Citations de Teri Wilson (50)
Just remember, Sam. Love is a rare and precious thing. And when it's real, it's more than just black-and-white.
There's more than a little truth to the old notion that opposites attracting, isn't there? Sometimes the last thing we expected turns out to be the very thing we needed all along.
It was the age-old dilemma : could a dog person ever be truly happy with a cat person ?
He's never set out to teach the dog to do household chores, but Cinder was exceptionally smart. And observant. Like most Dalmatians, she was also extremely energetic.
That was the thing most people failed to understand about the breed. Sure, their spots were striking. And those Disney movies? Cute as pie. But Dalmatians were sensitive and highly spirited animals. Their sharp intellect made them quite trainable, but it also meant that Dalmatians were smart enough to get into all sorts of creative trouble if they didn't have a suitable outlet for all that boundless energy.
Chocolat fondu... Fleur de sel... Le Guérandais, un sel spécial ramassé à la main... Bretagne du Sud, France...
La recette secrète de Léo...
Et tout était indiqué : les proportions, les ingrédients à intégrer dans un ordre précis, le temps de cuisson...
- Il s'appelle Léonardo Mezzanotte, insista Alegra d'un air buté.
- Je sais. Mezzanotte contre Arabella.... Arabella contre Mezzanotte. J'en ai assez de toutes ces histoires, poursuivit Juliette d'un ton vif. Pour une fois qu'il y a quelqu'un de sympa chez les Mezzanotte...
- Merci, dit Léo. Si seulement je pouvais m'appeler Smith ou Jones!
Dès que les lèvres de la mystérieuse jeune femme effleurèrent les siennes, il sut qu'elle agissait impulsivement, de manière contraire à ses habitudes.
Il aurait dû s'écarter aussitôt, lui ôter la main de sa cravate et, en parfait gentleman, se répandre en excuses. Bien sûr, elle lui plaisait terriblement , elle l'attirait comme la plus belle des fleurs; mais se comporter ainsi, vraiment...
Il en fut incapable. Son corps agissait indépendamment de sa raison. Comment résister à ce baiser passionné, prodigué par une ravissante inconnue, au clair de lune, au milieu des vignes parfumées? C'était trop fou...
Et tellement bon!
Maintenant... Profite du moment présent!
Tant pis... ou tant mieux, Juliette baissa la garde.
D'un geste qui ne lui ressemblait pas, elle saisit la cravate de l'inconnu, l'attira vers elle et l'embrassa passionnément. Avec la confiance d'une femme ayant toujours agi en écoutant ses désirs.
Intense, délicieux, ce baiser au goût de raisin fut aussi extraordinaire que s'il avait été le tout premier de sa vie...
Elle avait peut-être perdu Donovan, mais cela n'impliquait pas qu'elle doivent perdre l'Angleterre. Elle ne serait jamais la maîtresse de Chadwicke, mais cela ne l'empêchait pas de devenir londonienne. Elle devait juste trouver un moyen de faire de Londres sa ville.
- Pour l'amour de Dieu, nous venons de faire l'amour. C'était important pour moi. Et je sais que ça l'était pour toi aussi.
Elizabeth essuya une larme sur sa joue. Elle ne s'était même pas aperçue qu'elle pleurait.
- Nous ne sommes plus au XIXè siècle. Ce n'est pas parce que nous avons couché ensemble que tu es obligé de m'épouser.
- Cela n'a rien à voir, et tu le sais très bien.
- Il a essayé de m'acheter. Quand j'ai de nouveau refusé, il a dit mot pour mot : "Les femmes comme vous, celles qui viennent de nulle par, ont toujours un prix." Ensuite, il m'a touchée.
Elle enfouit son visage dans ses mains.
- Quoi? rugit Donovan.
Il était prêt à bondir sur ses pieds, à foncer dans la salle de bal et à écarteler Markham. L'idée était follement attrayante, mais il savait que l'histoire n'était pas finie, et s'il partait maintenant, il ne connaîtrait jamais toute la vérité.
Néanmoins, il eut du mal à ne passe céder à la tentation.
