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Critiques de Steve Robinson (29)
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La voix du sang

J'ai trouvé assez difficile parfois de suivre l'histoire avec un tas de noms qui se chevauchent, et j'ai dû relire certains passages pour être sûre de bien suivre. Mais quand on arrive à la fin de la trame... Subjuguée, incroyablement prise dans le dénouement, au point où j'ai dit à mon conjoint qu'on ne passerait pas à table tant que je n'ai pas fini les 30 dernières pages 😁 je suis pas déçue de ce bouquin. Au début j'avais peur que ce soit pénible à lire, long et redondant, mais non, que du bonheur !
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Loin des vivants

Ce roman n'est pas mauvais mais je n'ai pas trop aimé le style de cet auteur. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Mena, même si j'ai eu de la peine pour elle. C'est surtout que j'ai eu l'impression que son histoire d'amour avec Danny ne tenait pas la route car très peu développée. La fin a sauvé ce roman qui m'a ennuyée dans les premières pages.
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Loin des vivants

1944. En tant de guerre, les amours sont rarement faciles. le penchant de Mena pour Danny, un beau GI accueilli par sa famille, ne fait pas exception. D'autant plus que la sévérité de sa mère à son égard ne lui autorise aucun écart de conduite.

De nos jours, Jefferson Tayte est sur les traces de Mena, mère naturelle de sa cliente, qui tente d'éclaircir les mystères autour de sa naissance, puis de son abandon pour adoption.

Une fois de plus, le héros de Steve Robison nous entraîne dans une intrigue prenante, avec des personnages attachants... Ou haïssables. Jusqu'au bout, on se demande ce qu'est devenue Mena et son séduisant soldat Américain et il est bien difficile de poser le livre sans avoir la réponse.
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Loin des vivants

Dans le prologue de cette deuxième enquête généalogique, Jefferson Tayte se trouve en bien fâcheuse posture face à un tueur pour qui la question n’est pas de savoir s’il va abréger une existence, mais plutôt comment. Le lecteur est donc prévenu : les investigations qu'a entreprises JT quelques jours auparavant ne plaisent pas à tout le monde.



Une vieille valise rouge a été adressée à Eliza Gray, une américaine qui a ainsi découvert l’existence de sa mère biologique, Philomena Lasseter. Elle a fait appel à Jefferson pour retrouver la trace de cette personne, et faire toute la lumière sur ses réelles origines anglaises.



La tache s’annonce difficile – sans paraître a priori dangereuse - pour l’enquêteur qui se heurte rapidement à l’ignorance des descendants de la famille Lasseter, Philomena, plus connue sous le nom de Mena, ayant pour eux été effacée de l’histoire familiale à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.



Parallèlement aux recherches effectuées par JT, des chapitres éclairent le lecteur sur l’histoire de cette jeune femme de presque 17 ans, à partir de 1944, dans un petit coin d’Angleterre marqué par le conflit, avec trois frères combattant sur le sol français, et une soeur, Mary, engagée dans une branche féminine de l’armée et fiancée à un parachutiste. La région sert également de base à des régiments américains attendant de rejoindre le continent, avec tous les émois que peuvent provoquer des GI’s auprès d’une population de jeunes filles romantiques.



Tout en donnant un certain nombre d’informations, l’auteur maintien sous pression les impatients, qui ne demandent qu'à savoir ce qui a pu se passer pour que plus de soixante ans après la piste de Mena soit aussi difficile à retrouver.



Comme le laissent supposer les premières pages, ce n’est pas de tout repos pour notre généalogiste peu habitué dans son métier à attirer autant de violence, même s’il sait qu’une plongée dans les secrets de famille n’est pas toujours anodine. Le récit réserve son lot de surprises pour raconter l’émouvante et pathétique histoire de Philomena Lasseter, que j’ai personnellement lue avec un grand plaisir.
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Loin des vivants

J'avais perdu espoir de pouvoir faire la chronique de ce livre puisqu'un problème technique m'avait empêché de le télécharger.

Du coup, au début je voulais lire ce livre plus pour aller au bout de ma démarche que pour l’intérêt suscité par le résumé et l'envie de découvrir l'histoire.

Heureusement, au fur et à mesure des pages, j'ai trouvé un véritable attrait à cette lecture "forcée"

L'histoire est bonne, l'auteur nous en dit juste ce qu'il faut pour que nous échafaudions des scénarios.

