Sebastien de Castell

Aussi bien que le premier. J'écris cette critique un peu tard, donc je ne connais plus les détails, mais j'avais bien aimé l'intrigue, l'espièglerie ambiante, les aléas de la magie et les personnages noirs. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas continué la série... Mystère !

Chaque tome m'a transporté. Que ce soit l'univers, l'intrigue, l'humour ou les personnages, j'ai passé de très belles années de lecture accompagné de Kelen, Rakis et Furia.



Ce n'est pas avec tristesse que je quitte cette aventure, mais avec un sentiment d'accomplissement.



Notre "héros" grandit au fil des ans, devient plus mature moins pédant. Il s'affirme en tant qu'individu, avec ses forces et ses faiblesses qu'il apprend à accepter.



C'est pour moi un classique à faire découvrir à son entourage.
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Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j'avais présenté le premier tome de Furia Perfax il y a un an à peu près. Je l'avais adoré malgré ma non connaissance de la saga L'Anti-magicien qui introduit le personnage et le monde dévasté dans lequel progresse Furia.



Je n'ai pas comblé mes lacunes vis-à-vis de la sage initiale, MAIS ce second tome s'ancre dans une quête initiatique très intéressante qui invite à apprécier d'autant plus Furia et le World building dingue qu'il y a derrière.



J'apprécie toujours autant ce personnage féminin fort, déterminé, que l'on voit clairement grandir et progresser au fil des chapitres. Qui après avoir reçu l'enseignement d'un paps devient elle aussi une figure parentale pour quelqu'un malgré son jeune âge.



Je l'ai tout de même moins apprécié que le premier tome pour la simple et bonne raison qu'il est tout de même plus introductif. Mais je vais me procurer l'anti magicien c'est l'un de mes objectifs littéraires de l'année puisqu'il y a un vrai petit air à la Mad Max (j'adore la vieille version )



Avez-vous lu L'anti-magicien ? Ou commencé la saga Furia Perfax ? Vous tente-t-elle ?

Une conclusion à la hauteur de la saga !



Toujours aussi intelligent, surprenant, réfléchi et inventif.

Ce tome-ci part à la découverte des Berabesq et, comme chaque tome, il aborde des questions universelles avec beaucoup de tact, entre deux touches d'humour. Un vrai régal.



Kelen, Furia et Rakis vont me manquer, tout comme la plume de Sébastien de Castell.

C'est tellement triste de devoir quitter cette saga.

J'ai adoré suivre kelen et rakis dans leur aventures du tome 1 au tome 6. C'était un pur plaisir, jamais été déçue.



Ce tome en plus nous ramène aux origines du tome un avec un retour dans les territoires jan'tep. Et de voir les personnages que l'on a appris a connaître se retrouver au même endroits, pas forcément heureux d'être là, ça fait un petit quelques choses.



J'espère que Furia perfax me procurera autant d'émotions que la saga principale

Moi aussi, j'ai cru qu'on allait suivre les affres d'un ado qui entre à l'école et déploie des trésors d'intelligence pour tenter de cacher son manque de magie. Bah non. C'est beaucoup plus travaillé. On y parle notamment de secrets de famille, de politique (intérieure et extérieure), de mensonges. Et les personnages secondaires, bien loin de se satisfaire de cet épithète, volent souvent la vedette : toujours le bon mot, la petite plaisanterie, la punchline qui te met au tapis. Furia remet carrément en cause toutes les certitudes de Kelen, le poussant à se questionner sur le sens réel de la magie. Rakis, quand à lui, profère toutes sorte d'insultes plus drôles les unes que les autres.

Kelen est un jeune homme en plein questionnement, intelligent, certes, mais par dessus tout persévérant, un Joe-la-débrouille plein d'esprit et de courage, McGyver de la fantasy. Donc plutôt qu'une montée en puissance du protagoniste, on est plutôt sur une prise de conscience des manigances, des mensonges et des injustices. Une série qui promet d'être riche en thématiques, des personnages hauts en couleur, un contrepied par rapport aux publications actuelles... je dis go !

Quel plaisir de se replonger dans les aventures de Kelen, Furia et Rakis dans ce second tome de l'anti-magicien!



