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3.41/5 (sur 29 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Suzan Tisdale est auteure de romance.

En décembre 2011, elle publie sur Amazon "La fille de Laiden" (Laiden's Daughter, The Clan MacDougall Series - Book One). Dès février 2012, le roman est n°2 du top des ventes et l’aventure commence !

En octobre 2012, Suzan quitte son travail pour se consacrer à son métier d’écrivain. Elle a publié plus de 15 ouvrages à ce jour.

Suzan Tisdale vit dans le Midwest avec son mari, charpentier, et le plus jeune de leurs quatre enfants.

son site : http://www.suzantisdale.com/
son blog : https://yourcheekywench.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/SuzanTisdaleromance/

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Bibliographie de Suzan Tisdale   (4)Voir plus

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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Ces pensées et désirs lui étaient auparavant totalement étrangers. Jusqu’à ces derniers jours, il s’était toujours imaginé être un esprit libre. Il n’avait jamais voulu être assujetti aux responsabilités qu’une femme et des enfants impliquaient. Il avait toujours apprécié de pouvoir aller et venir comme bon lui semblait, et il ne comptait plus la quantité de femmes avec lesquelles il avait partagé son lit. Mais aucune n’avait retenu son attention plus de quelques heures. Et aucune ne lui avait jamais fait désirer quoi que ce soit de plus que d’assouvir ses besoins physiques.
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Elle était toujours éberluée d’avoir eu la chance d’épouser un tel homme, extrêmement bienveillant et généreux, au point qu’elle se demandait souvent s’il n’était pas simplement le fruit de son imagination. Elle ne savait pas comment aborder Frédérick ou l’espoir des jours et des mois remplis de tendresse qu’il semblait lui promettre.

Accoutumée à ce que le chaos et la colère soient les forces dominantes de son existence, il lui fallait souvent de longs moments d’introspection avant de parvenir à cette conclusion : il ne lui voulait aucun mal.

Il avait suffi de ces quelques longues, horribles et terribles minutes dix ans auparavant pour qu’elle se rende compte qu’on ne pouvait pas faire confiance aux hommes. Et la première raclée qu’elle avait subie des mains de son père avait scellé cette conviction dans son cœur et dans son âme aussi fermement que sous une chape de pierre indestructible.

En très peu de temps, Frédérick avait commencé à desceller au burin ce bloc impénétrable. Petit à petit, par sa gentillesse et sa générosité, il était parvenu à écailler le vernis d’années de méfiance, de peur et de doute. C’était une sensation des plus déroutantes.
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— Je vous promets que je ferai de mon mieux pour gagner sa confiance et son respect. Je sais que ce qui lui est arrivé ce matin est de ma faute. Si je ne m’étais pas comporté comme un tel imbécile hier soir, elle n’aurait pas été battue.

Les yeux de Rose pétillèrent d’amusement.

— Il faut beaucoup de courage pour reconnaître ses erreurs, et plus encore pour admettre que l’on est un imbécile.

Frédérick eut un petit rire et découvrit qu’il était reconnaissant envers Rose de son honnêteté et de sa franchise.

— Je suis content que vous soyez l’amie de ma femme, Rose. À présent, allez vous occuper de vos obligations tandis que je vais remplir les miennes.

Rose inclina la tête.

— Et que vous sentez-vous donc obligé de faire ?

— Demander pardon à mon épouse, répondit-il.

— Prenez garde à la façon dont vous le faites, Frédérick, car Aggie n’est pas habituée à ce qu’un homme agisse ainsi. Cela pourrait la faire retomber en état de choc.

Frédérick leva les yeux au ciel et sourit tandis que Rose s’éloignait.

Il prit une profonde inspiration avant de se diriger vers sa chambre.
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Peut-être que son nez n’était pas aussi gros que ses frères l’avaient prétendu. Ce n’était qu’un nez, un nez on ne peut plus simple.
Mes lèvres… peut-être que mes lèvres ne sont pas trop fines, ni trop bombées, mais elles n’en restent pas moins des lèvres banales. Et mes joues… elles auraient sans doute meilleure mine si je les pinçais pour les faire rosir un peu et masquer les taches verdâtres qui les recouvrent actuellement.
Peut-être ne suis-je pas si hideuse, pensa-t-elle. Une chose est sûre, je n’ai pas la beauté de Bree. Alors quelconque, oui, mais sans doute pas si hideuse que mes frères me le disaient.
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oh ! s'exclama Duncan en esquissant un sourire en coin, et voici Petit William.
Aishlinn se demande comment un homme si monumental pouvait être qualifié de petit. Elle se tourna pour chuchotter à l'oreille de Duncan :
S'il est petit, je détesterais croiser Grand William.
Duncan glousse avant de répéter aux autres ce qu'elle venait de lui dire, et il rirent tous à gorge déployée. Aishlinn rougit de gêne face au vacarme qu'elle avait déclenché.
Daniel McAllister intervint :
- on l'appelle Petit William, jeune fille, parce qu'il a un petiiit.....
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Elle lutta de tout son être pour chasser leurs visages et leurs voix de son esprit, et s’efforça à la place de se concentrer sur la liberté et l’avenir. Elle rêvait éveillée d’une chaumière en bord de mer. Peut-être épouserait-elle un homme respectable qui ne la battrait pas ni ne l’insulterait. Peut-être que Dieu la doterait de beaucoup d’enfants. Elle planterait des potagers et apprendrait à tisser. Sa maison serait remplie d’amour et de joie. Mais elle avait plus de chances de décrocher la lune que d’avoir un jour un mari et des enfants à elle.
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Ses yeux étaient d’un vert si prononcé… Ils contenaient beaucoup de douleur et de peur, trop à son goût. Mais quelque chose d’autre reposait juste sous la surface, quelque chose qui ne demandait qu’à être libéré. De la passion, du désir, oui ; mais pas dans un sens romantique ou physique. Non, il s’agissait de quelque chose de plus profond et précieux que ça. Au fond, elle voulait être plus que ce que les gens exigeaient d’elle, et c’était ce qu’il voulait lui offrir : la liberté d’être celle qu’elle était vraiment.
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Quand nous faisons un serment ou une promesse, nous les tenons jusqu’à notre dernier souffle. Quand nous avons juré de vous protéger, vous et votre honneur, nous le pensions vraiment.
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Isobel poussa un grand soupir en se demandant ce qu'elle allait faire de ces deux là. On ne pouvait pas s'opposer au grand amour. elle le savait et y croyait de tout son coeur. elle pourrait envoyer Aishlinn à l'autre bout de la terre que cela n'arrangerait pas les choses. quelle que soit la distance quon pouvait instaurer entre 2 personnes qui s'aimaient d'un amour sincère, leurs sentiments ne s'en verraient pas altérés. au contraire, cela ne ferait que les renforcer.
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Dans les contes de fées de Moirra, les Highlanders étaient non seulement immenses, mais également décrits comme velus et dotés d’allures bestiales. Si Aishlinn s’accordait pour dire qu’ils étaient tous très grands et charpentés, elle ne leur trouvait pas nécessairement des allures de bêtes. Moirra l’avait aussi prévenue que les Highlanders aimaient leurs boissons corsées et leurs femmes disponibles.
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