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Critiques de Stuart Palmer (12)
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L'énigme du persan gris

Plus de dix jours pour arriver au bout de ce policier… Je pensais avec cette série être tombée sur une intrigue du type de celles menées par Miss Silver, Miss Marple and Co (comme l’annonce la quatrième de couverture…), et bien Miss Hildegarde Withers ne leur arrive pas à la cheville ! Le style n’est pas très agréable à lire (mal vieilli ?), l’histoire policière semble manquer de liant, Miss Withers n’est pas attachante pour deux sous, bref, j’attends confirmation (ou pas) de ce premier jugement dans la lecture du second volet de la série (acheté en même temps que ce premier volet…)
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Coups tordus à Hollywood

En 1932, Stuart Palmer créa le personnage d’une institutrice, quadragénaire, à l’esprit acéré, ayant u mauvais goût vestimentaire, mais présentant une certaine aptitude pour l’écriture. Non, je ne vous parle pas de Jessica Fletcher, héroïne de la série « Arabesque » (Murder She Wrote), mais bien de Hildegarde Withers. Elle est souvent secondée par l’inspecteur Oscar Piper – et non le contraire !

Voilà qu’Hildegarde est engagée comme consultante technique sur le tournage d’une superproduction cinématographique inspirée d’un fait divers. A peine arrivée (mais n’est-ce pas le propre de tous les détectives ? Hercule Poirot, Miss Marple, Sherlock Holmes), un meurtre est commis dans le bureau jouxtant le sien. En butte au déni de tous ceux qui l’entourent, elle se jette à corps perdu dans une enquête jonchée de cadavres (dont le sien !)

Hollywood a souvent été le sujet de divers romans. Le meilleur et le plus drôle reste « Je hais les Acteurs » du scénariste Ben Hecht. Mais « Coups tordus à Hollywood » présente quelques moments de bravoure. Ainsi lors d’une réunion des auteurs, l’histoire servant de base au scénario subit tant de transformations et d’ajouts que le résultat est plus proche de la science-fiction que du fait divers. Ou alors les rapports hiérarchiques génèrent des attitudes de roquet totalitaire. Mais dès que des profits sont envisageables, tout le monde retourne sa veste. Le directeur de studio tyrannise tout son personnel, mais il tremble dès que le président de la compagnie cinématographique, la Mammouth, lui téléphone. Bien entendu, l’enquête est plaisante mais ne casse pas une patte à un canard. L’humour plutôt bon enfant de l’ensemble reste sa plus grande qualité.
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Coups tordus à Hollywood

Ce livre n'a rien d'extraordinaire. Bien, qu'il se déroule à Hollywood, et que certains passages sont emprunts de cet univers magique du cinéma (ou plutôt de ses débuts), avec des pseudonymes, des accidents qui se révèlent des meurtres, et des gens qui font des scénarios de films. Malgré tout, je ne l'ai pas détesté. Il était bien. Mais pas super bien. Juste bien. Bon livre. Le livre qui se lit sans trop de mal, avec ces passages vraiment bien écrits, et ces passages longuets. On peut deviner qui est le coupable assez facilement, on retrouve aussi certains stéréotypes (pas forcément dans les personnages) des livres policiers. C'est un polar tout ce qu'il y a de plus normal. Certes, j'avais hâte de le finir parce que du coup il était pas exceptionnel, mais ça va. Les personnages sont sympathiques. On a le patron stupide, la détective chevronnée et très intelligente, l'inspecteur qui la suit, et pis les suspects et les témoins comme on en voit partout. Le policier qui veut pas croire au meurtre et qui est débile, et tout. Le dénouement est pas trop original, même si il y a un morceau que j'ai trouvé très inventif, et qui m'a rendu espoir en la nouveauté de ce livre. Mais, finalement, j'ai eut la même impression qu'en lisant un livre de celle qui faisait des séries sur un détective et ses chats, elle s'appelait Braun je crois. Donc, je sais pas trop si un jour, lorsque j'en aurais l'occasion, je lirais un autre livre de cet auteur. Son plus gros avantage reste qu'il est court, et que même si on se dit "c'est bon ils tiennent le coupable" on se fait quand même un peu avoir jusqu'à la fin.
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Quatre de perdues

Stuart Palmer

Quatre de perdues









Quatrième de couverture :





