Citations de Simone Elkeles (411)
Les choses sont ce que nous décidons d'en faire.
"Ma soeur va devoir se demander pourquoi elle ressemble à un foutu monstre plutôt qu'à la fille d'avant, celle que j'ai laissé en partant. Ma mère va devoir apprendre à regarder les choses en face, elle va devoir cesser de se comporter comme si la vie était du cinema. En suite... Mon père... mon père, lui, va devoir se faire greffer une paires de c*******. Quand à Maggie... Il faudra bien qu'elle admette que cet accident n'était rein d'autre qu'un ... accident.
Peut-importe la manière donc tout cela doit ce passer : je en quitterais pas Paradise. Je suis rentré chez moi, et les gens ont intérêt à s'habituer à ma présence. "
"- A propos de vilain, tu t'es regardé dans la glace ces derniers temps?
- Oui. C'est bizarre Alex. Même avec un cocard et une lèvre fendue, je continue à être plus beau que toi."
"- Est ce que je t'ai dit qu'Alex t'aime tellement qu'il s'est fait tatouer ton nom partout sur le corps? Même sur la nuque!
- C'est marqué LB sur sa nuque, Carlos. Ce sont les initiales du Latino Blood.
- Pas du tout. Tu te trompes. C'est ce qu'il vaut faire croire à tout le monde, mais en fait, ça veut dire Lover of Brittany. T'as compris?"
"- Je t'interdis de faire quoi que ce soit sans moi. On est des frères, Carlos. Je me battrai toujours à tes côtés, sans te poser de question.
C'est bien ce que je craignais"
"Du coup, je pense à mamá et aux rares fois où je l'ai vu sourire ces dernières années. J'ai beau être un rebelle, je donnerais n'importe quoi pour la faire sourire à nouveau."
"- Tu te débrouilles assez bien en connard la plupart du temps, mais tu as quand même du potentiel.
- Quel genre de potentiel?
- Celui d'un être humain convenable"
" - Je ne cherche pas à être un dur Kiara. Tu te trompe sur mon compte. Ce que je veux, c'est être un vrai connard.
Il me décoche un sourire effronté"
En me dirigeant vers ma voiture, j'en prend machinalement une bouchée. Malheureusement, il n'est pas aux myrtilles. Il est aux bananes et aux noix, et les bananes sont trop cuites. Ce gâteau me renvoie alors à ma propre image : de l'extérieur, il me semble parfais, mais de l'intérieure, c'est du grand n'importe quoi.
Qui a dit que tu devais être la meilleure?
Tu penses trop à tout ce qui pourrait arriver. Concentre-toi sur le présent, au lieu de t'inquiéter en imaginant des choses.
Je dois te parler des jonquilles, Maggie. Elles sont parfumées, belles et revêches. Chacune a son parfum et sa personnalité bien à elle.
- Oh! je sais à quel point ça peut paraître dingue, mais...et c'est ça qui me rend fou, quand je suis près de toi, j'arrive enfin à éprouver des choses, comme avant. La nuit dernière, je suis resté éveillé à imaginer que je te serrais dans mes bras, jusqu'à ce que toute ma souffrance et toute ma stupeur disparaissent. C'est comme si j'avais besoin de toi pour garder la raison. Je croyais que Kendra m'aiderait à tout oublier. Mais c'est toi, finalement. Et rien que toi. Tu ne trouves pas ça tordu, Maggie? Parce que si toi, tu me dis que ce n'est pas normal, peut-être que je te croirai.
Je ferme les paupières. L'image de Caleb, debout devant moi, avec ses yeux bleus si intenses, est imprimée dans mon esprit. Je sais qu'il est loin, mais j'entends encore sa voix grave. Je pense à l'accident, à la souffrance que j'ai endurée, à mes jambes meurtries. C'est toute ma vie qui a basculé en un instant et cela me hante.
La prochaine fois que je t'embrassera, ça durera très longtemps. Et quand on s'arrêtera, tu comprendras qu'aucune expérience n'est nécessaire au plus beau des baisers.
J'ai la haine. Premièrement, de m'être abandonné dans ce baiser. Deuxièmement, d'avoir souhaité que ce moment dure éternellement. Et enfin, que ma mère et mes frères soient rentrés au pire moment.
Une fille super sexy passe devant nous et s'engouffre dans la salle. Elle porte un jean moulant et un T-shirt qui l'est encore plus.
-Whouah! C'est qui, cette meuf?
-Madison Stone, marmonne Kiara.
-Tu peux me la présenter?
-Pourquoi?
-Parce que je savais que ça te foutrait en rogne.
- Je veux être sûr que Kiara ait un petit ami qui a autre chose à lui offrir qu'un corps divin et une tronche à faire pleurée les anges.
- Ça t'arrive de laisser tomber l'ego?
- Ouais.
Quand sa fille m'embrasse, mon ego fiche le camp.
- Tu as quelque chose contre le rose?
- Ouais. Ça fait pédé.
Tuck claque des lèvres.
- Euh, ouais. Ecoute, Carlos, le moment est sans doute bien choisi pour que je te dise quelque chose. Ça ne va probablement pas te plaire.
Pendant qu'il parle, je passe mes coéquipiers au crible. Dennis, qui a quelque chose de carrément féminin. Le gars qui m'a taper sur les fesses est en trein de se mordiller la lèvre inférieure comme s'il envisageais de me sauter dessus. Quand au polos roses...
- C'est une équipe de tarlouzes, non?
- Comment tu as deviné? A cause des polos roses ou parce que tu fais saliver la moitié de l'équipe?
« C'est difficile d'être comme avant quand, autour de soi, tout a changé à ce point. »