J'avais un peu laissé traîner la suite car le premier tome m'avait plu mais sans plus et je regrette un peu de ne pas m'être motivée plus tôt pour m'y remettre. J'ai trouvé cette étape de l'histoire très complète, à la fois le début d'une quête qui me semble finale et titanesque mais également une belle avancée dans notre découverte de l'univers et des différentes parties qui le composent.



J'ai aimé retrouver nos anti-héros, aussi attachants qu'intriguants (surtout Rakis, qui me fait énormément rire). Je me suis vraiment attachée à chacun d'entre eux et j'ai aimé découvrir de nouvelles têtes au cours de la lecture.



C'est un roman qui le lit tout seul et que je pourrais presque trouver feel good. C'est un peu paradoxal car l'histoire est sombre et truffée de drame et de danger mais le ton désinvolte et humoristique prends tellement le pas qu'on l'oublierais presque! Je me suis lancée dans la suite sans plus attendre (je ne ferai pas la même erreur deux fois!) et je ne peux que recommander cette saga!

J'ai trouvé ce tome un peu en dessous des précédents car l'intrigue m'a moins convaincu. Mais il offre une conclusion satisfaisante à ce cycle. On retrouve avec plaisir les personnages en particulier Kelen dont l'évolution à travers les 6 tomes est la grande force de cette série pleine d'humanité.

Une nouvelle fantasy YA qui change de ce que j’ai l’habitude de lire. Avec une héroïne qui subit dès le début de l’histoire d’horribles choses. ⚕️



On voit l’héroïne avancer tant bien que mal dans la vie après une malediction d’un clan ennemie qui la force à vivre comme une pariât. 💔



J’ai trouvé la plume très poétique malgré pas mal de longueurs qui m’ont quelque peu frustrée🙁



J’aurai aimé en apprendre plus sur sa vie avant la mort de ses parents et surtout plus sur comment était la vie au sein des Mahdeks. 🏜️

Je ne sais pas trop pourquoi puisque je n'en avais jamais réellement entendu parler, mais à la lecture du synopsis j'avais de grandes attentes pour ce livre. Les groupes de messagers/magistrats du roi est l'un de mes sujets favoris de mes dernières années alors j'espérais vraiment un autre coup de cœur, mais ce n'est pas réellement ce qui est arrivé. Si le départ est intéressant, nos trois manteaux sont considérés coupables d'un meurtre qu'ils n'ont pas commis, le comble étant que la personne décédée était celle qu'ils devaient éliminer après cela, ça s'est détérioré (Et d'ailleurs, après ces premières pages on ne revient que très brièvement sur ce meurtre initial). Si j'ai bien aimé l'ambiance de cape et d'épée qui était rafraichissante face au setup médiéval classique, j'ai trouvé que le worldbuilding en général manquait cruellement de développement. On a à peu près pas d'information sur le monde dans lequel vit Falcio, outre que le pays est divisé en différents duchés. Également, les personnages sont vraiment trop peu développés à ma convenance, tant personnages principaux que secondaires et vilains, et je n'ai particulièrement pas aimé les vilains avec leur cruauté exagérée (et le fait aussi qu'ils semblent manquer d'intelligence par moments, genre ils n'ont vraiment pas une manière réaliste de soumettre le peuple il me semble, ils vont se ramasser avec une révolution sur le dos assez rapidement...). Finalement, pour ce qui est de l'histoire, j'ai trouvé l'idée de départ intéressante, puis j'ai bien aimé la tentative de sauvetage d'Aline à Rijou et tout ce qui suit dans la ville, mais je ne suis réellement pas fan de la fin qui semblait beaucoup trop facile. Bref, beaucoup de commentaires négatifs en somme, mais en règle général, j'ai quand même apprécié le divertissement apporté par la lecture.

Furia Perfax (T1, Maudite) est un spin-off qui raconte l'enfance du personnage charismatique de la saga Antimagicien du même nom.



Nous sommes entraînés dans les pas de cette orpheline, seule survivante de son peuple, et poursuivie par des mages maléfiques qui lui ont tatoué une malédiction dans sa chair.