A la fin des années 40, Miss Hildegarde Withers a pris sa retraite d’institutrice et peut enfin se consacrer à plein temps à sa passion de l’enquête. Ce qui n’est pas sans inquiéter Oscar Piper, inspecteur de la police de New York et complice malgré lui de cette « tornade » ! Alice, une amie d’Hildegarde, a disparu après son passage à l’hôtel Grandee. Trois autres femmes ayant séjourné dans cet hôtel semblent avoir subi le même sort. N’écoutant que son courage, cette Miss Marple made in USA, flanquée de Jeeps, la jeune et délurée nièce d’Alice, décide de servir d’appât et s’installe à l’hôtel…



La suite sur mon blog : http://cultureconfiture2.blogspot.com
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Hollywood sur meurtre

L’Américain Stuart Palmer (1905 – 1968) exerce différents petits boulots avant de proposer en 1932 son premier roman policier, MEURTRE DANS L’AQUARIUM, où débute également son héroïne récurrente, Hildegarde Withers, institutrice dans la quarantaine qui seconde efficacement l’inspecteur Oscar Piper. Quatorze romans (six seront traduits en français) et quatre recueils de nouvelles lui seront consacrés, sans oublier six films tournés durant les années ’30.

Dans cette nouvelle enquête, Miss Withers est conviée à Hollywood pour devenir conseillère technique sur une grosse production de la Mammoth consacrée à la fameuse meurtrière Lizzy Borden. Elle rencontre rapidement un scénariste qui se confie à elle et affirme se sentir menacé. Or, celui-ci meurt accidentellement peu de temps après en voulant punaiser un poster : il tombe de sa chaise et se brise les cervicales. Un accident ? Pas pour Miss Withers, persuadée qu’il s’agit d’un crime camouflé. Le coupable serait un certain Derek Laval, personnage peu recommandable et totalement insaisissable.

L’intrigue policière s’avère bien menée et efficace, complexe sans être inutilement embrouillée, avec de nombreux rebondissements parfois surprenants. Le cadre hollywoodien choisit se révèle en outre original, avec beaucoup de notes humoristiques adroitement disséminées par l’auteur qui devait s’y connaitre puisqu’il était lui-même scénariste. Le producteur se montre particulièrement bien brossé : après avoir engagé Miss Withers pour veiller à l’exactitude historique de son film il n’hésite pas à travestir la réalité pour les besoins du spectacle. L’effacée Lizzy Borden devient donc une reine de beauté, une romance est ajoutée à l’affaire et l’arme du crime, une petite hachette, devient une hallebarde médiévale afin de rendre le long-métrage plus grandiose.

Bien sûr, après bien des erreurs et des fausses pistes, Miss Withers découvrira l’assassin qu’elle forcera à se confesser en utilisant une méthode extrêmement spéciale qui témoigne de l’originalité et du sens de l’humour de Stuart Palmer.

En dépit de quelques invraisemblances (est-il vraiment impossible pour un criminel de briser le cou de sa victime à mains nues ? On peut en douter), l’énigme fonctionne, les dialogues entre Miss Withers et son ami inspecteur sont très vivants et le rythme est soutenu, aidé par la brièveté du roman (moins de 200 pages) et l’humour constant. Un agréable “policier” à l’ancienne.


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L'énigme du persan gris

Connaissant les enquêtes de la formidable Miss Marple, je me suis dit pourquoi pas lire les aventures de sa "cousine" américaine.



L'histoire est intéressante mais le personnage d'Hildegarde Withers manque de relief.



Même si l'intrigue n'est pas très palpitante, cette lecture a été un moment transitoire entre deux romans noirs ou thrillers.
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L'énigme du persan gris

Alléchée par les promesses de la 4ème de couverture, je m’apprêtais à passer un bon moment en suivant l’enquête de Miss Hildegarde Withers, institutrice new-yorkaise embarquée à bord de l’American Diplomat pour passer quelques jours de vacances en Angleterre.



Elle est présentée comme une « cousine » américaine de Miss Marple, mais notre héroïne est loin d’égaler sa consœur anglaise.



