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Critiques de Talus Taylor (62)
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La maison de Barbapapa

Si vous ne deviez lire qu'une seule critique, sur le 1234 que j'ai écrites ici, je vous conseille sans ambages de lire celle-ci. Car d'après moi, c'est assurément la meilleure au goût, et pas qu'un peu, mes chers amis, la plus savoureuse… Plus goûteuse encore qu'un suprême de volaille à la crème fraîche et aux giroles, je vous le garantis, et, d'après moi toujours, la seule digne de ce nom, la seule qui vaille, car j'ai lu une fois, quelque part, dans un livre de recettes, sans doute, il y a longtemps, je ne sais plus où, qu'à vaincre sans persil, on triomphe sans poivre… ou sans poire, c'était un truc dans ce genre…



Alors, la poire et le triomphe, mes pauvres amis, vous pensez si je m'en tamponne, mais j'en ai déduit, tout de même, de sa formule, là, au cuisinier casaque blanche toque cidre, qu'il nous fallait, nous autres, apprenties gâte-sauces, prendre quelques risques, n'est-ce pas, si l'on souhaitait avancer d'un pas menu dans le giron du culinaire, une papillote, un machin tiède un peu osé, une sorte de boustifaille moindrement relevée, assez zonée et pissez, volontiers surprenante, même, avec, pourquoi pas ? un soupçon de coffre ou de boyau et d'excentricité, pour un plat de résistance, normalement pas follement récent ni nécessairement le genre de gratin de patates qui vous fait relever la nuit, vous et les autres folichons qui ne lisez que des livres gros, gras, écrits très maigre et avec même pas beaucoup d'images à l'intérieur…



Donc, dans ce plat que vous allez goûter — peut-être, si vous en avez encore le courage après ce hors-d'oeuvre pantagruélique, arrivés là, devant votre assiette, si la curiosité vous y incite ou simplement si vous avez quelques minutes à tuer et sérieusement les crocs —, vous verrez, donc, que j'y prends quelques risques gastronomiques (du genre rédhibitoires, quand il s'agit d'intéresser le chaland à sa farine). D'abord, j'y prends le risque, et c'est notable, de proposer un avis six à huit fois plus long que le texte du livre auquel il se rapporte, ce qui, franchement dit, n'est pas très bien coté sur le marché aux saveurs de la critique, en général, et sur Babelio en particulier. Mais bon, il l'a dit l'autre, là, le cuistot, la poire et le persil ou je sais plus quoi…



J'y prends le risque, ensuite, vous pourrez voir, d'y parler très sérieusement de choses étonnamment dérisoires et, parallèlement, un peu par-dessus la jambe de choses, qui, malheureusement, ne le sont pas tellement. Et ça, vous remarquerez, autour de vous, que ça ne se fait pas trop : c'est jamais, en cuisine, qu'on range les pommes à côté des fourchettes, les entonnoirs avec les salsifis… Mais ça suffit, je m'applique, je m'applique, comment que c'était déjà ? à battre sans triomphe, on périclite sans cesse… ou à battre sans fourchette, on rate sa mayonnaise… ah ! je sais plus, bon sang !



Bon, mais je me dis, maintenant, qu'il va peut-être falloir quand même un jour que je vous la serve, ma spécialité, la farce de critique à la noix revenue dans son jus de trippe au calvados, car vous êtes venus pour ça, n'est-ce pas ? Alors, attention, ouvrez vos bedaines, prévenez vos papilles, redressez vos couverts, mettez en place vos serviettes et tenez-vous bien, non, un peu mieux que ça, quand même, regardez-vous, on est à table, là, oui, comme ça, c'est mieux, alors, vous êtes prêts ? Attention ! la critique approche, elle n'est pas loin, ça y est, ça chauffe, mes amis, la critique arrive, oui, c'est bien elle, je la sens d'ici, c'est parti, la critique commence et on y va, allez Gilberte, à la grand' louche !



Je devine déjà vos sourires en coin, vos regards entendus. Vous vous dites : « Ce coup-ci, Nastasia, elle a vraiment un coup dans la casserole, elle est remontée très loin aux sources, un peu trop loin, peut-être… » C'est bien possible, ne vous déplaise… C'est que, depuis toutes ces années où je noircis des pages virtuelles sur Babelio, je trouve que je n'ai pas suffisamment mis l'accent, pas suffisamment pris le temps de dire tout le bien que je pense de cet album de Barbapapa.



