Sophie Kinsella

Un livre sans intérêt, les personnages ne sont pas attachants et on ne retrouve pas l'humour de l'auteure. On connaît déjà la fin du livre dès le milieu de l'histoire. Un livre à éviter.

Une vraie désillusion que ce livre. On n'y retrouve rien de ce qui fait le peps et l'humour de ceux signés Sophie Kinsella. L'histoire est banale, plate, les personnages sans relief.

C'est mon troisième Madeleine Wickham, après "des vacances inoubliables" et "un dimanche au bord de la piscine". Si j'avais trouvé le premier sympathique, le second avait déjà bien entamé mon enthousiasme, et celui-ci m'a achevée !

Je me cantonnerai désormais aux oeuvres signées Sophie Kinsella !

Enfin je l'ai fini!!! Je me suis terriblement ennuyée durant les 2/3 du livre... Heureusement la fin était mieux car je voulais quand même le finir vu la réputation de l'auteur.

L'histoire de trois familles bien plus liées qu'elles ne le croient avec au centre cette fameuse maison à l'origine de tout: Liz veut la vendre, Marcus peut la louer, Piers et Ginny veulent la louer et Alice la fille de 14 ans de Liz s'en sert pour boire et fumer. ça aurait pu s'arrêter là mais dans un chaos assez ennuyeux à lire Liz se retrouve avec Marcus, Jonathan son mari donne des cours au fils de Marcus et Alice passe le plus clair de son temps avec les nouveaux locataires... Comment vont-ils tous s'en sortir? ça vous le saurez si vous lisez ce livre

J'ai trouvé ce livre et eu envie de le lire, connaissant l'auteur: Sophie Kinsella grâce à la saga de l'accro du shopping, les petits secrets d'Emma, ou plus recemment Des vacances de rêves. Je m'attendais donc à apprecier la lecture comme pour ces derniers.

Finalement j'ai étais assez déçue. Je n'ai pas eu de réels plaisirs en lisant ce livre.

L'histoire aurait pu être simple, une famille voulant vendre/louer sa maison pour rembourser le prêt dut à l'achat d'un cours privé. Mais on arrive à plusieurs histoires qui n'ont plus rien à voir avec le titre. Une avanture extra-conjugale, une nouvelle amitié, un rêve d'emploi...

Justemment, parlons du titre, je ne l'ai pas vraiment retrouvé dans ce roman, ce cours privé n'a rien à voir avec la maison de rêve qu'on pourrait imaginer.

Pour finir, j'ai été impatiente de lire la fin, le denouement finale de toutes ses complications de la vie des personnages. Mais non! Je suis restée sur ma faim, aucune expliquations sur le départ brutal de Ginny et Piers, aucune explications sur la suite de l'aventures entre Marcus et Liz, on ne sait pas si Alice parlera à son père, ni comment se terminera la relation entre Liz et son mari.

Voilà donc un livre qui m'a déçu et où j'attendais plus venant de l'auteur.

Une petite distraction pas désagréable.

J'avais lu "Confessions d’une accro du shopping" et ça m'avait à la fois ennuyée et agacée (tout ce qui touche au shopping m'ennuie, même la lecture !!) et puis je suis tombée sur ce roman alors que j'avais besoin d'une lecture distrayante et j'ai tenté.

La maison fait le lien entre le couple qui doit la vendre pour une question financière, et qui a du mal à s'en détacher, leur fille qui elle ne veut même pas entendre parler de la quitter, les nouveaux locataires, très différents, l'agent immobilier, son couple, son enfant ...

De fait, ce n'est pas monotone car on suit des personnes et des vies très différentes.

Ce n'est pas drôle, malgré ce que laisse entendre la couverture (du moins dans l'édition Pocket que j'ai lu) mais c'est la vie, un peu exagérée pour que ça fasse un roman, mais assez bien vue.

Sophie Kinsella fait partie de mes auteures favorites. Elle propose un nouveau récit où se croisent les histoires de plusieurs couples. Malheureusement, je dois avouer que cet opus m’a déçue. Pour moi, l’histoire ne décolle jamais véritablement, les intrigues sont ennuyeuses et les personnages féminins sont tellement irritants qu’on ne parvient à s’identifier à aucun d’eux. Liz entame une relation extra-conjugale et commence à se comporter comme une ado ultra-sensible et irréfléchie. Anthea est une « mère-hélicoptère » exaspérante et hautaine. Quant à Ginny, elle s’apparente à une Londonienne capricieuse qui n’attend que la gloire de son mari d’acteur pour enfin vivre la vie dont elle rêve (une vie qui, somme toute, semble très matérialiste). Alice, la fille ado de Liz et Jonathan, est en revanche intéressante. Elle traverse une période de vie difficile, s’éprend du mari de Ginny et essaie de trouver sa place dans une école où elle réalise qu’elle n’a pas suffisamment d’amis. Jonathan est un personnage qui aurait mérité d’être développé davantage car c’était bien le plus adulte et le plus responsable de tous.



En conclusion, le scénario n’est pas captivant, les personnages sont relativement insignifiants et le dénouement décevant.
Lien : https://labibliodecaroline.w..

C'est un roman décevant : les personnages caricaturaux disparaissent lorsque l'auteur n'en a plus besoin et la fin manque de crédibilité.

ca se lit tranquillement sans plus

un roman où humour et rebondissements se melent.

BOF

pour moi c’est un livre détente.

Sophie Kinsella, j’adore sa série « l’accro du shopping »

Ce roman « une maison de rêve », m’a un peu moins convaincu, il manque de pétillants, de « peps », même si sa lecture en fût néanmoins agréable.

