« Le vice inhérent du capitalisme est le partage inégal des profits ; la vertu inhérente du socialisme est le partage égal des misères. »
Winston Churchill
Le capitalisme dépend du capital, terme économique désignant en fait les ressources provenant des dépôts d’épargne. L’épargne exige, quant à elle, qu’on ne succombe pas à l’envie de la nouvelle caméra numérique vue dans la vitrine. Autrement dit, l’économie capitaliste dépend de l’autodiscipline et de la gratification retardée, alors qu’en même temps elle bombarde le public à longueur de temps de fantasmes de possessions.
Notant cette contradiction, certains analystes sociaux prônent que là capitalisme renferme les graines de sa propre fin.
Alors que certaines monarchies héréditaires ont subsisté, d’autres ont disparu – parfois littéralement. Dans nombre de pays, comme le Royaume Uni et les Pays-Bas, le monarque est devenu un important symbole de l’unité nationale, dans d’autres, comme la Grèce et l’Italie du XXe siècle, la monarchie a été une source de division, ce qui a conduit à son abolition. Le communisme n’a pas été un ami des monarchies, d’où l’exécution de la famille impériale russe et l’exil des familles royales des autres pays communistes.
« Donner de l’argent et du pouvoir au gouvernement est comme donner du whisky et les clés de la voiture à des adolescents. »
P.J. O’Rourke
l'existence quotidienne est très différente si on est né en Corée du Nord ou en Corée du Sud, tant en termes de conditions matérielles que de droits et d'acquis. Bref, la politique compte.
Une monarchie est un pays, nation, ou empire gouverné par un souverain héréditaire disposant d’un pouvoir absolu ou constitutionnel.
La globalisation est l'interconnexion accrue entre les économies nationales.