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Critiques de Susan Eloise Hinton (28)
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Outsiders

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce livre. Je savais juste d'après les commentaires de Dieu que Ponyboy était un type bien. Et puis dès les premières pages j'ai été "prise" par l'histoire de ce jeune Greaser pas comme les autres. Car oui, Ponyboy a beau être un Greaser, il est surtout un rêveur, un lecteur, un type intelligent qui veut autre chose qu'une vie de voyou...



L'histoire est racontée par Ponyboy, et se retrouve alors emplie de toute la naïveté d'un jeune greaser de 14 ans qui certes n'a pas eu la vie facile, mais qui ne connait pas tout non plus de la vie. On suit le fil de ses pensées, et tout cela n'en rend la lecture que plus touchante. On ne dirait pas en lisant le résumé, mais Les Outsiders est un livre bien émouvant. J'avoue avoir eu les yeux humides un bon nombre de fois pendant la lecture - et il ne fait que 219 pages !



Les Outsiders est une histoire sur les répercussions des "guerres" entre gangs, mais en même temps ça va beaucoup plus loin que ça. Ca parle de différences au sein d'un groupe (tous les Greaser n'ont pas les mêmes idées, les mêmes motivations), de relations fraternels (Ponyboy vit avec ses deux frères Sodapop et Darry), d'amitié (entre eux, c'est à la vie, à la mort!), et il illustre bien le dicton disant que la vraie famille c'est celle que l'on choisi...



Un autre point qui m'a plu dans le roman, c'est que l'histoire a beau se passer dans les années 60, le thème est toujours d'actualité... La "guerre" des gangs fait toujours des victimes de nos jours... Et ce qui est plus étonnant encore ce sont les circonstances dans lesquelles il a été écrit : Susan Eloise Hinton a écrit ce roman alors qu'elle était à peine âgée de 16 ans. Elle était révoltée par les injustices sociales ayant lieu dans son lycée et a alors décidé d'écrire son livre. C'était sa façon à elle de montrer le vrai côté des "outsiders"...



En résumé, un beau roman, avec des personnages auxquels on s'attache énormément malgré leur réputation de voyou (et d'ailleurs on se rend vite compte que les voyous, ne sont pas toujours ceux qu'on croit...)
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Outsiders

Dans ce roman imaginé par une jeune fille de seize ans en 1967, l'auteure se met dans la peau, dans la tête, dans les mots d’un jeune de quatorze ans de Tulsa, en Oklahoma. Ponyboy Curtis vit avec ses deux frères dans un quartier déshérité, appartient au clan des « Greasers » qui s’opposent régulièrement aux « Socs », les petits bourgeois en voitures décapotables et polos bien repassés. Leur culture commune est la bagarre, les codes de la rue, le cinéma en plein air, l’alcool et les cigarettes. La mort d’un de ces jeunes va bouleverser la vie de Ponyboy, et l’obliger à prendre la fuite.

Mais ce « West side story » de l’Oklahoma va bien au-delà du portrait, très réussi au demeurant, d’une génération cabossée. Car la jeune auteure, finement, ne caricature pas les garçons et les filles des deux clans rivaux. D’un côté comme de l’autre, certains diffèrent un peu des autres, essayent de s’en sortir, de voir plus loin que leurs petites guerres, de prendre conscience que tout cela finira mal. Ce roman est aussi celui du rôle de la littérature qui sauve, de la solidarité, de l’amour, de la mort, de la rédemption peut-être…

Je ne sais plus trop pourquoi j’ai choisi ce roman, puisque le choix d’un narrateur adolescent, je trouve toujours cela un peu risqué. Bien souvent, je ne reste pas intéressée très longtemps, ça semble un peu fabriqué. Cette fois, j’y ai trouvé un accent de véracité, et malgré le vieil exemplaire tout jaune et délabré que j’avais sous la main, j’ai dévoré le roman ! Quelques phrases sonnent de manière un peu naïve, parfois, mais cela reste assez marginal pour ne pas s’y arrêter. Je me suis dit qu’on devrait en faire un film, de cette formidable histoire, mais il existe déjà !
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Outsiders

Ponyboy est un garçon intelligent, malheureusement il n'a pas eu la chance de naître dans une famille aisée. En quelques pages, il nous raconte avec beaucoup d'émotions le moment où sa vie a basculé à cause d'une guerre de clans.