Il y a tant de questions et de sujets abordés, tant de sagesse et de finesse contenues à l'intérieur de ces quelques pages, que cela mérite assurément un petit détour. Les histoires pour enfant de Barbapapa, tout le monde connaît — ou presque — et chacun sait l'attrait puissant qu'elles exercent sur les enfants de l'âge de la maternelle, voire même un peu avant.



Non, ce n'est pas de cela dont je désire vous entretenir aujourd'hui, mais bien de portée sociétale, presque de philosophie de vie. Là vous riez sous nappe et vous vous dites que j'ai respiré abondamment les vapeurs des pêches au schnaps que je faisais flamber sur mes fourneaux ou sniffé un truc pas net en croyant que c'était de la coriandre… N'est-ce pas ? Soit.



Il y a quatre ou cinq ans, je ne sais plus et j'ai décidé de ne pas savoir, peut-être était-ce huit ou neuf, bref quelque chose qui me prouve que la vie passe toujours à une vitesse ahurissante. Il y a deux ou trois ans, donc, disais-je, j'ai fait faire un travail à mes élèves de CM2 sur le thème : « Une maison à mon image ».



Je leur avais fait visionner certains documentaires où l'on nous présentait des gens qui avaient décidé de construire eux-mêmes leur maison, pour X et Y raisons, surtout Y, les difficultés qu'ils y rencontraient et tutti quanti. Nous avons abordé quelques notions d'architecture, quelques notions d'habitat et d'environnement, nous avons visité des expositions, commenté des oeuvres d'art, fait nous mêmes des oeuvres (qui touchaient un peu moins à l'art), écrit des textes, etc., etc. En somme, tout l'attirail scolaire autour d'une question qui, elle, ne l'est pas spécialement.



Je me souviens parfaitement du regard dépité, horrifié, insurgé de certains de mes élèves (presque tous à la vérité) lorsque j'ai sorti de ma besace cet album des Barbapapa. « OOOOaaaaahhh ! Kécekcetruk ! C'est trop nul maîtresse ! C'est quoi ce livre de bouffons ! On n'est plus des bébés ! »



Ce fut, vous l'imaginez, un accueil des plus chaleureux, enthousiaste, et l'auditoire était captivé d'emblée. Il m'a fallu développer un certain talent de persuasion pour arriver à les convaincre non pas de lire mais d'écouter la lecture, non pas de regarder mais d'apercevoir vaguement les illustrations et de reconnaître qu'elles avaient, somme toute, un certain rapport, à défaut d'un rapport certain, avec la thématique qui nous occupait depuis plusieurs semaines.



Laissez-moi maintenant brièvement vous évoquer les grands traits de l'histoire au cas où vous les auriez déjà oubliés. Dans un album antérieur, on a vu Barbapapa, dans sa petite maison roulante, faire le tour du monde à la recherche d'une Barbamama. L'ayant finalement découverte au fond de son propre jardin et sachant que les règles de l'amour et de la copulation étant ce qu'elles sont chez les Barbapapa, une belle progéniture multicolore vit le jour à la toute fin de l'épisode précédent.



Dans celui-ci, il va falloir loger tout ce monde-là, vous vous en doutez, et ça ne sera pas une mince affaire. La première fonction d'une maison apparaît alors très clairement dès la première averse : celle de constituer un abri. Ceci nous conduisit tout naturellement avec mes élèves à réfléchir à ces personnes qui, en cas d'averse, ne peuvent pas compter sur la sécurité et le confort d'un abri, ceux-là même qu'on appelle " sans-abri ". Quand il fera trop chaud, quand il fera trop froid, quand ce sera humide à souhait, quand le vent soufflera à vous déhupper la cafetière, je vous invite à y penser vous aussi, ne serait-ce que 30 secondes par jour, histoire d'oublier nos petits tracas quotidiens sans importance et se rappeler que, pour d'autres, c'est de survie dont il est sans cesse question…



Barbapapa constate vite que sa garçonnière ne convient absolument plus à sa volumineuse famille. À ce moment, on avertit les poires multicolores qu'une vieille maison, non loin de là, est inoccupée. Ni une, ni deux, les Barbapapa se rendent à cette maison. Celle-ci est belle, plutôt de style bords de Manche fin XIXème, mais en très mauvais état. Il faudra indubitablement la restaurer. Sans plus tarder, la famille s'exécute et y apporte ses petites touches personnelles.



