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Citations de Sebastian Bernadotte (20)


Ses yeux étaient gonflés, ses joues rouges. Même s'il n'était pas au meilleur de lui-même, je le trouvais toujours attirant.
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« J’écoutai de nouveau le morceau que j’avais enregistré quarante-huit heures auparavant. J’ajoutai un peu d’écho dans la voix. Cependant, je ne parvenais pas à recréer l’effet que j’avais en tête.
Je poussai un cri de frustration.
J’avais loué un bureau de la taille d’un placard. Il était très bien insonorisé, comme s’il avait été utilisé par des musiciens ou un tueur en série ne voulant pas attirer l’attention sur lui.
Le gros point négatif était qu’en été il faisait aussi chaud que dans un sauna, et qu’avec le froid du mois de novembre, j’avais l’impression de vivre dans un réfrigérateur. »
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Après tout, lorsqu'on est enfant, on prend pour argent comptant ce que nous disent les adultes.
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Je pénétrai dans la forêt avec un peu d’appréhension. Je comptais mes pas pour tourner aux endroits précis. Les arbres se resserraient et il se mit à faire assez sombre. L’ambiance n’était pas rassurante. On se serait cru dans un film. Un tueur pouvait surgir à n’importe quel moment. J’essayai de me rassurer en me disant que Thomas était le seul à pouvoir m’aider. Je me demandai juste si j’avais bien fait de prendre le livre avec moi. N’allait-il pas essayer de me le voler ? Est-ce que c’était comme le livre des ombres de Charmed, un must-have pour les méchants ?
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« Mais ce qu’il faut retenir de cette histoire, c’est que l’amour peut naître n’importe où. »
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Il me poussa sous le gui et dit :
- Tu devrais arrêter avec tous ces mensonges. Le Père Noël ne peut pas tolérer que sa femme soit sur la liste des personnes malhonnêtes.
- Je ne suis pas...
Il posa ses douces lèvres sur les miennes pour me faire taire. J'essayai de résister. Je ne voulais pas m'attacher à lui ou à quiconque de cette ville.
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— Tu repenses encore à ça ?
— Oui. Je suis sûr que tu ne m’as pas dit la vérité.
— Bertil, mon petit Skugga, il y a des choses que tu n’es pas capable de comprendre.
— Skugga ? m’étonnai-je.
D’où sortait ce surnom ?
— Ça ne te plaît pas ?
— Pour ce petit nom ?
— Parce que tu es comme une ombre. Tu es toujours là, même quand on ne te voit pas. Je trouve que ça te va très bien.
Je haussai les épaules. Évidemment, il ne pouvait pas me voir.
— J’ai envie de t’appeler comme ça, je peux ?
— Je ne pourrai pas t’en empêcher, n’est-ce pas ?
— Pas vraiment, en fait.
— Alors, va pour Skugga.
— Tu peux me trouver un surnom si tu veux.
J’avais envie de l’appeler « obsédé », « pervers », « toxique » ou encore « gros lourd » bien qu’il ne fût pas spécialement obèse non plus. Je me contentai de me taire.
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« — Will, je suis désolée.
— De quoi ?
Elle haussa les épaules.
— Tu es désolée parce que j’ai réellement rencontré un prince ? Je ne l’ai jamais cherché. Et puis qui épouse un prince de toute façon ?
— Tous les gens dans les contes de fées que j’ai lus, répondit Tracey.
Je m’allongeai sur le lit, et elle se blottit contre moi.
— Alors c’est une bonne chose que j’ai arrêté d’en lire depuis longtemps. »
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Les promesses n’engagent que ceux qui veulent y croire.
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Si tu contrôles tes émotions, tu contrôleras ton pouvoir.
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« – Parce qu’il n’était pas toi. Je suis tombé amoureux de toi le premier jour où je t’ai vu t’avancer [près] de moi à la fac, lorsque j’étais assis sur le banc devant l’amphithéâtre. » – Nouvelle 1 –
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« Même si je ne l’avais jamais vu, j’avais l’impression de le connaître par cœur et que quelque chose de spécial nous unissait. » – Nouvelle 2 –
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J'attendais comme un animal qu'on emmène à l'abattoir. Je savais que l'inévitable allait arriver, mais j'ignorais à quel moment précis il se défoulerait sur moi.
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Ce n'était pas un baiser, mais ce compliment me faisait du bien.
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Est-ce que tout ceci n'était pas un jeu du chat et de la souris ? Si j'étais distant, il se rapprochait et si je succombais, il s'éloignait.
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- Cela viendra. Je sais que tu es constamment en train de te remettre en question. Tu y arriveras. Je resterai à tes côtés, pour que tu réussisses enfin à voir celui que j'ai en face de moi. J'irais où tu iras.
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Elle passa sa main sur son entrejambe de manière plus qu’équivoque. En moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire ils étaient tous les deux nus sur le lit en train de s’envoyer en l’air. C’était bestial. Elle faisait ça comme un automate. Tous ses gestes étaient calculés pour aller directement au but.
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On me trouvait assez mignon, mais je n’étais pas un canon de beauté. Lorsque je regardais les photos de mes parents, ils auraient tous les deux pu faire carrière dans le mannequinat. Pourquoi étais-je plus « quelconque » qu’eux ?
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Devais-je signer un pacte avec le diable ? Où est-ce que je devais me procurer une baguette magique ? La seule certitude que j’avais à l’heure actuelle, c’était que je ne semblais plus sentir les effets du froid. Je percevais l’humidité ambiante, je sentais que la température avait baissé, mais je n’avais pas froid. Je me demandai pourquoi j’étais devenu insensible à la température. Est-ce que c’était pareil pour la chaleur ?
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Jenny Jonsson était canon. Sa peau couleur chocolat au lait était parfaite. Dans ses grands yeux noirs, on pouvait voir que c’était une forte tête. Elle avait de longs cheveux qu’elle lissait pour les empêcher de lui donner l’apparence de Diana Ross. Elle s’habillait toujours avec classe. Je ne l’avais jamais vue en jean ou en jogging. Elle portait soit un pantalon de tailleur soit une jupe crayon.
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