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Citations de Terry Goodkind (631)


p.322.
- Des gens ont tenté de me tuer simplement parce que je suis une magicienne. Serin Rajak et ses fanatiques !
- Des fanatiques ? Désolé, mais je ne connais pas ce mot.
- Rajak abomine la magie. (Franca lâcha la bande de tissu.) Les fous qui pensent comme lui font tout pour monter les foules contre les personnes comme moi. Fitch, il n'y a rien de plus horrible que des hommes excités qui décident de lyncher quelqu'un. Individuellement, ils n'auraient pas le courage de le faire, mais ils se stimulent les uns les autres. N'oublie jamais ça : une foule en colère devient une bête sauvage dotée dune conscience collective perverse. On croirait voir une meute de chiens lancés aux trousses d'une biche...
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p.321.
- J'ai un pouvoir, mon garçon. Ça signifie que je suis différente des gens normaux. Les Anderiens et les Hakens ne m'aiment pas, et ils me tiennent à l'écart. Un peu comme mon peuple méprise le tien.
- Les Anderiens ? répéta Fitch. Comment est-ce possible, puisque vous êtes des leurs ?
- Cela ne suffit pas à effacer ma tâche originelle : être une magicienne. Je sais ce qu'on éprouve quand on doit supporter le mépris et la haine de gens qui ne savent rien de ce qu'on est vraiment.
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p.304.
- Les Hakens se sont soumis parce qu'on les avait conditionnés ! s'insurgea Richard. S'ils avaient su la vérité, ils n'auraient pas marché ! Exploiter l'ignorance des gens est une forme de brutalité !
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p.123.
- Anna, la peur peut être une maîtresse exigeante. Si certaines sœurs refusent de croire que Jagang ne peut plus rien contre elles, elles ne te suivront pas, et tu ne pourras pas leur permettre de rester une menace pour notre cause, même à leur corps défendant.
- Je sais..., souffla la Dame Abbesse.
Zedd venait de lui rappeler qu'elle devait libérer les sœurs... ou les éliminer.
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p.107.
Fitch ne comprenait pas pourquoi cette activité exigeait que tant de gens entrent et sortent chaque jour du palais. À vrai dire, il ignorait pourquoi on avait besoin d'une telle profusion de lois. Après tout, le bien était le bien, et le mal était le mal !
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p.572.
- Je suis enfin chez moi, sans aucun désir de revenir en arrière. Le monde dont tu parles est un enfer, j'ai payé pour le savoir.
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p.511.
" Nous devons appeler Jagang "Son Excellence "... À la moindre incartade, il nous condamne à une semaine sous les tentes.
- Verna, il faut partir ! s'écria Warren.
Mais sa compagne lui fit signe de se taire.
- Les tentes ? Que veux-tu dire ?
- Il nous livre à ses soudards pendant sept jours. À cause de nos anneaux d'or, ces chiens ne nous tuent pas, parce que nous sommes la propriété de leur maître. Mais il y a des sorts pire que le mort, tu sais ? Dans les tentes, nous subissons... ( La voix de Janet s'étrangla.) Même les sœurs âgées y ont le droit. Jagang appelle ça une " indispensable leçon de discipline ".
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p.269.
- Drefan, pourquoi vas-tu dans... ce genre d'endroits ? Les gens qui souffrent ne manquent pas. Par exemple les soldats blessés par Marlin... Avec autant de patients potentiels, pourquoi en chercher dans les bordels ?
- Je m'occupe des soldats, dit le guérisseur en suivant du bout d'un index la tige de la fleur. Je visite ces filles sur mon temps libre, avant le lever du jour.
- Mais pourquoi les prostituées ?
- Parce que ma mère en était une..., souffla Drefan, des larmes aux yeux. Richard, je suis le fils d'une putain ! Certaines pensionnaires de Silas ont des enfants. J'aurais pu être l'un d'eux.
" Comme Rose, ma mère a couché avec l'homme qu'il ne fallait pas. Personne ne sait d'où venait cette fille, qui elle était et pourquoi elle vendait son corps. Moi, j'ignore le nom de ma mère, parce qu'elle a refusé de le dire aux guérisseurs. Tout ce que je sais, c'est qu'elle vivait de ses charmes.
- Drefan, je suis désolé. C'était une question stupide.
- Non, parfaitement logique, au contraire... Personne ne se soucie de ces femmes. Certains clients les battent, elles attrapent toute sorte de maladies, et les gens se moquent d'elles.
" Les herboristes ne veulent pas les voir dans leurs boutiques, pour ne pas faire fuir les dames comme il faut. De toute manière, elles souffrent souvent de maux qui dépassent jusqu'à mes compétences... Usées prématurément, elles meurent seules dans d'atroces souffrances. Beaucoup sont alcooliques, tu sais ? Des profiteurs les mettent sur le trottoir et les paient avec du mauvais vin. Saoules du matin au soir, elles ne se rendent plus compte de rien.
" Certaines rêvent de devenir la maîtresse d'un homme riche et puissant. Tout ce qu'elles y gagnent, c'est un batard dans mon genre. La descendance de foutus salauds !
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p.218.
- Dans la salle... j'ai... j'ai vu...
- Je sais...
Folle de rage, Clarissa gifla le vieil homme.
- Pourquoi m'avez-vous envoyée là-haut ? Vous n'aviez aucun besoin de ces hommes !
- Tu pensais pouvoir te cacher... À présent, tu sais que leur échapper est impossible. Ces monstres mettront la ville à sac, puis ils la raseront. Il ne restera rien de Renwold.
