleur, Pâques, le 1er mai, la Saint-Jean ou encore la Toussaint font références à des jours de fêtes pour les wiccans.

La seconde partie explique comment pratiquer la wicca, comment devenir un wiccan. Il est clair qu’on ne devient pas adepte de la wicca du jour au lendemain, cette religion demande beaucoup de travail et de persévérance pour percer ses secrets.

Enfin la dernière partie, nous apporte des connaissances concernant certains rituels que l’on peut effectuer.

Bien que toutes les parties soient liées entre elles, il n’est pas forcément intéressant de le lire, comme je l’ai fait, du début à la fin mais plutôt en parcourant les passages qui nous intéressent.

L’auteur le répète régulièrement et je pense qu’il a tout à fait raison, nous n’avons ici que sa vision de la wicca, il faut donc garder en mémoire qu’il est possible d’être wiccan d’une autre façon que celle-ci. D’ailleurs, je pense qu’il aurait été intéressant que la partie théorie, sur l’histoire de la wicca, soit écrite par une personne extérieure à cette religion afin que celle-ci soit plus impartiale. En effet, l’auteur ne nous présente que les bons côté de la wicca.

Je conclurais en remerciant les éditions J’ai lu pour la lecture de ce livre très instructif même si je pense qu’il est à destination des personnes souhaitant devenir wiccanes et non à destination de personne souhaitant en découvrir la wicca.
Lien : http://mabiblio1988.blogspot..

J’ai été attiré par ce livre plus par de la curiosité et l’envie de savoir, que comme une nouvelle recherche de développement personnel de ma personne et de mon âme. Ma compagne a même été surprise quand elle a vu ce livre arrivé. J’ai entendu beaucoup de choses sur la Wicca et donc je voulais m’en faire ma propre idée.



Même si le début du livre à su m’intéresser, peu à peu l’auteur m’a perdu, par l’absurdité de ses propos. Mais au final pas vraiment de ses propos, mais de sur quoi repose la Wicca : à savoir du vent. Au début, j’ai pensé que ça allait rejoindre un peu le Chamanisme Celtique de Gilles Wurtz. Mais au final, la Wicca n’est qu’un tas d’ineptie.



La Wicca ne repose pas vraiment sur une logique religieuse avec de vraies divinités. Hormis une divinité masculine (le soleil) et une divinité féminine (la lune), la Wicca va puiser dans les autres panthéons. A savoir panthéon grec, scandinave, germanique, celtique et autres. Et en gros, on fait une salade avec tout.



J’ai trouvé les propos de l’auteur le plus souvent contradictoires. Par exemple pour communier avec les divinités le mieux c’est d’être nu, mais différentes robes de différentes couleurs existent, pour différents styles de communion. Ceci n’est qu’une des nombreuses incohérences liées à ce culte qui le plus souvent se mélange les pinceaux.



Quand on décortique bien la Wicca, on voit que rien ne tient debout puisqu’elle s’appuie par exemple plus sur le chamanisme celtique ou pratiques d’autres cultes sans vraiment avoir son développement propre.



La Wicca me fait penser aux méthodistes : à savoir crois en ce que tu veux. Comme le prônait si bien un certain Aleister Crowley voir Miriam Santos dite Starhawk qui elle appartient bien à la Wicca.



Au final j’en reviens au chamanisme celtique de Gilles Wurtz dont les écrits et les concepts sont bien plus sérieux.

(Attention, le titre et le nom de l'auteur comprennent des fautes de frappe)



Il s'agit du premier livre de Scott Cunningham que j'aie lu et j'ai immédiatement été séduite par son écriture simple et sincère. Cet ouvrage propose une introduction au symbolisme des éléments, et donne de nombreux rituels élémentaux à faire en plein ait ou chez soi. Un très bel ouvrage !

Un ouvrage fort pratique. On observe différentes plantes avec leurs vertus et les dangers quelle peut engendrer.

Les petites illustrations en noir et blanc sont belles et assez grandes pour qu'on puisse identifier la plante mentionnée.

J'ai apprécié le lire car je le trouve agréable à feuilleter. L'auteure explique bien et la lecture est fluide, ça se lit rapidement.



Maintenant, plus qu'à essayer !

J'ai lu une partie seulement de ce livre: la théorie.



Cunningham parle avec passion et amour de la Wicca.

Si au début, les écrits sont simples à comprendre, la suite est un peu plus complexe. J'ai eu l'impression que l'auteur se perd lui-même dans ses explications (alors qu'il était tout de même auteur d'une cinquantaine d'ouvrages sur la Wicca!).



J'aime beaucoup le fonctionnement de cette religion, son dieu, sa déesse, leurs principes, leurs valeurs, leur sens moral... C'est une religion que je qualifierai de "libre".



J'aime le côté "reconnexion avec la nature"...



Il y a juste la partie pratique qui me chagrine. Déjà, elle semble complexe à comprendre. Ensuite, et bien... il faut avoir tous les bons outils pour pouvoir faire les rites, prières, etc! Disons que tout objets ésotériques ont un coût exorbitant de nos jours.

J'aimerai vraiment m'investir à fond dans la Wicca mais sans les outils, ce n'est pas possible...



Cela reste cependant un très bon livre pour ceux et celles qui veulent pratiquer la Wicca seul(e).

Acheté de base pour simplement recherché des informations, ce petit livre renferme tellement de choses que l'on se prend très vite au jeu des tests.

Je l'ai adoré et laissé à portée de mains dans ma bibliothèque.

Il est très clair et très organisé, son seul défaut selon moi ce serait un manque d'illustrations mais vu qu'il s'agit d'un format de poche, cela reste normal.

Je recommande vraiment ce livre à tout ceux qui pratiquent la magie naturelle. Comme toujours, l'auteur est très pédagogue et son livre est parfaitement organisé. Il présente les éléments avec précision et poésie tout en proposant des sorts et rituels simples. Pour les non wiccans, ce livre est tout à fait adapté puisque que Cunningham met de côté ses croyances personnelles pour ne se concentrer que sur la pratique de la magie naturelle. En outre, la renommée de l'auteur est gage d'un certain sérieux dans le domaine et se démarque, en ce sens, des nombreux ouvrages que l'on peut trouver dans les rayons ésotériques.



Compte critique sur instagram :

@le_terrier_sous_la_lune

Ce livre est le premier que j’ai lu au sujet de la wicca, comme beaucoup d’autres personnes je pense. C’est un très bon livre d’introduction à cette religion/art de vivre et l’auteur est un auteur de référence dans le milieu du paganisme et la wicca.

L’auteur nous fait nous interroger sur notre monde et ce qui nous entoure. Les pistes données sont évidemment à approfondir.

La Wicca est certainement quelque chose qui m'appelait depuis des années sans que je puisse comprendre pourquoi. A travers ce livre j'ai su répondre à certaines questions dont je n'arrivais pas à trouver les réponses. Ou alors, trouver des explications dans certains de mes centres d'intérêts. Je suis loin d'être experte en la matière, mais ce livre m'a permis de mieux me comprendre, et de mieux comprendre la spiritualité (qui jusqu'ici, bien que très tolérante et ouverte, me laissait plutôt perplexe)