Un livre bien écrit qui ne laisse pas indifférent ... si comme moi vous avez aimé "Nous rêvions juste de liberté" ce livre devrait vous plaire. Bonne lecture !!
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Outsiders

Coup de coeur pour ce roman dépeignant la rivalité entre deux groupes sociaux antagonistes dans un lycée américain lambda. Nous sommes loin du film Grease qui décrit à peu près la même époque. Ici la violence règne, chacun est défini par son milieu social d'origine, sans espoir de s'en échapper, et cette confrontation entre deux mondes se terminera en tragédie.

L'auteure a pris le parti de suivre les Greasers, les moins fortunés, nous décrit des personnages aux âmes torturées auxquels je me suis très vite attachée. Malgré les conditions de vie difficiles, leur dureté, ces outsiders restent infiniment humains et se définissent par l'amitié, l'entraide et la solidarité. L'écriture est fluide, la psychologie des personnages finement dessinée.
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Outsiders

Le résumé m'avait attiré, les histoires de rebelles gominés valant toujours leur pesant de cacahouètes... résultat, une grosse frustration au bout d'une vingtaine de pages, l'écriture étant extrêmement gentillette, flirtant même avec la niaiserie régulièrement (j'imagine que la traduction en français n'aide pas... les "c'est un chic type", "mince alors", "mon frère est un chou" font plus penser à la série la fête à la maison qu'à des caïds s'éclatant à coups de chaines de vélo). Après vérification, effectivement le roman s'adresse plus aux ados, et a été écrit par une américaine alors âgée d'à peine 17ans. Une fois mis ca de côté, on retrouve un roman de gare qui se lit bien (je l'ai lu dans un train d'ailleurs), pas prise de tête, pas trop moralisateur, mais pas franchement révolutionnaire non plus. Les gominés méritent mieux ! Je le conseillerai quand même à un ado, ca peut toucher son public (un ado pas fan de lecture, avec un environnement personnel pas super sain, ca doit se trouver)
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Outsiders

La première fois que j'ai découvert cette bande de jeunes rebelles généreusement gominés, j'avais 12 ans, un walkman greffé à la hanche et 3 parquets de Patafix pour placarder le poster du film au plafond. Si quelqu'un m'avait dit à l'époque qu'il était adapté du premier roman d'une jeune ado de 16 ans (ou si j'avais juste mieux lu le générique de début) je l'aurais bien plus tôt dévoré !

Je ne peux donc être objectif.ve dans cette chronique (mais peut-on l'être vraiment?) car je la sais biaisée par ce parfum d'enfance qui a toujours tendance à enjoliver le passé.



Oklahoma. 1966. Les Greasers, une bande de marginaux, et les 'Socs', gosses de riches, se livrent une guerre de gangs dont ils ne se remettront pas. Au milieu de tout ça, Ponyboy, un Greaser orphelin de 14 ans, va faire l'apprentissage de la (sur)vie.

C'est l'histoire d'une bande de mecs bien au fond, à commencer par Ponyboy, rêveur allergique à la violence, et Johnny, victime de ses géniteurs à qui la vie ne semble réserver que des merdes. Je me suis attachée à ces voyous. Des outsiders touchants que j'aurais bien accompagner au Drive-in pour rêver, parler justice et égalité. De ces potes avec qui on refait le monde à 3h du matin en tentant d'oublier tout ce qu'on aura jamais ...

Si vous aimez les histoires à la West Side Story, les émotions sincères et la littérature sociale en Amérique profonde, ou si vous êtes juste un.e grand.e ado au fond, foncez ;)
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Outsiders

Cette histoire prend le lecteur sur un voyage phénoménal par les choix de vie d'un jeune membre de gang. Nous savons que la période est mise au milieu des années 60 à cause de ce que les gens portent et l'argot qu'ils utilisent. Le livre suit les difficultés de notre jeune protagoniste de seize ans, Ponyboy. Ponyboy est votre moyen inadapté de lycée qui se trouve au milieu de deux gangs rivales, les Greasers et les Socs. Ponyboy est un Greaser, mais il n'adapte pas le moule. Il aime les choses que les autres membres du gang ont aucun intérêt pour, comme la lecture et regarder des films. Pour Ponyboy ce gang n’est pas seulement un gang, mais c’est sa famille. Seul le temps nous dira où les choix de Ponyboy le mèneront.



