Sharon Kendrick

C'était gratuit et comme je suis d'un naturel curieux , je me suis dis pourquoi pas ... Je ne m'attendais pas à une histoire extraordinaire loin de là, mais tout de même. Je n'ai jamais rien lu d'aussi insipide, invraisemblable et caricatural. Petite, femme de chambre, blonde, nunuche à forte poitrine et vierge qui se laisse séduire en moins de temps qu'il ne faut pour le dire par un beau mâle, prince, très riche, grand séducteur, autoritaire et bien membré. Lecture en diagonale ... de l'eau rose pur jus mais qui aurait terriblement viré. Passez votre chemin.

Une fois encore, Harlequin offre des romans pour faire découvrir ses collections et, une fois encore, je suis incapable de résister



Je découvre la collection "Ispahan", mais je ne suis vraiment pas dépaysée : on dirait un Harlequin Azur si ce n’est que l’intrigue lorgne du côté du Moyen-Orient…

Les personnages sont toujours aussi stéréotypés, au point que l’intrigue donne l’impression de dater de vingt ou trente ans. Comment croire qu’une femme, amoureuse en plus, s’aplatisse complètement sans une bonne raison ? (Et les desiderata d’un homme, aussi beau, riche et puissant soit-il, ne sont pas une raison suffusante…)

Lecture insomnie ; ça n'est certainement pas prise de tête, il n'y a rien à comprendre et ça marche, ça me rendort ! Il n'empêche que j'ai quand même été déçue :



-j'ai trouvé que nos deux héros se retrouvaient un peu rapidement amants, aucune attente, aucun suspense.

- puis Darian, on le comprend car trahi, mais m'a semblé vraiment trop antipathique et mauvais par la suite.

- je n'ai pas tellement ressenti l'ambiance "Ispahan"" car cela se passe beaucoup à Londres au début, dommage...

- une fin un peu trop facile et rapide



Je ne recommande pas, même pour une lecture du genre...



~ Challenge Féminin 21 : auteur ayant écrit plus de 35 livres

Comme dans La fiancée de Dante d'Arezzo, ce court roman est un vrai ramassis de clichés propres aux romans Harlequin tels qu'on se les imagine : beaucoup d'argent et de pouvoir ; un héros si beau si irrésistible, si italien ; une héroïne sans véritable personnalité... L'intrigue est également sans surprise.

Bref, une lecture guère convaincante...


Lien : http://lecturesdestephanie.b..

Ce n'est pas un livre pour moi. Je n'ai pas accroché du tout. J'ai trouvé que les personnages n'étaient pas suffisamment développés. Selon mon ressenti, certains éléments manquaient de cohérence. Et je n'ai pas su voir l'émotion entre les personnages. Harlequin était une première pour moi, mais le style ne me correspond pas. Celui-ci ne m'a pas donné envie d'en découvrir d'autres.

Ce roman aura été assez agréable à lire, malgré certains défauts qui m'ont empêché de profiter pleinement de la lecture.



Le style est fluide, les descriptions immersives. L'intrigue en elle-même n'est pas originale, mais ce n'est pas un problème car la plume nous donne envie de faire défiler les pages.



Dommage cependant que l'histoire se déroule trop vite, du coup l'évolution de la romance se fait beaucoup trop brusquement. Je n'ai du coup pas adhéré à leur histoire, les dialogues manquaient de naturel.



Ça reste néanmoins une lecture sympathique malgré ses défauts (à mon goût), qui remplit son rôle de faire un passer un bon moment.

Dire que je n'attendais pas grand-chose de « Le secret de Jasmine » est un euphémisme, tant les critiques anglophones étaient froidasses, mentionnant notamment un héros totalement imbuvable et une héroïne passive à souhait.

J'ignore si c'est le fait d'avoir lu infiniment pire dans d'autres Harlequin Azur, mais finalement, je ne les ai pas trouvés si insupportables que ça.



Ceci dit, si vous aimez les belles histoires romantiques et tendres, passez d'emblée votre chemin, car ici, il n'y a qu'une mère prête à tout pour rester auprès de son fils et un homme qui se fiche d'elle comme de ses premières chaussettes. S'il aimerait bien la remettre dans son lit, Zuhal n'est pas intéressé par une quelconque relation avec Jasmine. A tel point que quand celle-ci demande à passer du temps avec lui pour mieux le connaître, celui-ci lui répond... de passer par son secrétaire pour prendre rendez-vous ! C'est un fait, Zuhal mérite de figurer au panthéon des mufles.