Les personnages sont peu attachants, y compris l’héroïne, que j’ai trouvée particulièrement agaçante. Son côté sans gêne et sa morale pour le moins élastique ne m’ont guère convaincue. Elle n’hésite pas à rudoyer ceux qui l’entourent, y compris Scotland Yard, et fait même preuve d’un manque cruel d’empathie envers les victimes.



Une histoire alambiquée, des personnages à la psychologie peu fouillée, des réactions qui m’ont semblé souvent caricaturales et des situations, à mon avis, peu crédibles complètent un tableau peu engageant.



Pourquoi ai-je absolument voulu aller jusqu’au bout de ce roman qui, au final, m’a laissé une si mauvaise impression ? C’est là que réside le mystère...
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Quatre de perdues

Institutrice à New York dans les années 40, Miss Hildegarde Withers a tout d'une vieille fille rangée. Mais ne vous y fiez pas ! Sous ses chapeaux extravagants, elle nourrit une passion inattendue : les enquêtes criminelles. Comme ses «cousines» anglaises, Miss Marple ou Miss Silver, notre détective amateur met son sens de l'observation au service de la justice, mais n'hésite pas non plus à risquer sa vie lorsque cela s'avère nécessaire. Et maintenant qu'elle est en retraite, elle va pouvoir se consacrer à sa passion pour les enquête à plein temps.

Stuart Palmer nous présente ici un de ces fameux romans à l'anglaise. On y redécouvre une héroïne moderne à l'accent yankee. Et avec elle on aime menée l'enquête. Mais attention à jouer ainsi les détectives amateurs on risque parfois bien plus que la vie....Mais ce qui est certain c'est que l'on passe un sacrée bon moment de lecture ! Et puis, en plus, on apprécie aussi l'humour un brin corrosif de l'auteur....
Lien : https://collectifpolar.com/
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Coups tordus à Hollywood

Deux scénaristes d'Hollywood aiment jouer des tours à des personnalités du grand écran. Cela pourrait être juste des blagues de potache, mais lorsqu'un des deux farceurs est retrouvé mort, on peut se demander si tout le monde appréciait leur sens de l'humour...

C'est dans ces circonstances assez troubles qu'Hildegarde Withers, embauchée occasionnellement par un studio comme consultante, commence à enquêter sur ce qu'elle ne considère pas comme un accident.

Evidemment, elle va se heurter à un monde assez opaque et sans pitié, car à Hollywood, même si un scénariste meurt, show must go on !

Si le résumé de ce livre semblait sympathique, je n'ai malheureusement pas été emballée par l'intrigue. Hildegarde fait indéniablement penser à Miss Marple, mais elle n'est PAS Miss Marple.

Je n'ai pas été séduite par sa personnalité, ni par son ami, l'inspecteur Oscar Pipe.

Le gros problème dans ce livre pour moi est que je n'ai réussi à m'attacher à aucun personnage.

Les rebondissements  ne m'ont hélas pas fait changer d'avis. Certaines idées sont intéressantes, mais pas forcément bien exploitées, et je n'ai pas trouvé que les protagonistes agissaient de manière "naturelle" (même pour des gens d'Hollywood !) J'ai poursuivi ma lecture jusqu'au bout en espérant être surprise par le dénouement, il m'a juste laissé indifférente...


Lien : http://racontemoilalecture.o..
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L'énigme du persan gris

Roman policier très daté, concentré des stéréotypes du genre dans les années 30.

De plus, les 2 premiers volumes publiés sont piochés au hasard : celui-ci est le 5e (1935) et "Quatre de perdues" est le 10e (1949).

Donc : gros bof)

Un tout petit peu d'indulgence pour la présence du chat Tobermory, dans lequel je veux voir un clin d'oeil à Saki, mais sans plus !
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Une très mauvaise farce

Hildegarde, une institutrice en retraite enquête à Hollywood dans les studios de dessins-animés suite à l'envoi de cartes anonymes menaçantes. Dès son arrivée, elle pénètre en effraction chez un des destinataires de ces cartes et le trouve mort empoisonné… Elle appelle son vieil ami inspecteur à Manhattan, Oscar, pour l'aider. Une belle écriture, de l'humour et du suspense ; que demander de plus ?
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Hollywood sur meurtre

J'ai adoré ce petit livre qui m'a fait pensée à Agatha Christie. Style ancien mais il arrive encore à surprendre et il se lit vite.
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