Citations de Tahereh Mafi (784)
— Comment le sais-tu ?
— J'ai des yeux, répondit-il platement.
— Tu mens.
— À propos de mes yeux ? Je t'assure qu'ils sont solidement implantés dans mon crâne.
S'il te plait... S'il te plait, ne me tire pas dessus...
« Pour le monde entier, elle est impressionnante. Pour moi ? Elle est le monde entier. »
« Aujourd’hui, je sais seulement que les scientifiques ont tort. La Terre est plate. Je le sais car on m’a poussée dans le vide depuis le bord et, depuis dix-sept ans, j’essaie de tenir le coup. Depuis dix-sept ans, je tente de remonter à la surface, mais il est presque impossible de vaincre la gravité quand personne n’est prêt à vous tendre la main. Quand personne ne veut prendre le risque de vous toucher. »
« Il se tient debout devant moi et me manque comme si je ne l’avais pas vu depuis des années. »
"Theres's blood on your coat," she breathed.
He (NB : Cyrus) said only, "I'm certain you boast intellect enough to imagine how difficult it is to kill a man without soiling one's clothes."
"I beg your pardon?" Alizeh looked up at him in horror. "My undergarments?"
"Surely you possess a pair of eyes," he said, staring intently at her face. "You are practically naked."
"I didn't know your name for so long, angel. I love the way it feels in my mouth."
"Oh, I don't know," he said, attempting a smile. "I watched you kill five mercenaries with an assortment of sewing supplies. I think I prefer your creativity."
"How did you know that?"
"I have eyes," he said flatly.
"You're lying to me."
"About my eyes? I assure you, they're quite firmly affixed to my skull."
"I truly hate you," she whispered, her voice thick with emotion. "With my whole heart,
I hate you."
Le désespoir de son expression, l’angoisse gravée sur ses traits, la façon dont il me regarde, comme s’il risquait de mourir en même temps que moi. Et je ne peux m’empêcher de penser que c’est un cadeau d’adieu intéressant de la part du monde des vivants.
Il pleut. Le monde pleure à nos pieds, en prévision de ce qu’on est sur le point d’accomplir.
La vérité me rappelle douloureusement pourquoi je préfère vivre dans les mensonges.
L’espoir m’apparaît déjà sous les traits d’un monstre dangereux, terrifiant.
Chaque jour, je suis troublée, instable ; j’ai peur de commettre une nouvelle erreur, peur de perdre le contrôle, de me perdre moi-même.
C’est la nuit et minuit, et le crépuscule de l’indécision.
J’ai un cœur, dit la science, mais je suis un monstre, dit la société
Suffisamment belle pour attirer ta proie par la ruse », a-t-il dit.
« Suffisamment forte pour immobiliser et détruire », a-t-il ajouté.
« Suffisamment vénéneuse pour digérer tes victimes quand les peaux entrent en contact
Le genre de sourire qui le métamorphose, qui sème des étoiles dans ses yeux et donne de l’éclat à ses lèvres, et je réalise que je ne l’ai jamais vu comme ça auparavant.