Je n'aime d'habitude pas les livres de lecture, mais "Outsiders", par le S.E. Hinton, est une des rares exceptions. Le livre fait un excellent travail à capturer les émotions des personnages et laisse le public en admiration. Je trouve que ce livre soit captivant et perspicace. À mon avis, je trouve que le conte soit puissant. Les personnages ont chacun une personnalité unique qui vous fait sentir un lien avec eux. La manière dont l'histoire est racontée du point de vue de Ponyboy, crée une expérience divertissante.

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Outsiders

J'avais du lire ce livre pour les cours, et je remercie les profs qui l'ont choisi. Je l'ai lu en anglais donc le style des phrases un peu simpliste n'était pas trop dérangeant mais j'avoue que j'ai eu un peu de mal pour la lecture en français.

En tout cas, l'histoire est magnifique, c'est l'histoire de gamins un peu paumés qui essayent de lutter contre les riches mais sans succès. Une belle histoire sur les adolescents et la mort.

Le film lui aussi a été plutôt réussi, avec un Tom Cruise super dans son rôle quoi que un peu vieux pour son personnage.

J'ai vraiment beaucoup aimé, même si l'histoire est triste tout le long, c'est ce qui fait la beauté du livre.
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Outsiders

Dans un des derniers livres que j’ai lu, un des personnages, un prof, donnait le livre Outsiders à lire à ses élèves. Les échanges qu’ils ont eu dessus m’ont donné envie de le découvrir et hop ! Grâce à la magie d’internet, 2 jours après il était entre les mains



Énorme coup de cœur pour ce roman de vie. Ça faisait bien longtemps que je ne m’étais pas immergée autant dans un récit



C’est juste la vie d’un jeune de la fin des années 60, aux États Unis, juste la vie de ses frères et lui, de ses amis. Juste la vie d’un jeune blouson noir qui découvre à travers la guerre des gangs ce qu’est l’amour, la mort, l’amitié, ce qu’est la vie…



C’est juste beau et vrai

J’ai adoré





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Outsiders

il m'est très rarement (une fois ? deux fois grand max ... ) arrivé de lire un livre après avoir vu son adaptation-ciné car j'aime avoir mes "propres images" en tête quand je lis un livre ... (en général je fais plutôt l'inverse : je m'arrange pour lire le livre avant de voir l'adaptation ciné ... ).



Ici le cas est un peu particulier : Outsiders (de F.F. Coppola) est un des films qui a marqué mon adolescence, je l'ai vu, revu, aimé fort ... Je n'ai appris que très récemment qu'il était tiré d'un bouquin. Et forcément : j'ai été curieuse.



Comme prévu il m'a été impossible de me défaire des images du film pendant ma lecture. le film est même si fidèle au bouquin que j'avais l'impression de le regarder en lisant :-)



Je ne sais pas si j'aurais autant apprécié le bouquin (qui est un bouquin pour adolescent... "raconté" par un adolescent ... et écrit à l'époque par une adolescente de 17 ans... ) si je n'avais pas vu le film avant ... mais je n'arrive pas à en faire abstraction alors c'est comme ça, ça part sur un 5 étoiles totalement partial :)))



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Outsiders

Ce livre de dévore tout cru. Le lecteur suit un jeune "Greaser" (Loubard) pas vraiment comme les autres dans les années 60 aux États-Unis. Orphelin, il vit avec ses deux grands frères et La Bande. Entre histoires de filles, de gomina, de blousons en cuirs et de rivalités urbaines avec les "Socs" (les jeunes des quartiers riches) ; le récit va cependant vite tourner au drame et donner à ses jeunes 'Greaser' une profondeur, et une grande humanité. Ce livre m'a fait penser au roman de Richard Price "Les seigneurs"que j'avais beaucoup aimé.
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Outsiders

Avec ce livre, l'auteur nous plonge directement dans l'histoire très réelle de luttes entre des gangs de jeunes dans une même ville.



Nous suivons l'histoire de Ponyboy, 14 ans, et de ses frères : Soda et Darry. C'est le plus jeune des trois frères. Ils ont perdus leurs parents. Ils forment donc une famille entre eux trois mais aussi avec leurs potes : Dally, Johnny, Grain de sel et Steve.