- Elizabeth, qu'entends-tu exactement quand tu dis qu'il t'a touché? J'ai besoin de savoir ce qui est arrivé, et tout de suite.
Il fit de nouveau volte-face. Grant Markham, toujours aussi abject, secoua la tête.
- Quel dommage qu'elle se soit enfuie alors que les choses devenaient intéressantes. Mais ce que je trouve plus intéressant encore, c'est qu'une personnalité de votre envergure ait choisi de s'amuser avec une prolétaire. Elle est un peu au-dessus de votre condition, cous ne trouvez pas? Cela dit, je peux comprendre ce qui vous attire chez elle.
Elle était en train de fondre. D'un instant à l'autre, elle allait se dissoudre, et il ne resterait plus d'elle qu'une petite flaque sur le sol.
- Elizabeth, dit-il d'une voix rauque.
Il semblait proche de perdre son sang-froid, et une nouvelle vague d'excitation monta en elle.
- Soit vous entrez avec moi dans cette chambre sur-le-champ, soit je vous y porte moi-même.
Elle éclata de rire. Alors, mettant sa menace à exécution, il la prit par la taille et la souleva pour l'emporter, une main dans son dos et l'autre derrière ses cuisses.
"Vous êtes une femme difficile à attraper."
Elizabeth émit un rire forcé. Elle s'entendit répondre :
- C'est parce que vous n'avez pas essayé suffisamment.
Pourtant, tout en elle semblait crier tout autre chose. Faites comme si vous m'aviez attrapée.
Donovan se pencha pour l'embrasser, une lueur déterminée dans son regard de braise. Jamais il n'avait été aussi sérieux que lorsqu'il avait affirmé être prêt à réclamer son dû.
En présentant les termes de son pari un peu plus tôt, il n'avait pas eu l'intention de la posséder de cette façon. Par "l'avoir tout à lui", il avait pensé lui proposer un pique-nique, ou une balade à cheval dans la forêt. Il voulait lui montrer les arbres sur lesquels il grimpait enfant, le chemin où il avait appris à faire du vélo.
Eh bien, il avait décidé que ces occupations innocentes attendraient. Parce qu'il n'en pouvait plus de ce désir qui l'avait saisi à l'instant où il avait posé les yeux sur elle. Il n'attendrait pas une minute de plus.
Pour dire les choses simplement, il en avait assez.
Assez des traits d'esprit, des provocations sensuelles, des occasions manquées. Assez de ce désir charnel qu'il éprouvait pour elle et qui, malgré tous ses efforts, refusait de disparaître. Assez de l'attente, l'interminable attente.
Il la voulait.
Maintenant, pendant qu'elle était encore à lui.
- Si vous voulez rendre les choses plus intéressantes, nous pouvons toujours faire un pari : si mon équipe gagne, vous serez tout à moi cet après-midi. Rien que nous deux.
Les nerfs d'Elizabeth se hérissèrent. A moins que ce ne soit de l'excitation?
- Rien que nous deux?
- Rien que nous deux. Vous serez à moi. Ou devrais-je dire que je serai tout à vous? demanda-t-il avec un sourire provoquant. Qu'en dites-vous?
En pensées, elle le vit qui sortait de l'eau, athlétique et trempé.
- J'en dis que je ne suis pas assez stupide pour parier contre vous, Donovan Darcy.
- Je suis heureux de voir que notre amitié compte pour toi, Henry.
- Cela n'a rien à voir avec notre amitié. En revanche, je serai sur le terrain de polo demain matin avec toi, et je n'ai pas envie de recevoir un coup de maillet sur la tête.
L'eau gouttait de son torse nu, qui était aussi large et musclé qu'Elizabeth l'avait imaginé. Encore plus, en fait. Ses biceps se gonflèrent tandis qu'il passait les mains dans ses cheveux mouillés. Des gouttes d'eau volèrent en tous sens.
La gorge nouée, Elizabeth poursuivit son examen. Ses abdominaux étaient divins, réellement sculpturaux. Cet homme était un concentré de virilité.
Elle n'osait pas regarder plus bas. au-dessous de l’élastique de son maillot de bain noir qu'il portait dangereusement bas sur les hanches.
Ou alors, juste un peu.