Deux nouvelles thématiques apparaissent : celle du squat et des logements inoccupés et celle du bricolage domestique et de la décoration. C'est un vrai phénomène de société, les magasins de bricolage pullulent depuis une vingtaine d'années et la décoration est au coeur d'un bon gros business dont IKEA et un certain nombre de programmes télévisés tirent quelques substantiels bénéfices depuis une grosse quinzaine d'années.



Mais voilà : ces vieilles demeures de style ne sont pas une réponse satisfaisante au problème général du logement et les Barbapapa se trouvent donc expulsés manu militari de leur belle maison, qui est détruite pour y construire... une barre d'immeubles à gratter les cieux ! N'oublions pas que cette histoire a été écrite au début des années 1970, époque à laquelle on démolissait à tour de bras des maisons splendides (art nouveau, art déco) jugées " dépassées " pour les remplacer par ces fort gracieux ensembles polygonaux totalement impersonnels, hideux et déprimants…



Il ne nous appartient pas de juger cela car l'urgence était là ; il fallait du logement à bas coût (et pas seulement en Azerbaïdjan) et immédiatement, alors on a fait ces machins, on a empilé des gens dans des cubes… Pour un temps, c'était un progrès : il y avait les toilettes et l'eau chaude, une cuisine assez pratique et une salle de bains digne de ce nom. Ça a l'air évident maintenant mais après la seconde guerre mondiale, c'était presque un luxe tellement les logements anciens étaient vétustes et mal aménagés.



Ceci pose évidemment deux nouvelles thématiques : celle de la préservation des patrimoines architecturaux (rien qu'à Strasbourg, ma ville d'adoption, il y a eu des horreurs commises dans les années 1960-70, des bâtiments Jugendstil exécutés au bénéfice de quadrilatères bétonneux, le somptueux hôtel Maison Rouge de la Place Kléber détruit pour y construire une grosse m... euh une grosse maison, grise, informe, moche et qu'on aura plaisir à voir dynamiter dans une dizaine d'années, j'espère, etc., etc.) et celle de penser le logement social pour éviter le phénomène des ghettos. Sujet ô combien toujours d'actualité et brûlant…



On attribue donc un logement cubique aux Barbapapa en dédommagement de leur belle maison détruite. Mais les poires et les cubes, ça ne fait pas bon ménage. Les Barbapapa ne se reconnaissent pas dans ce type de logement. Ils décident alors de tout quitter et de construire eux-mêmes la maison qui leur conviendra, la fameuse thématique de « la maison à mon image ».



C'est aussi une certaine tendance actuelle : des gens construisent des maisons-bulles, des maisons en paille, des maisons en bois (les maisons en briques, ça c'est uniquement dans les trois petits cochons), réhabilitent des containers métalliques de transport maritime, s'installent dans des usines désaffectées, construisent des cabanes dans les arbres, etc., etc. C'est un vrai phénomène sociétal intéressant et une certaine philosophie de vie. Certains y passent tout leur temps libre et se sentent vivre à construire leur maison. Il y a quelque chose de très profond et d'ancestral là-dedans.



Mais là encore, les Barbapapa sont ennuyés : les machines à démolir les maisons repointent le bout de leurs pinces… Or cette fois-ci, les Barbapapa sont décidés à se défendre et à protéger leur bébé, car c'est une part d'eux-mêmes, cette maison. Personnellement, j'y vois une allégorie des contraintes administratives, des permis de ceci, autorisations de cela, que l'État au sens large se plait à coller dans tous les sens, lesquelles autorisations l'on n'obtient jamais simplement et rarement gratuitement (Souvenez-vous de ce qu'écrivait Tocqueville à ce propos dans le Despotisme démocratique). Sans elles, on peut même vous obliger à tout changer ou à tout casser alors que vous aviez déjà tout terminé. Vous pourrez refaire la même chose mais seulement quand vous jouirez et pourrez faire étalage de votre joli, inutile papier mais qui vous y autorise.



Bref, je ne vais pas vous ennuyer plus longuement avec ma soupe et mon album de Barbapapa, mais sachez simplement que ce fut, et de loin, le support le plus riche et le plus apprécié, en fin de compte, par mes élèves de CM2 et que, lorsqu'à la toute fin de la séquence je leur ai demandé de me dessiner la maison de leurs rêves, beaucoup s'inspirèrent, en définitive, des idées des Barbapapa.