Les personnages sont bien construits, je me suis attaché à Mena et Danny, ce si joli couple que la guerre et la bêtise extrême abîme.

Les descriptions de la vie pendant la guerre dans la campagne anglaise est intéressante.

La vie de cette belle et pauvre Mena m'a émue jusqu’au bout car je sais que ce fut pour beaucoup de jeunes filles à l'époque une réalité.

Et puis il y a aussi l'enquête qui est bien mené par le persévérant et perspicace J.T. -Jefferson Tayte-

Le côté polar est bien amené par l'auteur.

Bref, une bien agréable lecture.
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Loin des vivants

En bref, une lecture agréable et rapide sur le thème de la généalogie que j'apprécie particulièrement, surtout lorsque les recherches amènent à un terrible secret de famille !
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Loin des vivants

J'ai passé un assez bon moment à la lecture de ce roman. J'ai cependant trouvé que le début de l'histoire et certains passages étaient longs et m'ont ennuyée.

Même si l'histoire est intéressante et plutôt originale dans le sens où on a l'impression de suivre une enquête policière alors que le personnage est un généalogiste, je n'ai pas apprécié le style de cet auteur.

Surtout, je n'ai pas aimé le personnage de Mena. Je l'ai trouvée naïve, je n'ai pas compris ses actions ni ses décisions. J'ai trouvé que son histoire d'amour avec le jeune homme a été raconté trop vite ne la rendant pas très crédible.

La fin a pour ma part sauvé le roman car il y a eu enfin un peu plus d'action et j'ai trouvé la conclusion de l'enquête émouvante.
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Loin des vivants

Résumé Loin des vivants de Steve Robinson

Tayte pense qu’il va mourir sans vraiment connaître ses véritables parents. Pourtant, sa cliente, une femme, saura la vérité sur sa naissance.



Cinq jours plus tôt, Eliza reçoit une valise et un mot concernant son adoption. Elle a maintenant 60 ans et charge Jefferson Tayte de retrouver sa mère.



Avis Loin des vivants de Steve Robinson

Je croyais que le genre des secrets de familles, la recherche de son identité suite à une adoption révélée des années plus tard, n’était pas pour moi. Pourtant, j’ai lu de très beaux romans à ce sujet et d’autres beaucoup moins. Ces derniers avaient comme héroïnes des jeunes femmes niaises. Ce n’est pas le cas ici. On joue dans la cour des grands avec un auteur qui a donné à son héros principal le rôle de généalogiste. Il recherche, enquête sur des parents qui ont laissé leur enfant être adopté. C’est donc son véritable métier. En plus, lui aussi, il ne connait pratiquement rien de son passé. Et sa quête, pour lui même, reste infructueuse. Ce roman mêle toutefois du policier car il y a quelques meurtres, dont le premier peut passer inaperçu. Mais l’auteur nous le rappelle à notre bon souvenir. Car quelqu’un d’autre cherche également Mena mais pour une toute autre raison.



Mena est une jeune fille qui va avoir 17 ans. Elle veut s’enrôler. Mais sa mère tient les rênes de sa famille d’une main de maître et elle interdit énormément de choses à Mena, qui, bien entendu, s’empresse de désobéir, même si elle sait que la sentence sera rude. Toutefois, elle arrive à mentir à sa mère. Pendant cette Seconde Guerre Mondiale, Mena rencontrera des soldats américains, dont un qui est l’ami d’Eddie, un jeune homme dont elle va tomber amoureuse. Mais cantonné à sa base, ils ne peuvent pratiquement pas se voir. Mena ose braver les interdits pour le rencontrer mais un événement va jouer un rôle crucial dans la suite de l’histoire. Amoureux, ils le sont. Toutefois, Mena devra encore faire face à la cruauté de sa mère et bien entendu à cette opprobre jetée sur ces jeunes filles. L’auteur nous relation très bien, dans plusieurs chapitres, qui viennent en parallèle avec l’enquête de Jefferson Tayte cette partie historique. Certes, la construction n’est pas nouvelle mais elle est réellement bien agencée. Je me suis prise d’affection pour Mena car on ne sait jamais, à l’avance, ce qui lui est arrivé. Tout comme le héros, le lecteur s’interroge. Qu’est-il arrivé à Mena ? A-t-elle réussi à fuir ? A-t-elle retrouvé son amoureux ? Ont-ils vécu ensemble ? Mais les secrets de famille sont lourds, surtout lorsqu’un écrit vient jeter le trouble sur une relation. Mena a été une victime. Victime surtout de sa mère. Alors, si l’auteur fait en sorte que cette femme ne soit pas détestée, que les circonstances, la période et surtout la position sociale peuvent jouer un grand rôle, pour ma part, je n’ai pas du tout aimé cette femme. Pour une raison qui peut être compréhensible, elle a fait en sorte que ses filles ne soient pas heureuses. Mais une personne veille au grain pour Mena, une personne qui a quelque chose à se reprocher.



