Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Baraboo, Wisconsin , le 21/06/1905
Mort(e) le : 04/02/1968
Né(e) à : Baraboo, Wisconsin , le 21/06/1905
Mort(e) le : 04/02/1968
Biographie :
Né Charles Stuart Palmer en 1905 dans le Wisconsin, Stuart Palmer fit ses études au Chicago Art Institute ainsi qu’à l’Université de Madison, Wisconsin. Outre le métier de journaliste et d’écrivain, Palmer fut chauffeur de taxi et matelot. Il travailla également à Hollywood en qualité de scénariste.
Son premier roman, écrit vers la fin des années 20, reçut un très bon accueil du public lors de sa parution en 1931 ; il met en scène la fameuse Hildegarde Withers, vieille fille curieuse et mêle-tout.
Lors de la seconde guerre mondiale, Stuart Palmer travailla à Washington D.C. en tant qu’agent de liaison entre les services secrets américains et les studios hollywoodiens tout en contribuant à une série de scripts mettant en scène l’un des héros préférés des Américains à cette époque : le célèbre "Falcon".
De 1954 à 1955, il fut président de l’Association des Auteurs de Romans Policiers.
Palmer collabora aussi à une série de nouvelles drôles et savoureuses avec la célèbre auteure de romans policiers loufoques, Craig Rice.
Il décida d’arrêter les polars avec Miss Withers comme personnage principal en 1941, toutefois sporadiquement celle-ci est la protagoniste de nouvelles. Il produisit aussi une série de nouvelles courtes pastichant le style de Conan Doyle avec son célèbre Sherlock Holmes. Palmer - sous le pseudonyme de Jay Palmer -tenta de briser le moule d’auteur de polars en s’essayant encore au genre "thriller". Écrivain prolifique, il écrira jusqu’à sa mort en 1968.
+ Voir plusNé Charles Stuart Palmer en 1905 dans le Wisconsin, Stuart Palmer fit ses études au Chicago Art Institute ainsi qu’à l’Université de Madison, Wisconsin. Outre le métier de journaliste et d’écrivain, Palmer fut chauffeur de taxi et matelot. Il travailla également à Hollywood en qualité de scénariste.
Son premier roman, écrit vers la fin des années 20, reçut un très bon accueil du public lors de sa parution en 1931 ; il met en scène la fameuse Hildegarde Withers, vieille fille curieuse et mêle-tout.
Lors de la seconde guerre mondiale, Stuart Palmer travailla à Washington D.C. en tant qu’agent de liaison entre les services secrets américains et les studios hollywoodiens tout en contribuant à une série de scripts mettant en scène l’un des héros préférés des Américains à cette époque : le célèbre "Falcon".
De 1954 à 1955, il fut président de l’Association des Auteurs de Romans Policiers.
Palmer collabora aussi à une série de nouvelles drôles et savoureuses avec la célèbre auteure de romans policiers loufoques, Craig Rice.
Il décida d’arrêter les polars avec Miss Withers comme personnage principal en 1941, toutefois sporadiquement celle-ci est la protagoniste de nouvelles. Il produisit aussi une série de nouvelles courtes pastichant le style de Conan Doyle avec son célèbre Sherlock Holmes. Palmer - sous le pseudonyme de Jay Palmer -tenta de briser le moule d’auteur de polars en s’essayant encore au genre "thriller". Écrivain prolifique, il écrira jusqu’à sa mort en 1968.
Source : www.livres-online.com
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Harriet fit volte-face, se précipita vers la fenêtre la plus proche et la releva à fond. Il était maintenant tout près d’elle, mais il ne fit aucun geste pour l’empêcher d’agir. Il se contenta d’un « Pauvre Harriet ! », et elle sentit la chaleur d’une joue sur son épaule dénudée, un bras se glisser autour de sa taille.
Elle n’avait jamais été à sa place dans ce cadre, car elle n’était pas une femme du monde, mais seulement Harriet Bascom, de Poughkeepsie, bibliothécaire en manque d’amour qui cherchait à se persuader que cet homme rencontré dans un bar était le Prince Charmant monté sur son blanc destrier.
Après tout, ça n’était pas comme si elle était seule avec lui en pleine jungle ou sur une île déserte. Elle se trouvait au cœur de la plus grande ville du monde, dans un hôtel de mille chambres, plein de gens prêts à accourir. Elle n’avait qu’à ouvrir la fenêtre et appeler au secours.
- Pourquoi avez-vous peur de moi ? lui demanda-t-il d’une voix sourde et rocailleuse.
Il n’en fallut pas plus pour arracher Harriet à la stupeur qui la paralysait et lui rendre ses esprits.
Il n’en fallut pas plus pour arracher Harriet à la stupeur qui la paralysait et lui rendre ses esprits.
Mais à présent qu’elle se découvrait sans défense devant lui, elle se trouvait du même coup dépouillée de ses illusions.
Bien que l'institutrice fût loin de s'en douter, le cauchemar commençait à peine.
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