Donc, si ce n'est déjà fait, foncez vous blottir dans cet album et souvenez-vous que ce n'est que mon avis, sans poire ni persil, un avis à mon image, en somme, c'est-à-dire bien peu de chose.
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L'Arche de Barbapapa

Drôlement subversifs ces Barbapapa ! Qui le croirait ? Nous sommes en 1974. La France va bien, pas un franc de déficit dans le budget de l'État, le plein emploi, les avancées sociales sont partout en progression ou en passe d'être définitivement acquises et, devinez quoi ?

Deux obscurs auteurs de livres pour enfant nous cassent les pieds avec la pollution et l'écologie. Un vague message comme quoi il faudrait faire attention à notre environnement ! Non mais ils n'ont vraiment rien compris ces deux-là !

Bref, les Barbapapa recueillent à tour de bras des animaux malades ou intoxiqués (précision : à cette époque, la grande et fameuse marée noire de l'Amoco Cadiz n'a pas encore eu lieu, ni celle de l'Exxon Valdez, et encore moins celle de l'Erika), des animaux menacés d'extinction par une surchasse ou une surpêche.

En somme, rien qu'un tissu d'inepties car tout va bien, moi je vous dis, en 1974. C'est le progrès, je vous dis ! La technique, le modernisme, y a que ça de vrai. Qu'est-ce qu'ils viennent nous ennuyer avec le respect de l'eau et les énergies renouvelables en 1974 ! Franchement !

Un album vraiment visionnaire sur la question de l'écologie et de l'environnement. Le seul hic selon moi est la référence par trop voyante à la Bible et sa fameuse arche de Noé. Même si l'idée de prélever un échantillon de chaque représentant de la biodiversité afin de la préserver, en l'envoyant sur une autre planète, le temps que les hommes, auto-intoxiqués, comprennent enfin qu'il leur faut une planète viable et durable est très intéressante.

Oui, je l'avoue, quand je replace cet album dans son contexte historique, je suis estomaquée par le côté révolutionnaire du message pour l'époque. Une sorte de frein au modernisme qui ne serait pas dirigé vers une préservation de nos écosystèmes. C'est bouleversant de modernité et, malheureusement, toujours d'actualité quarante ans plus tard et même, plus que jamais.

Chapeau Annette Tison et Talus Taylor. Mais ce n'est là que mon avis non durable, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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Barbapapa : La famille

Barbapapa La famille est un livre puzzle mettant en scène toute la famille des Barbapapa.

A gauche on trouve une présentation de chaque membre et à droite un puzzle illustrant une activité faite par les Barbapapa.

Le livre a une couverture épaisse de couleur jaune pétant, des pages elles aussi épaisses, en carton. C'est un bel objet, parfait pour les jeunes lecteurs. Les textes sont faciles à comprendre, et à déchiffrer.

Quand aux puzzles ils n'ont pas de grosses difficultés, même si au début il faudra aider l'enfant :)

Je l'ai lu à une petite fille de quatre ans, on a passé un bon moment à découvrir les Barbapapa et à faire les puzzles.

C'est parfait pour occuper les enfants quand il pleut dehors ou pour un moment calme avant ou après être aller se promener.

Cela m'a rappelé des souvenirs d'enfance car j'adorais le dessin animé quand j'étais enfant, et mon fils aussi quand il était petit (ce qui commence à dater ;).

Ma note : cinq étoiles, évidemment !
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Barbapapa : L'Orchestre

Voici mon retour de lecture sur l'album jeunesse Barbapapa : L'Orchestre.

La pauvre Claudine s'est cassé la jambe et doit rester assise toute la journée. Quel ennui !

Pour la distraire, les Barbapapas montent un orchestre.

L'Orchestre est un album jeunesse mettant en scène les célèbres Barbapapa, que je regardais à la télévision quand j'étais enfant. Ce qui, avouons le, commence à dater lol

Il y a quelques jours j'ai eu l'occasion de lire cet album à une petite fille de mon entourage, qui adore ces petits personnages. Apparemment, ils sont intemporels :)

On retrouve les parents : Barbamama et Barbapapa ainsi que leurs enfants.

Comme Claudine s'est cassé la jambe, et qu'elle doit rester assise dans le jardin ; les Barbapapa décident qu'un peu de musique la distraira.