Suite ...
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Outsiders

Roman écrit par Susan Eloise Hinton à l'age de 16ans, Outsiders relate un pan de la vie de plusieurs jeunes de bandes ennemis, les Socs, des petits bourgeois en décapotable pour qui la survie n'est pas un problème, et les Greasers, des jeunes de la rue confrontés aux difficultés de la vie. On y suit l'histoire particulière de Ponyboy, un très jeune Greaser qui est constamment avec ses frères et leur bande. Très imprégnés d'alcool, de cigarettes et de bagarres, ces jeunes et en particulier Ponyboy, vont vite être confrontés à un drame, le meurtre d'un Socs, qui changera à jamais la vie de ce jeune garçon.

Ce roman, écrit avec beaucoup de poésie ne tombe pas dans la caricature de ces différents jeunes hommes. Chacun à un caractère unique et est attachant. Et même, malgré les rivalités entre ces clans, ils savent tous que cette guerre les mèneras au drame, un drame plus complexe que la mort d'un jeune Socs.

J'ai beaucoup apprécié cette lecture, très courte mais tellement prenante ! Je suis sidérée qu'une jeune femme de 16ans ai réussi avec autant de brio à se mettre à la place d'un jeune homme. Écrire un roman avec un narrateur adolescent à rarement (pour moi) été fait aussi bien.
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Outsiders

Voici un petit livre de poche que m'a prêté une collègue qui devrait plaire aux lecteurs de Nous rêvions juste de liberté de Loevenbruck.

Nous sommes dans les années 60 à Tulsa, Oklahoma, en compagnie de jeunes désabusés. Nous vivons quelques jours en compagnie de Ponyboy, Johnny, Dally, Darry, Soda. Des jeunes plus ou moins scolarisés, des jeunes qui doivent bosser, des familles socialement touchées, deux bandes rivales. Les socs, jeunesse de bonne famille, les Greasers, jeune populaire.

Tout est prétexte à s'affronter, querelle de territoire, de fille, la moindre rencontre est prétexte aux échauffourés.

Mais quand on a 14 ans et qu'un drame survient, Ponyboy se retrouve très vite dans le grand bain. Sa vie insouciante bascule du jour au lendemain et le passage à l'âge adulte va se produire bien plus vite que prévu.



C'est un roman qui m'a beaucoup plu, et que j'imaginais, je ne sais pas pourquoi, écrit par un homme. Peut-être parce que j'avais souvent en tête l'autre roman auquel je le compare. A tort. C'est le cliché type. Quelle ne fut donc pas ma surprise de voir que les initiales correspondaient à un prénom féminin!



[Attention! Ne me faites pas dire ce que je n'ai surtout pas dit! je n'ai jamais dit ni pensé qu'il y avait une littérature féminine et une littérature masculine! Mais voilà, pour une fois, je n'avais pas cherché à en savoir plus avant de commencer ma lecture pour davantage de surprise à la lecture.

Si je prends la peine d'ajouter cette remarque, c'est que mon commentaire à une copine m'a valu cette suggestion aberrante.]

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Outsiders

Je ne connaissais ni l'auteur, ni le film, ni l'histoire. Mais la pochette représentant ce qu'on devine être une bagarre m'a beaucoup attirée. Il n'a pas fallu lire longtemps pour que la quatrième de couverture me convainque de l'acheter.



Ce roman, c'est un Grease version Hooligans. Derrière la légèreté apportée par la gomina dans les cheveux se cache une réalité vraiment pas toute rose.



On s'attache à ces gamins, qui prônent un idéal de liberté, d'amitié et de violence, et en même temps, qui sont si conventionnels dans les faits, en prenant rendez-vous avec une bande rivale pour une bagarre par exemple. On s'attache à chacun d'entre eux, et comme on le devine au début du livre, un malheur arrive. J'ai souvent eu la larme à l'oeil malgré la petitesse du livre. J'ai hâte de voir ce que Coppola a fait de tout ça. J'espère que j'y verrai la même représentation que la mienne, Sons of Anarchy version école maternelle.