Néanmoins, contrairement à l'archétype du personnage outrageusement dominateur, sa façon de régenter la vie de Jasmine ne s'articule qu'autour d'une seule chose : leur fils, potentiel futur héritier du trône. Et si sa façon d'imposer ses décisions sans que Jasmine n'ait son mot à dire s'avère effectivement irritante, au moins celles-ci ne sont-elles jamais irrationnelles ni là pour le seul plaisir d'avoir le contrôle. Bref, Zuhal est certes le contraire d'un prince charmant, mais ne tombe pas dans le sac des héros toxiques, ce qui évite d'avoir envie de le baffer toutes les trois pages ou de hurler à Jasmine de fuir en courant.



Jasmine, de son côté, est bien décidée à élever son fils elle-même, tout prince illégitime qu'il soit. Pas question pour elle de laisser Zuhal le lui prendre, ni de céder aux marchés odieux qu'il lui propose. Cependant, il n'est pas si facile que ça de tenir tête à un chef d'état par intérim habitué à obtenir tout ce qu'il veut, surtout quand certains de ses arguments sont fondés. Alors oui, Jasmine fait beaucoup de concessions. Mais jamais sans défendre âprement son point de vue. Elle fait de son mieux, tout simplement, affrontant une situation qui ne lui laisse pas beaucoup de marge de manœuvre.



Entre eux, ce n'est pas non plus la guerre : il n'y a jamais de franche animosité entre les protagonistes, même si leurs échanges sont parfois un peu houleux. L'évolution de la situation entre eux se fait de façon assez progressive... du moins jusqu'aux deux derniers chapitres, vraiment trop expédiés ! On ne voit pas non plus beaucoup Darius, Sharon Kendrick ayant préféré axer son histoire autour de la relation entre ses parents, et non de la leur vis-à-vis de lui. Ceci dit, sans aller jusqu'à demander des détails du style changement de couche, il est si peu présent que l'on en vient parfois à oublier qu'il y a un bébé dans l'histoire.



Le secret de Jasmine n'est donc pas une mauvaise romance en soi et se lit facilement, malgré quelques défauts qui, finalement, n'entachent pas vraiment le plaisir de lecture. En revanche, celle-ci ne laissera pas un souvenir impérissable.

Darcy et Renzo sont sex-friends. Entre eux, pas de sentiments, juste du fun, ce qui convient très bien aux deux parties. Il est donc logique que « Sous les ordres d'un milliardaire » comporte beaucoup plus de sexe que la plupart des Azur, et ce, dès le premier chapitre. Pour vous donner une idée, on est davantage au niveau d'un Magnetic, donc si vous préférez vos romances plus sages et surtout sentimentales, vous n'y trouverez probablement pas votre compte. Ceci dit, même si les persos passent le plus clair de leur temps au lit, ces scènes restent globalement plutôt sobres.



Même après un certain rebondissement, tout ça reste très froid, purement pragmatique, malgré l'attachement naissant de Darcy, retenue par ses secrets. Bon, entre nous, j'ai du mal à voir en quoi les secrets en question pourraient poser problème, mais ce qui compte, c'est que ça fasse sens *pour elle* : de ce côté-là, l'autrice a maintenu la cohérence jusqu'au bout, évitant l'effet girouette.

Côté Renzo, le début pouvait faire craindre un control freak, mais en fait, ça va. Oui, il a l'habitude que le monde entier se plie à ses désirs, mais n'a rien en commun avec les gros bébés capricieux qui servent parfois de héros dans la collection. Darcy refuse ses cadeaux, qu'à cela ne tienne, il ne la force pas à accepter mais cherche plutôt une autre idée. Pour quelqu'un qui prétend ne pas vouloir d'engagement, il se plie même en quatre pour garder sa belle.



Il y a du bon, donc, et la façon dont ces deux-là se tournent autour apparaît plutôt naturelle. Leurs différends, en revanche, paraissent plus cousus de fil blanc qu'autre chose, et les réconciliations ne valent guère mieux...



Au final, malgré des qualités et une héroïne qui, pour une fois, n'est pas mince, « Sous les ordres d'un milliardaire » est une lecture « sympa » mais qui ne restera hélas pas dans les mémoires.

Je ne sais pas ce qui était le plus affligeant entre le manque d'originalité, voire d'ailleurs les clichés littéraires les plus communs probablement réunis dans un seul livre (et pourtant court le livre), l'histoire abracadabrantesque tellement loin d'une quelconque crédibilité qu'on se demande si ce récit est le résultat d'un défi, la pauvreté du style...

Je ne sais même plus comment ce roman Harlequin (que je fuis pourtant comme la peste) s'est retrouvé dans ma PAL, mais il a eu le mérite de m'obliger justement à un peu de ménage dans ces ebooks sortis de nulle part pour être sûre de ne pas en avoir d'autre en stock.

Deux histoires différentes mais avec des hommes qui aiment tout contrôler.