Mais ni le phonographe ni l'orgue de barbarie ne fonctionnent.

Alors, chacun à leur tour, ils vont changer de forme et devenir un instrument.

On les voit jouer du cor de chasse, du saxophone.. et peu à peu l'orchestre prend forme.

La petite fille à qui je l'ai lu a été amusée par les Barbapapa, leur transformation. C'es sympathique de découvrir ou redécouvrir les instruments.

L'histoire est très simple, les personnages toujours aussi sympathiques. Les illustrations sont jolies.

Ce n'est pas un grand album jeunesse mais il est amusant, plein de bienveillance, et je le note quatre étoiles :)
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L'Arche de Barbapapa

C'est le livre le plus écolo que j'aie jamais lu ! Je crois qu'il a conditionné en grande partie ma façon de voir les choses, la vie, les animaux, la nature, la planète. Un album essentiel, le livre à faire lire d’urgence à tous les enfants, mais aussi à tous les adultes.Merci les Barbapapa !

Juste un bémol : quand je vois qu'on fabrique des shampoings estampillés "Barbapapa" bourrés de produits pas très recommandables et testés sur les animaux, je me dis qu'on a réussi à corrompre l'esprit des Barbapapa et ça me met en rogne.
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Barbapapa

Avis totalement subjectif pour ces albums qui ont bercé mon enfance. Je les ai retrouvés avec un bonheur intact et la magie opère maintenant sur mes enfants. Un univers magique, poétique...
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Barbapapa : La Robe

Voici mon retour de lecture sur l'album jeunesse Barbapapa : La Robe.

Barbabelle aimerait confectionner la robe qu'elle a vue dans un magazine. Mais la dentelle demande beaucoup de patience et Barbabelle ne peut plus attendre !

Comme toujours, chez les Barbapapa, toute la famille se mobilise pour l'aider.

La Robe est le second album de cette collection que je découvre car une petite fille de mon entourage les possède et souhaitait que je lui lise.

Barbabelle (la jeune fille violette, un peu coquette) est tombée en admiration devant une superbe robe en dentelle. Elle veut la même et souhaite pour cela la fabriquer.

Mais, évidemment, cela demande du savoir faire et de la patience, ce que Barbabelle n'a pas ! Au rythme où elle va, il lui faudra des années pour confectionner cette robe !

Heureusement, dans cette famille on s'entraide et grâce à beaucoup de bonne volonté, bientôt la robe sera terminée :)

J'avoue avoir moins aimé cet album ci.

Cette histoire de robe ne m'a pas captivée, même si le message donné est important : en s'entraidant, on peut réussir plus facilement.

Le petite fille à qui je l'ai lu était moins attentive que d'habitude. Fabriquer une robe, pourquoi pas mais ça manque un peu d'action.

Néanmoins, cela reste mignon avec de jolies illustrations, des textes simples et faciles à comprendre.

Ma note : 3 étoiles.
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Barbapapa

Voivi venu le temps des Barbapapa.... Nostaligie quand tu nous tiens...

Depuis de nombreuses années, les Barbapapa ont fait leur come-back pour le plaisir des grands mais aussi des nouvelles générations.

Ecolos depuis toujours, sûrement leur héritage hippie, ils n'ont pas pris une ride, même en 2011 !

Moi je rêvais, et j'en rêve toujours, de vivre dans leur maison.

Barbatruc !
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L'île aux Nouilles

Un des plus beaux souvenirs de lecture de mon enfance... Ces arbres sur lesquels poussaient des coquillettes m'ont tant fait rêver ! Alors, je ne comprenais certainement pas la satyre politique sous-jacente, mais je devais bien percevoir un peu les effets dévastateurs de cette course au pouvoir qui dévore petit à petit les habitants de cet endroit idyllique.

J'adore les illustrations que j'ai encore beaucoup de plaisir à contempler et je suis très heureuse d'avoir de nouveau ce livre qui a nourri mon imaginaire de petite fille et certainement contribué à mon amour de la lecture.
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Barbapapa : Le Jardin

l'univers du jardin est vaste et rempli de bonnes découvertes, les barbapapa nous aide à explorer cet univers très riche, c'est coloré, drôle sur certaines scènes, compréhensible, assez ludique pour les plus jeunes. C'était une belle découverte que l'on a faite tous ensemble.
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Barbapapa - Les amis de la nature

Contient deux histoires :

- Professeur Panda

- Le Potager des Barbapapas



J'aime beaucoup les Barbapapa, leurs formes douces, leurs possibilités de se transformer en tout ce dont on a besoin, et leur philosophie de vie.