Deuxième Guerre Mondiale avec ces personnes qui se sont engagées pour la paix et la liberté. L’arrivée des GI’s en Europe sera suivie de liaisons avec les jeunes filles du coin. Des bébés seront conçus et vite abandonnés par les pères. Mais que faire pour toutes ces jeunes filles dont opprobre sera jetée sur elles ? Cacher les grossesses, les placer dans des institutions jusqu’à l’arrivée de l’enfant pour l’adoption ou encore les placer pour qu’elles apprennent à obéir. L’église catholique et ses membres ont agi comme de véritables bourreaux envers ces jeunes filles qui n’avaient rien demandé. Si certaines ont vécu leur mal en patience, d’autres ont plongé dans la folie. Qui dit folie, dit hôpital psychiatrique.



Alors si vous aimez les secrets, les secrets de famille, savoir pourquoi un enfant a été abandonné, pourquoi sa véritable mère est partie sans laisser de traces, vous pouvez vous plonger dans ce très beau roman qui se passe pendant la deuxième Guerre Mondiale pour l’histoire de Mena et de nos jours pour les recherches. Au fur et à mesure de ma lecture, j’ai compris le titre. Car, l’auteur nous emmène loin pour retrouver Mena et son héros aura affaire à différentes personnes de la famille, certaines désireuses de connaître leur ancêtre et d’autres qui feront tout pour cacher. Car dans les familles, il y a toujours des secrets inavouables.



Je remercie Netgalley, Amazon Publishing pour cette lecture en avant-première de la rentrée littéraire. J’aurai grand plaisir à retrouver Jefferson Tayte dans un prochain roman et surtout le premier écrit par Steve Robinson.
Lien : https://livresaprofusion.wor..
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La voix du sang

Il y a des protagonistes qui vous semblent éminemment sympathiques dès les premières lignes d'un roman sans justement en savoir beaucoup sur eux. Et puis, au fil des pages, cette impression se confirme pour votre plus grand plaisir car c'est agréable ce type de "rencontre". Jefferson Tayte est de ceux-là pour moi. Sa profession, en plus de sa personnalité, n'y est sans doute pas étrangère. Elle se rapproche de celle des historiens (ma formation d'origine).

Son métier n'est pas aussi facile qu'il y paraît. On a d'ailleurs l'occasion de l'évoquer lors d'une rencontre avec un autre personnage. C'est intéressant de remettre un peu à sa place les choses et surtout de distinguer les différents niveaux de pratique.



J'ai eu un peu de mal avec le nombre des protagonistes cités au départ. Il m'a fallu un certain temps pour bien tous les replacer (leur filiation et leur liens, les contemporains, ceux du passé), mais ensuite cela fut plus aisé.

Les aller-retour entre le passé et une époque contemporaine furent eux aussi facilités par cette assimilation. Ouf !



L'ensemble de l'intrigue est comme une enquête policière. On se doute bien vite qu'il va y avoir des disparitions pas toutes naturelles. On suppose aussi que les faits remontent loin dans le passé, mais que les conséquences peuvent être bien réelles et de nos jours de surcroît. Il y a des secrets qui semblent ne pas devoir être révélés.

C'est rondement mené et cela se lit avec délectation. On est prit dans cette quête et on tourne les pages sans pouvoir s'arrêter.



J'ai pris aussi beaucoup de plaisir à découvrir un peu la Cornouaille à travers de belles descriptions. Et oui, les recherches ne se font pas toutes seulement dans des salles d'archives avec de vieux papiers plus ou moins bien conservés ou sur des écrans d'ordinateurs d'un autre âge mis à la disposition des chercheurs. Il y a aussi de belles rencontres, d'autres moins agréables.

Et puis,derrière tous ces noms, il y a eu de véritables personnes avec une histoire propre (même si c'est de la fiction dans le cas de ce récit).



Une lecture qui débute doucement (encore qu'un meurtre...) et qui finit par happer complètement son lecteur. Une belle surprise et vivement la suite des recherches de JT dans les prochains volumes.
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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