L'histoire est aussi addictive que celle de l'Antimagicien, mais je l'ai trouvé aussi bien plus sombre. En dépit du style percutant légèrement cynique qui est toujours présent, il manquait la légèreté des réparties du chacureuil et de l'humour acide de la Furia du futur pour équilibrer le ton général.



Comme dans les autres romans, les péripéties et les rencontres du personnage principal le font grandir et évoluer, avec une morale qui conclut l'histoire.

Ce préquel permet de mieux comprendre pourquoi quelques années plus tard Furia prendra sous son aile un jeune garçon maudit et poursuivis par des mages tueurs, lui apportant le soutien qui lui a fait défaut dans ses jeunes années.



En quelques mots, un spin-off réussi, même si un peu moins drôle que la saga Antimagicien.
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De mieux en mieux !

L'histoire dans ce tome était très bonne, surtout que cette fois l'enjeu était plus grand.

On en apprend plus sur la philosophie argosi qui déteind sur Kelen de plus en plus. Et on en apprend aussi davantage sur les personnes qui souhaitent sa mort.

Tout était bon.

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Lu en VO!



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La fin d'une saga chouchou : beaucoup de charge émotionnelle donc je vais clairement avoir l'objectivité d'un prof à l'oral du bac.

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C'est un dernier tome dans la veine des précédents : j'aime toujours autant Kellen et Regis, c'est rempli d'action et de réflexions.

La politique est assez prédominante également.

C'est un livre qui ne tombe pas dans le cliché de la grande bataille finale, je vous préviens, et je trouve ça plutôt rafraîchissant. Ca joue beaucoup sur les relations que Kellen a construit tout au long de son périple.

Et la fin est satisfaisante : je sais que c'est mieux si ça se finit et en même temps, il y a une partie de mon cerveau qui ne peut s'empêcher d'en vouloir encore et encore.

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En conclusion, je suis en PLS, appelez l'ambulance. Je vais aller me réconforter avec le spin-off.

Deuxième tome de L'Anti-Magicien, nous retrouvons Kelen accompagné de Furia et Rakis, et cherchant un remède contre l'Ombre Noire.



Dans ce tome, ils vont rencontrer de nouvelles personnes, et vont continuer leur recherche concernant ce dont est atteint Kelen.



Ce que j'aime bien ici c'est que le tome est une intrigue complète en soit. On rencontre des personnages avec des objectifs, une autre Argosi également, et un nouveau lieu.



Je trouve l'écriture fluide et légère, cela se lit facilement, et j'ai bien aimé l'intrigue de ce tome.



Une chouette suite en résumé.

Cette semaine je me suis (enfin) relancée dans la lecture de l’Antimagicien et… qu’est-ce que j’aime cette saga ! Ce tome 3 était encore une fois assez lent dans l’ensemble, mais très drôle et très frais ! On en découvre plus sur l’intrigue, qui va devenir de plus en plus sombre j’ai l’impression et Kelen se découvre petit à petit. Rakis reste mon personnage préféré 🥰



J’ai presque lâché une petite larme à la fin 😱



J’ai hâte de continuer ma lecture et de retourner dans cet univers pour ensuite découvrir la saga sur Furia Perfax 🥰

Quelle déception !

J'ai pourtant adoré cette saga, les quatre premiers tomes étaient vraiment top (un peu moins le 3 mais bon, le 4 avait clairement tout rattrapé)... Le tome 5 ne m'avait pas beaucoup convaincu mais alors clairement le tome 6 ... C'est donc ça la fin de cette saga ?



Une intrigue bizarre autour d'un dieu que Kelen doit absolument tuer (on a bien compris que tout le monde le lui demande !) et quand enfin il le trouve ... s'ensuit une discussion loooongue à un moment franchement pas opportun ... il embarque le gamin et puis ? Et puis plus rien ! On apprend le sort de ce gosse en deux lignes à la fin histoire de conclure un minimum cette intrigue !



Je n'ai pas du tout aimé cette réunion familiale, Kelen m'est sorti par les yeux pendant toute la longueur du tome ... Heureusement qu'il y avait Rakis ! Finalement il est le seul intérêt de cette saga...