La lecture se fait sans prise de tête mais j'avoue que j'ai eu du mal à entrer dans ces histoires. Peut être que je n'avais pas la tête pour ces lectures.

Dommage. Lecture pas inoubliable

Sans surprise, c'est un pur harlequin azur, mais comme je l'ai eu gratuitement et en toute connaissance de cause, je ne me plains pas. Au contraire, c'était la lecture idéale, pas exigeante du tout, pour tuer le temps en attendant qu'on m'emmène en salle d'opération.

Ayant commencé « La volonté du prince » un peu au pif, je n'aurais pas pu trouver une lecture plus d'actualité que celle-là ! En effet, derrière son résumé de romance royale classique se cache en réalité... une histoire de royal baby.



Tout du long, il sera finalement moins question de Lisa et Luc que de leur bébé à naître. Car si Lisa, farouchement indépendante et chef d'entreprise passionnée, ne compte pas abandonner sa boutique ni le stylisme, Luc, de son côté, se retrouve à devoir gérer les conséquences politiques de l'arrivée de cet enfant certes illégitime, mais néanmoins de sang royal. Et pas sûr que la mère ait son mot à dire dans l'histoire...



L'aspect romance est donc assez peu présent, surtout que Lisa compte bien garder ses distances avec le père – notoirement volage – de son enfant, aussi prince soit-il. Luc, de son côté, aimerait bien arrondir les angles, mais difficile d'y parvenir en communiquant presque exclusivement par assistante interposée. La communication n'est donc clairement pas le fort de ces deux-là, d'autant que l'alchimie censée bouillonner entre eux n'est pas vraiment palpable.



Néanmoins, malgré un agaçant côté « suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis », cette petite histoire de royal baby se laisse lire, notamment grâce à la plume légère de Sharon Kendrick qui ne néglige pas le décor, ni la passion de Lisa pour son métier, et ce, malgré le nombre très réduit de pages. Aucun sentiment de bâclage à déplorer non plus, évidemment le récit est bourré d'ellipses mais celles-ci sont utilisées à bon escient pour sauter d'un moment important à un autre.



Pas la romance du siècle, mais une lecture néanmoins agréable et divertissante le temps d'une soirée ou deux.

J'ai lu ce livre lorsque j'étais en vacances, je n'en trouvais pas en français donc je me suis dite pourquoi ne pas consulter iBooks voir ce qu'ils me proposent en gratuit ? Et je suis tombée sur ce petit roman bien sympathique qui se laisse lire très facilement, la totalité de l'histoire m'a totalement comblée, un peu d'intrigue, une description détaillée des lieux (on s'y croirait), le seul petit côté agaçant de ce livre était le côté machiste de Dante, mais ça c'est juste le personnage qui m'insupportait (oui ça m'arrive haha!) mais que serait un bon italien sans ce côté totalement sexiste ? En bref, une petite lecture pas déplaisante, laissez-vous tenter ! (En plus c'est gratuit)

Le titre original d'« Une nuit avec un Grec », « Secrets of Cinderella Awakening », ne trompait pas, on a là-dedans effectivement une histoire à la Cendrillon (une coiffeuse pauvre et vierge rencontre par hasard un beau milliardaire) avec quelques secrets pour pimenter tout ça. Et ça se lit plutôt bien, en grande partie grâce aux personnages : Marnie est une héroïne indépendante que l'argent de Leo n'impressionne absolument pas, quant à Leo, il est plutôt du côté gentleman de la force. Séparément, donc, ça va. Mais ensemble... il n'y a bien que le sexe pour les rapprocher. En soi, ça reste crédible, on sent l'évolution de leur relation... mais celle-ci demeure purement physique pendant la plus grande partie du bouquin. Ça manque de sentiments, quoi. Ce qui ne constitue pas un problème dans la littérature érotique en devient un ici, car les scènes en question sont quand même assez bof.

Si vous y ajoutez le fait que le secret de Marnie n'a finalement absolument rien d'incroyable et ne freine en réalité rien du tout, et qu'il n'y a pas vraiment d'intrigue annexe... Bref, le livre ne possède pas ce petit truc qui donnerait envie d'y revenir, ou même aiderait à s'en souvenir. S'il n'est clairement pas mauvais, il n'en demeure pas moins un peu fade.

Une histoire toute simple, où une fille banale rencontre un milliardaire et lui tape particulièrement dans l’œil. Vous connaissez le pitch par cœur : une nuit torride, des capotes qui devaient être périmées, et bim-oh-bah-zut, de fâcheuses conséquences, du genre qui débarqueront neuf mois après.



On ne lit pas « Un secret à Noël » pour être surpris, tant tout y est très classique. Mais ça ne veut pas dire que c'est mal fait. Le rythme de la narration est maîtrisé, sans précipitation, manques ni longueurs.