Petit aparté : certains de ces gamins se prénomment Sodapop ou Ponyboy… Tu m'étonnes que ces gamins tournent mal !
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Outsiders

J'ai lu le livre quand j'avais 16 ans parce que je venais de voir le film de Coppola qui m'avait fait pleurer. Coppola en a tiré une telle belle adaptation qui a été le 1er film de jeunes acteurs destinés à devenir de grands (Tom Cruise, Patrick Swayze, C Thomas Howell...). Je ne l'ai pas relu depuis mais mon souvenir est qu'en effet, l'histoire n'a pas vieilli et pourrait être transposée dans les années 2000 sans que cela ne nous semble décalé. Il s'adresse plus à un public d'ados dans l'écriture et dans l'histoire mais, quelque soit notre âge, nous ne pouvons pas rester indifférens à l'histoire de ces jeunes qui poursuivent des rêves qui ne semblent pas irréalisables et pour qui tout bascule en quelques secondes..
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J’ai lu ce livre dans le cadre de l’operation Masse critique de Babelio. Je dois dire que j’ai vraiment beaucoup appreciee ce livre. Il est simple et agreeable a lire. L’histoire est tres prenante et on s’attache vite aux personages, malgres leur mauvaise reputation.



Cette histoire se situe dans les annees 60 mais pourrait tres bien, helas, etre ecrite a notre époque. La “guerre” entre bandes ennemis font toujours des victims.



En revanche, je ne sais pas comment expliquer, mais on sent que ce sont les ecrits d’une jeune adolescente car j’avais parfois l’impression de sentir une certaine naivete. Enfin des chose qu’une fille pourrait ecrire mais pas un garcon, et encore moins un voyou !



Mais ce livre reste une tres bonne decouverte et j’aimerai voir le film.



Enfin je m’excuse de mon tres grand retard pour poster ma critique et je remercie Babelio et les Editions Hachette pour cette jolie decouverte !







Ma note : 17 /20

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Outsiders

C'est dommage que ce livre n'est pas davantage lu, c'est un des meilleurs que j'ai pu lire après avoir vu le film de Francis Coppola (qui l'a très bien adapté d'ailleurs !). En effet, cette histoire inspirée du vécu de l'auteure, fait réfléchir sur les différences entre les classes sociales à cette époque en 1960 et les injustices qui en résultent. On a ces mauvais garçons en veste en cuir avec de la gomina qui présentent pourtant des failles.
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Outsiders

« Outsiders » est un peu le « West Side Story » de la littérature. A l'instar du film de Robert Wise, ce court roman met en scène une intense rivalité entre deux bandes de jeunes d'une même ville dans les années 60. Le narrateur, Ponyboy est un jeune garçon du clan des « greasers » des quartiers pauvres dont le quotidien est rythmé par les conflits les opposant aux « Socs » des quartiers bourgeois. L'auteur signe ici une œuvre générationnelle influencée par les bagarres entre les mods et les rockers en Angleterre et la mode des blousons noirs.





Assez manichéen de prime abord, Hinton apporte pourtant des nuances à son récit et à ses personnages. Il faut passer outre les apparences pour aborder la véritable personnalité de ces jeunes délinquants dont la vie est loin d'être rose. Le style y est percutant avec des passage forts en émotion ce qui atténue un peu la faiblesse de l'intrigue qui, elle, est un peu trop prévisible.





Se lit très bien et, malgré les années, peu toujours plaire à un certain lectorat, notamment adolescent.
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Outsiders

J'engage tout le monde à lire cet excellent roman. Quant à moi, je l'ai lu d'une traite, ses 220 pages m'ont tenu une soirée : il est d'une fulgurance sans nom. Son propos est toujours d'actualité et sa construction très ingénieuse. Peu connu, il gagne pourtant à l'être tant il est formidable. Le lecteur vibre au rythme du regard d'un ado de 14 ans qui décrit les quelques jours où sa vie va basculer. Orphelin, entouré et élevé par ses deux frères, il est un "greaser", un de ces gamins de banlieue sans le sou, qui traîne avec ses copains souvent plus âgés. Ceux-ci s'opposent aux "Socs", les ados et jeunes adultes frimeurs qui ont de l'argent. La violence est terrible entre les deux camps et les bagarres récurrentes. Néanmoins tout semble normal à ces jeunes. Leur vie se déroule ainsi.

Jusqu'au moment où la complexité de la vie va s'imposer ...

Lisez-Le, c'est un conte intemporel, une fable sans concession sur la dureté de la vie, un roman initiatique superbe.
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