Seulement l’esquisse de sourires dans ce roman, mais pas de rires francs comme en lisant « l’accro du shopping ».

Ce livre reste un bon divertissement.

En général j'aime beaucoup les livres de Sophie Kinsella qui me permettent de me détendre, me font rire... mais là grosse déception, entre l'adultère du personnage principal, son mari un peu à l'ouest mais adorable , le mal être de sa fille adolescente et la fin qui se termine de façon totalement saugrenue et irréaliste, vraiment dommage

Une lecture qui ne présageait rien de bon. A la lecture de la 4e de couverture, lorsque j'ai lu que l'un des protagonistes principaux avait une liaison, je m'attendais à ne pas accrocher avec les personnages. Le seul fait qu'il soit écrit par Madeleine Wickham, alias Sophie Kinsella, m'a poussée à acheter ce livre. Elle ne m'avait pas encore déçu, pourquoi le ferait-elle maintenant?



Eh bien je ne m'étais pas trompée. Je n'ai effectivement pas accroché avec ses personnages, du moins la plupart. Sur une dizaine, allant de l'agent immobilier escroc à la prof égoïste en passant par un acteur insipide et une adolescente énervante, seuls deux d'entre eux ont trouvé grâce à mes yeux. Pourquoi 4 étoiles dans ce cas? Tout simplement parce qu'aussi détestable que soit ces personnages, je n'ai pas réussi à fermer ce livre, intriguée par leurs aventures et leurs défauts. Signée Madeleine Wickham et non Sophie Kinsella, il n'y a rien là de très surprenant à ce que l'intrigue soit un peu plus sombre.



Je regrette uniquement le "happy end" du dernier chapitre. Mais les dernières phrases du livre sont en revanche des plus épiques.

Deuxième livre de Sophie Kinsella (sorti en Angleterre , en 1996 sous son vrai nom Madeleine Wickham ), et deuxième fois que je le lis. Et mon avis est identique : peut mieux faire, tant l'auteure nous a, par la suite, habitués à l'excellence ...

Trois couples au bord de la crise... de couple...

Liz et Jonathan viennent d'acheter un cours privé . Pour cela ils se sont endettés et il faut absolument qu'ils vendent leur maison ; ils habiteront dans l'appartement du dessus, avec leur fille . Mais la crise immobilière est là, et personne ne veut acheter leur maison, à moins qu'ils baissent considérablement leur prix, ils se retrouveraient alors à la vendre à perte . Heureusement pour eux , le propriétaire de l'agence immobilière a deux locataires parfaits à leur proposer : Ginny et Piers,un acteur à deux doigts de relancer sa carrière grâce à un casting éprouvant .

Et tandis qu'Alice revient squatter le garage de son ancienne maison et fait la connaissance des nouveaux habitants , un peu bohèmes, de son ancienne maison et s'amourache de Piers , la mère entame une liaison avec l'agent immobilier; lequel a une femme atroce qui pousse ses enfants à l'excellence (à la limite du harcèlement) .

Et pendant ce temps , Jonathan, le seul personnage "fiable" et sympathique de l'histoire , assure ( professionnellement) . Le petit cours deviendra grand...

Trois couples au bord de l'explosion, ça pourrait être drôle, ça ne l'est pas. Caustique, oui.

On sent le rythme, l'embryon d'un pétillement, mais un truc coince pour que ce soit un coup de coeur. Les personnages sont assez antipathiques , à part Jonathan si sérieux.

Curieusement, ce que j'ai préféré , c'est la course au "job" de l'acteur Piers. Sophie Kinsella arrivant à nous faire ressentir , le fol espoir, la précarité, le temps suspendu à une décision d'un obscur producteur.

J'ai été très étonnée par l'extrême liberté donnée à l'adolescente qui va et vient sans rendre des comptes, qui fréquente des adultes inconnus de ses parents , lesquels pourraient être "nuisibles".... Même en 1996, ça interpelle !

Avec un peu d'humour, ou d'intensité dramatique, le tout m'aurait emballée...

Donc même avis qu' à la première lecture , mais je me réjouis car La Grande Sophie nous arrive en pleine forme en mai, avec un nouveau roman ! Elle est pas belle la vie ?

Wonderful

J'avais envie d'une lecture légère en mode détente et j'ai pris ce livre qui dormait depuis quelques années dans ma PAL.



J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, je trouve que le tout est tellement cliché et convenu, on sait déjà comment vont dérouler les événements avant le dénouement.



Vous prenez trois familles dans un faubourg de Londres, vous mélangez le tout et cela donne une histoire d'adultère, d'endettement, d'escroquerie, des adolescents mécontents de leurs parents et un peu de l'humour noir à l'anglaise. Malheureusement ce n'était pas suffisant pour satisfaire mon envie d'une lecture en mode détente. Je me suis ennuyée jusqu'à la moitié du livre après seule ma curiosité m'a incitée de le terminer.



Challenge ABC

Challenge Multi-défis

Challenge Plumes Féminines

Liz et Jonathan ont une fille Alice, adolescente. Ils ont pris un gros crédit pour une énorme maison à coté de Londres et veulent la vendre, mais sans succès. Pourtant, ils ont déjà acheté une sorte d’école où chacun des deux va enseigner et gérer les cours en plus d’autres professeurs. Jonathan est très passif et laisse sa femme tout gérer. Liz est une pile électrique et elle ne peut se résoudre à laisser leur maison. Elle se sait crouler sous les dettes et la banque ne tolère plus qu’ils aient deux crédits. Voici le début de l'histoire.



Critique

J’avoue avoir été très déçue de ce livre car souvent c’est joyeux et entrainant mais là c’était très triste et tout ne finit pas si bien. On ne s’attend pas à cette fin en queue de poisson.