Mais il doit y avoir bien longtemps que je n'avais pas lu de leurs albums.

Je ne saurais donc dire si ce format ressemble à d'autres de la série ou pas.



On a ici 2 aventures, toutes deux très axées nature.

Un contenu entre album et bande dessinées.

Plutôt bande dessinée puisque il y a la plupart du temps plusieurs cases par page, et toujours les textes dans des encadrés genre bulles. Mais souvent de grandes illustrations style album.



La 1e histoire est un joli plaidoyer pour les animaux en voie de disparition. Le sujet est donc très intéressant, même si hélas les solutions apportées ne sont pas transposables dans notre monde réel, les barbapapas prenant tous les aspects indispensables pour la sauvegarde.



La seconde est plus ludique, mais amusante et tournée vers le jardin et les animaux.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Barbapapa - La Lessive

Le lavoir est en si mauvais état ! vite, il faut le réparer...

Dans cette petite histoire rigolote, ce sont (pour une fois !) les filles qui bricolent ! rien que pour ça, j'ai envie de dire bravo !

Nos amis les Barbapapa en profitent pour nous donner une petite leçon de d'artisanat, valorisant ainsi, une fois de plus, les métiers manuels auprès des enfants.

Certains trouveront ce coté "technique" un peu étrange dans un album pour les petits. Moi je trouve que c'est justement cela qui fait le charme des Barbapapa.

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Barbapapa : La Ferme

J'ai retrouvé avec plaisir les aventures des Barbapapa, les dessins sont réussis.
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L'île aux Nouilles

idéal pour faire rêver les enfants, je l'ai beaucoup aimé et j'aimerai le retrouver...
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La maison de Barbapapa

Voilà encore une valeur sûre des personnages sympathiques. L’histoire reste tout de même assez simpliste. Le plaisir vient plutôt de voir les personnages se transformés et chacun apporté leur talent à l’équipe familiale.

Les Barbapapas cherchent une maison pour toute la famille qui ne soit pas trop petite. Ils jettent leur dévolu sur un château en ruine qu’ils retapent et remeublent. Mais des machines de démolitions viennent tout détruire…

Cet album est assez décevant justement par rapport à ce que je disais au départ. On exploite peu le talent des Barbapapas dans ce récit dont la conclusion est trop expédié à mon goût. Mon petit dernier a pourtant, lui, beaucoup apprécié l’histoire, contrairement à mon grand… c’est donc une question d’âge pour apprécier les Barbapapas…
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Barbapapa : Les Puces

Une mignonne histoire d'amitié entre un Barbapapa et un hérisson.

Lequel bien entendu, infesté de puces, en passe à son ami.

Pas de problème, on tond les poils.

Mais Barbouille se retrouve bien nu sans ses poils.

On va donc lui tricoter un joli pull over, et on en profite pour voir tout le circuit de la laine, du dos du mouton au tricot, en passant par le rouet etc ...



C'est bien sympathique, comme toujours les Barbapapa.
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Barbapapa : Le Jardin

Barbidou s'occupe bien de ses plantes, et tout va pour le mieux chez les Barbapapa. Jusqu'au jour ou Barbibul, (le petit chimiste de la famille) concocte un engrais surpuissant...

On retrouve ici, et avec plaisir, les idées écolos qui ont fait le succès de la petite famille. C'est drôle et plein de bon sens, les plus petits adhèrent complètement.

Un bon support de discussion.
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La maison de Barbapapa

Ah, si je pouvais vivre dans une maison comme la leur !
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Barbapapa : La Mer

Ouvrage ludique bien expliqué bien illustré pour explorer avec la famille barbapapa les fonds marins. nous avons beaucoup aimé le concept, la recherche de la perle, les noeuds marins, la petite pointe d'humour de cette famille atypique. Un bon moment de lecture.
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La maison de Barbapapa

Mon album préféré de Barbapapa, qui a bercé mon enfance d'aussi loin que je m'en souvienne.

Cette histoire raconte la recherche d'une maison pour la désormais grande famille de Barbapapa mais le bétonnage et les barres d'immeubles remplacent les anciennes demeures spacieuses. Les Barbapapas décident d'agir avec intelligence et humour.
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