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Citations de Stephen Chbosky (202)


Où suis-je ?
Tu n’es plus dans la rue.
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Et il a demandé à Christopher d'être très prudent s'il faisait un cauchemar, car les cauchemars sont des êtres imaginaires qui viennent fouiner dans notre tête pour savoir si on connaît leur existence.
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Au CER, quelqu’un a dit que la pluie était les larmes de Dieu. Il se demande si le Déluge a été provoqué par la colère.
Ou les sanglots de Dieu.
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Certaines personnes aiment parler. D'autres sont nées pour écouter. Quand elles se rencontrent, c'est formidable.
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Stephen Chbosky
Je me sens vraiment mal. Je ne sais pas ce qui tourna pas rond chez moi, pourquoi je suis pas 'raccord', mais ça commence à me faire peur. J'en sais rien. C'est juste que je réfléchis trop vite. Beaucoup trop vite.
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La folie n’existe pas. Il n’existe que le mal.
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On peut dominer sa peur ou se laisser dominer par sa peur.
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C'est un homme, un vrai. Solide. Au charme prolétarien. Sexy comme peuvent l'être les ouvriers.
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Le nuage est là.
Et il a toujours le même visage.
Parfois gros. Parfois petit. Un jour, il s'était même caché derrière les autres formes dans les nuages. Un marteau, un chien ou une tache d'encre comme celles que le monsieur lui a montrées après que son père est mort accidentellement dans la baignoire. Il est toujours là. Ni homme. Ni femme. Juste un joli visage fait de nuages.
Et Christopher jurerait que ce visage l'observe.
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Le temps semble ralentir. Ambrose ouvre les yeux. Il n'y a plus de Halo. Tout est un gigantesque halo. Le chagrin. L'angoisse. Les cinquante années de chambre vide.
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Si dieu était arrêté pour meurtre, les gens reclameraient la peine de mort.
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Alors, j'ai fait la promesse à tante Helen de pleurer seulement pour les choses importantes ; j'aurais horreur de me dire qu'à cause de mes larmes qui viennent si souvent, pleurer pour tante Helen puisse avoir moins d'importance que ça en a vraiment.
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- Charlie, est-ce que tu réfléchis toujours autant ?
- C'est grave ?
- Pas forcément. Mais parfois, on se réfugie derrière ses pensées pour ne pas avoir à s'impliquer.
- Et c'est grave ?
- Oui.
- Mais je crois que je m'implique. Vous êtes pas d'accord ?
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Si dieu était arrêté pour meurtre, les gens reclameraient la peine de mort.
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Mademoiselle, mon verre est à sec et je n ai pas oublié tous mes problèmes !
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Du coup, je me dis que c’est pour des tas de raisons différentes qu’on est comme on est. Et qu’on les connaîtra jamais toutes, ces raisons.
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Quand quelque chose semble trop beau pour être vrai, c'est toujours le cas.
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Le petit David Olson entendit un bruit dans les fourrés. L’espace d’une seconde, il crut que c’était peut-être encore un de ses rêves. Mais non. Il savait bien que non. Il s’obligea à rester éveillé. Malgré les migraines. Il devait y aller ce soir.
Une voiture passa, noyant le brouillard dans la lumière des phares. Le petit David Olson se cacha derrière une boîte aux lettres, alors que du rock’n’roll se déversait de la vieille Ford Mustang. Deux des ados rigolèrent. Beaucoup de gamins étaient incorporés dans l’armée et les délits de conduite en état d’ivresse augmentaient. À en croire son père, du moins.
« David ? » murmura une voix. Tranchante. Un sifflement.
Quelqu’un avait prononcé son nom ? Ou l’avait-il juste entendu dans sa tête ?
« Qui est là ? » demanda-t-il.
Silence.
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« David ? » murmura une voix. Tranchante. Un sifflement.
Quelqu’un avait prononcé son nom ? Ou l’avait-il juste entendu dans sa tête ?
« Qui est là ? » demanda-t-il.
Silence.
Ça devait être dans sa tête. Tout allait bien. Au moins, ce n’était pas la dame à la voix sifflante. Au moins, il ne rêvait pas.
Si ?
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« Maman ? demande le petit garçon. Ça va ? »
Elle lui fait son plus beau sourire. Mais la peur se lit sur son visage. Comme huit heures plus tôt, lorsqu’elle l’a réveillé en pleine nuit pour lui demander de faire sa valise.
« Dépêche-toi », a-t-elle murmuré.
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