Hollie est une oie blanche moderne, ingénue mais pas naïve, voire même sacrément désillusionnée. Maximo est le pur cliché ambulant du gamin miséreux devenu ultrariche à la force de ses bras, doublé d'un grinch, mais ne se montre pas détestable pour autant.



Si l'on a bien droit, là encore, à l'un des meilleurs clichés des romances de Noël avec les deux persos coincés ensemble par la neige au milieu de nulle part, il faut avouer que le côté Noël, justement, n'est pas plus palpable que ça. Le récit manque de la bonne humeur inhérente à ce genre de littérature, davantage axé sur les dramas habituels de la collection Azur : du bling-bling, du doute, des méprises (à ce sujet, la séparation temporaire du duo ne sort pour une fois pas de nulle part étant donné qu'elle est prévue). Reste que Noël n'occupe que quelques pages et n'est pas du tout au centre de l'histoire, donc, si vous recherchez « du fluff », tournez-vous plutôt vers autre chose. Par contre, si vous voulez une lecture de saison moins douce, vous êtes définitivement au bon endroit.



Alors oui, l'histoire s'avère très simple et est tout sauf originale, mais il n'y a pas grand-chose d'autre à lui reprocher. Ça se lit bien et ça fait le job !

Ce mardi 27 avril, j’ai lu L’héritier du Maraban, une autre romance à l’eau de rose de Sharon Kendrick, publiée aux éditions Harlequin sous la collection Ispahan. Légère et pas désagréable, elle raconte comment la belle Lara, apprentie comédienne et remplaçante temporaire de la secrétaire de l’ambassade du Maraban, approche l’homme d’affaire Darian Wildman après avoir appris qu’il serait le fils caché de l’ancien cheikh de ce pays. Un fils caché qui pourrait remettre cause le règne de l’actuel cheikh, époux de Rose, la meilleure amie de Lara. Bien décidée à vérifier si Darian n’est pas un imposteur, Lara ne s’attend cependant pas à tomber sous le charme du riche homme d’affaire. Mènera-t-elle sa mission à son terme ?

Une histoire sympathique, peu exigeante, un peu caricaturale et contenant des clichés, mais qui m’a permis de m’évader le temps d’une petite heure.

Une romance légère, teintée d’un soupçon d’érotisme, qui permet de passer le temps agréablement sans se prendre la tête. Certes la mince intrigue n’est pas des plus crédibles, certes il y a des caricatures, certes les rebondissements et le dénouement final sont cousus de fil blanc, mais le roman fait son job : Gratuit via l’application, il permet de s’évader le temps de 115 pages. C’est tout ce qu’on lui demande.

Deux histoires du désert au thèmes différents. Si la première peut paraitre agaçante par le comportement de son héros très macho, la seconde se révèle plus complexe car fait montre de danger pour les héros.

Ca se lit vite et ça dépayse.

Dans la première, on assiste aux retrouvailles de Cristo et Erin qui ont eu une liaison, si pour notre héros, c'est l'occasion de découvrir quelle femme est devenu celle qu'il n'a jamais oublié malgré tous, pour notre héroïne, c'est bien plus complexe, car elle n'aurait jamais cru revoir celui qui l'a fait souffrir et dont elle est toujours amoureuse et met tout en œuvre pour le repousser, y parviendra-t-elle ? . Pourront-ils mettre les choses à plat ? Pourront-ils être de nouveau ensemble ? Pourra-t-elle garder encore longtemps son secret ?



Dans la seconde, on assiste aux retrouvailles de Justina et de Dante, cet homme dont elle est tombé amoureuse et qu'elle n'a jamais pu oublier. Comment se passeront ses retrouvailles. Pour notre héros, c'est l'occasion de régler ses comptes avec cette femme qui l'a trahi, du moins, c'est ce qu'il pense. As-til raison où tord ? Tandis que notre héroïne met un point d'honneur à lui prouver sa bonne fois. Y parviendra-t-elle ? Dante, ouvrira-t-il les yeux ?



Dans la troisième histoire, on assiste à la rencontre de June et de Mac. Notre héroïne a pour but que ce dernier assiste au mariage de son frère, mais ce dernier se montre clair et net en refusant de venir. Tandis que notre héroïne repart bredouille et troublé par cet homme, ce dernier prend conscience qu'il ne peut pas laisser sa chance de revoir cette femme qu'il l'a troublé plus, qu'il ne veut bien l'admettre. Se retrouveront-ils ? Et si oui où cela les mènera ?



Trois magnifiques histoires qui ont su me toucher, me happer, m'attendrir, m'émouvoir et fait passer un excellent moment de lectures à chaque histoire.
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Belle histoire sur la vie en tant qu'ado, la séparation des parents, le premier amour.