Séverine Vidal

J'ai bien aimé, ce livre parce que il y a de l'amour.Je recommande sincerement ce livre.

Rafaèle et Colombe s'aiment à la folie mais leurs parents sont contre cette relation ,surtout quand ils apprènes que leurs enfants veulent se mariès alors qu'ils n'ont que 12 ans !!

Alors, moi, j'ai pris les choses en main, .
J'ai fait une liste pour Papa. Je l'ai accrochée sur le frigo :
la grande liste des métiers que tu peux faire.

Quand on fait les courses, Maman répète: "Ça coûte les yeux de la tête!"
La première fois, j'ai cru qu'elle faisait une blague, alors j'ai dit en rigolant:
"Ça coûte les pieds des jambes, les coudes des bras, les pils des cheveux!"
Mais quand j'ai vu le regard noir de Maman, j'ai coupé le son.

j'ai pris mon téléphone et j'ai fait un film sur colombe avec ,pour et sur colombe.

Pour la meilleure nuit de tous les temps il vous faut : un très grand mensonge...

Salut. Moi, c'est Léon.
Je suis le pigeon de l'histoire : celui qui regarde, observe, suit des yeux, contemple. Et des histoires à raconter, j'en ai épais comme un dico. Histoires drôles, sombres affaires, romans d'amour et séries à suspens : il suffit de demander ! Je suis votre homme. Enfin, votre pigeon, quoi.

"Colombe a crié un énorme OUI, qui venait de loin, genre du cœur ou des environs. Quand ça a été à moi de dire OUI, j'ai eu le hoquet, le stress sans doute" (p.55)

Une enquête bien dangereuse, la tension qui monte, une belle histoire d'amour et des rivalités entre sœurs : on se croirait dans une tragédie grecque. Un peu. Non?

Et elle a dit oui.
À mon invitation, et à toutes celles qui ont suivi. Elle a dit "oui", c'est-à-dire, quand on y réfléchit bien, le contraire de "non".

Cacher son doudou sous l'oreiller et faire semblant de le chercher. Partout ! En rajouter un peu:"Je ne dormirai pas tant qu'on l'aura pas retrouvé."

Dire:"J'ai une petite faim, moi" (même si c'est pas vrai et qu'on a repris du dessert trois fois juste avant).

Faire semblant de n'avoir rien compris à l'histoire (mais alors rien du tout), pour que maman recommence à zéro.

Pour me rattraper et faire de Youri et Rose des gens heureux, heureux à deux (oh, que c'est beau quand je deviens poète!), j'ai dû faire appel à mon intelligence hors norme et à mon magnifique instinct de pigeon.
Une méthode imparable.
Imparable, verte, molle et inodore.

La musique, c'est quelque chose. Ca vous rassemble tout le monde, ça vous attache les uns aux autres.

Oui, on a ça dans le bayou. Des soirs de toutes les couleurs, des fêtes pour faire revenir les amoureux disparus et des banjos qui pleurent.

Ce bonheur avait éclaté en mille morceaux, un soir. On avait mal calculé notre coup, Colombe et moi. On a écouté le disque de trop, et mes parents sont rentrés alors qu'elle n'était pas partie. Dans le couloir de l'entrée, j'ai dû faire les présentations:
- Mes parents, Colombe. Colombe, mes parents.
Mon père a tendu une main mollasse, ma mère a sorti son plus petit sourire, Colombe a réussi à bégayer un "bonjour monsieur-dame" gêné. Et puis elle a remballé son bec et ses plumes, et elle s'est envolée.

Je l'ai tellement observée qu'à la fin je ne savais plus où elle finissait et où je commençais. Plus rien ne comptait. Juste elle et moi.

Quand on tombe amoureux, on tombe pour de vrai.
Aimer, c'est s'écrouler dans les escaliers, c'est se fendre la cheville en deux, avoir l'os qui ressort et hurler à la mort en attendant les secours. Niveau douleur, c'est à peu près ça.

Pas facile, la vie, des fois. Franchement. Il y a des inégalités, c'est honteux.
Voyez plutôt : nous les enfants, on travaille six heures par jour à l'école (enfin, si on compte les récrés...mais faut dire aussi que c'est pas toujours du repos la récré...).