Je refaire cette saga et très honnêtement je n'irai pas lire celle qui concerne Furia ... Je n'ai aucune envie de retourner dans cet univers - qui m'avait pourtant beaucoup plu au départ !

J'ai adoré suivre de nouveaux les histoires de nos 3 anti héros, le mage sans pouvoir, l'argosi à la philosophie étrange et le chacureuil menaçant. Comme toujours ils perdent beaucoup de petites batailles mais continuent à se battre. Ils passent de situation catastrophique en gros bourbiers. La magie Jan Tep au centre de manipulations politiques, une académie pour tous, et beaucoup de truands...

Aujourd'hui je vous parle de "Furia Perfax, tome 1 : Maudite" de Sébastien De Castell et reçu en Service Presse de la part de Gallimard Jeunesse.



Et c'est une petite bombe!

J'avais un peu oublié le pitch, j'avais quelques doutes concernant le fait que l'histoire soit rattachée à"L'Anti-Magicien" que je n'ai pas lu, j'avais peur de me sentir un peu perdue.



Je peux vous rassurer tout de suite, ce livre vit sa propre vie, m'a accroché et projeté dans son univers avec une terrible efficacité!

C'est un livre jeunesse, mais je pense qu'il peut être lu par toute personne aimant les univers durs, cruels, sans pitié et sortant de l'ordinaire!

Sur fond de génocide, le racisme est ultra présent et la manière dont on découvre l'histoire de Face de Rat donne tout de suite le ton: ici l'espoir n'est qu'une légende.



Sa malédiction et la manière dont elle est jetée nous expédie tout de suite dans un puits de noirceur et de découragement palpable.

Impossible de ne pas pester, se sentir révolté, impuissant, face aux obstacles et retour de fortune de notre héroïne qui se fait malmener dans tous les sens.

Les malheurs de Sophie et Rémi sans Famille, sont des petits joueurs à côté!



Le pire, c'est que ses bourreaux sont persuadés d'agir pour le meilleur, de faire le bien, ajoutant à l'injustice et au sentiment de rébellion.



Les chapitres et le rythme sont percutants, la mémoire hésitante et incomplète de l'héroïne ajoutant un aspect étrange au récit et incarnant ses traumatismes, en font une histoire aux multiples facettes.

Une de ces facettes est incarnée par la philosophie d'un des protagonistes qui donne une dimension philosophique et douce à ce récit au parfum de vengeance et de solitude.



En bref: Des sujets forts, une héroïne qu'on ne veut pas lâcher, une esthétique et une philosophie tirée du tarot, un très chouette équilibre entre le noir insondable et l'éclat du jour, pour moi ce roman garde quand même une teinte d'un gris orageux.

Un titre sombre et nuancé que j'ai dévoré, voulant savoir si Face de Rat allait réussir à sortir la tête de l'eau!

Pour commencer, je dois préciser que je n'ai pas lu la saga "L'anti-magicien", dont ce roman est le premier tome de la trilogie prequel autour du personnage de Furia.



On y plonge dans un univers riche, mais cela ne m'a pas gêné pour tout assimiler.



On découvre donc la vie (et la jeunesse) difficile de Furia (11 ans au début du roman), qui tente de survivre malgré les galères.

Entre l'errance, la faim, le désespoir, la solitude et les mauvaises rencontres, la jeune fille courageuse de relève tant bien que mal et poursuit sa route.

C'est un personnage avec un sacré caractère, auquel on s'attache vite !



Un jour, son chemin va croiser celui de Durrak Lebrun, et sa vie sera davantage chamboulée...



J'ai beaucoup aimé leur relation maître / apprentie bienveillante, leurs conversations drôles ou philosophiques et les magnifiques réparties de Furia...!



La plume de l'auteur est très sympa, c'est fluide à lire, avec des touches d'humour.

Les chapitres sont courts et on enchaine vite les pages, en suivant l'incroyable évolution de la jeune fille.

J'ai juste trouvé dommage que la belle carte soit coupée avec la reliure...



Un roman fantasy captivant dès 13 ans, mais avec un côté sombre et dur également. On est totalement immergé dans ce cruel univers.

Je suis curieuse de découvrir la suite des aventures de Furia !
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