- Mais, je... Nathan, j'ai peur de vous accompagner. Je ne veux pas mourir.
- Tu préfères ce qui t'attend si tu restes ici ? Clarissa, tu es une très jolie femme. Sais-tu ce que subiront les jolies femmes de Renwold ces trois prochains jours ? Imagines-tu ce que sera leur vie, au service de l'Ordre Impérial ? Crois-moi, ce destin est pire que la mort !
- Comment peuvent-ils commettre des horreurs pareilles ?
- C'est l'atroce réalité de la guerre, fillette. Il n'y a aucune règle, à part celles du vainqueur, qu'il soit du bon ou du mauvais camp. On peut lutter contre cette injustice, ou s'y soumettre...
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p.172.
- Pour soigner son chagrin, elle s'est prescrit un médicament imparable. Une dose massive de jusquiame noire que les guérisseurs se sont empressés de lui fournir.
- Un poison..., lâcha sombrement Richard.
- Oui. Très rapide, mais atrocement douloureux, à ce qu'on dit.
- Et des guérisseurs lui ont donné le moyen de se suicider ? s'indigna le Sourcier.
Le regard hypnotique de Drefan se riva de nouveau sur lui.
- Le devoir d'un guérisseur est de fournir le médicament adapté à la maladie. L'affection de ma mère était de vivre, ils l'ont aidée à mourir.
- Ce n'est pas ma définition de ce métier..., dit Richard, les yeux aussi durs que ceux de son frère.
- La mort est le plus beau cadeau qu'on puisse faire à un malade condamné à une cruelle agonie...
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p.166.
- Nadine, tu ne connais rien à l'amour... il ne s'agit pas de capturer une proie, mais de rendre heureuse la personne qu'on porte dans son cœur.
- S'il le faut, vous ferez comme moi ! siffla Nadine.
La prophétie retentit dans l'esprit de Kahlan.
Mais sur ce chemin, la foudre le frappera, car sa bien-aimée le trahira...
- Tu te trompes ! Je ne lui ferai du mal pour rien au monde, m'entends-tu ? Pour ne pas blesser, je suis prête à mener une vie misérable et solitaire. Et plutôt que de le voir souffrir, je préférerais te le laisser !
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p.94.
- Richard Cypher m'a sauvé de Tommy Lancaster, qui m'aurait violée puis épousée de force. Aujourd'hui, il est marié à Rita, et sans Richard, c'est moi qui aurais les yeux au beurre noir à longueur d'année. Et qui croupirais dans sa cabane minable, le ventre lourd de sa foutue progéniture !
" Tommy se moquait de moi parce que je voulais devenir guérisseuse. Selon lui, une femme n'y connaissait rien, et mon père avait intérêt à avoir très vite un fils, s'il voulait que quelqu'un lui succède. Sans Richard, je n'aurais jamais pu espérer exercer un jour ce métier.
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p.29.
- Le pardon de l'être aimé est la seule chose qui compte dans la vie. L'unique remède aux blessures de l'âme et du corps...
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Je suis le compagnon d'une folle, pensa tristement Richard. Et elle n'est pour rien dans sa démence...
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p.308.
Rien n'est pire que le mensonge, à part la vérité, quand elle risque de provoquer le triomphe des forces du mal. Dans ces gars-là, chère enfant, s'y accrocher est dune criminelle absurdité. Si les Sœurs de l'Obscurité m'interrogeaient sur mes plans, je leur mentirais sans vergogne.
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p.305.
Un jour, quand tout sera fini, nous bannirons à jamais les fantômes qui nous hantent. Aujourd'hui, trop d'innocents comptent sur nous. Aussi terribles soient-elles, nos armes nous aideront à continuer le combat.
- Nous comprenons, seigneur Rahl, souffla Cara en posant une main sur l'épaule du Sourcier. Il en sera ainsi pour nous tous. Après avoir vaincu les ennemis qui nous entourent, le temps viendra d'écraser ceux qui se tapissent en nous.
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p.243-4.
À mon avis, chacun vit cette expérience à sa façon, mais je veux bien t'en dire plus. Oui, Phoebe, on souffre de savoir qu'on a perdu sa jeunesse. Parfois, j'ai le sentiment de ne pas l'avoir assez chérie, cette jeunesse. Alors, on me l'a volée pendant que j'attendais bêtement que ma vie commence. Par bonheur, le Créateur nous offre des compensations. Tu sais, l'âge a aussi du bon.
- Du bon ? Comment est-ce possible ?
- À l'intérieur, je suis toujours là même personne, en plus sage. Je me comprends mieux, et je sais plus clairement ce que je veux. Et j'apprécie des choses qui ne m'intéressaient pas avant... ( Verna marqua une courte pause.) Aujourd'hui, je vois ce qui compte vraiment quand on est au service du Créateur. Bref, je suis plus heureuse, et moins angoissée par ce que les autres pensent de moi.
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p.191.
Bon sang, pourquoi avait-il fait confiance à ce type ? Finirait-il un jour de croire les gens capables de se rendre à la raison et d'agir convenablement ? Selon lui, tous les hommes, ou presque, étaient bons, et ils attendaient avidement l'occasion d'exprimer le meilleur d'eux-mêmes. Bien entendu, la réalité contredisait sans cesse cette philosophie enfantine...
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p.127.
Celui qui abandonne des innocents en danger devient le complice de leurs agresseurs. Voilà pourquoi je me battrai jusqu'au bout...
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p.38.
Las de ne jamais savoir quelle catastrophe l'attendrait au tournant, le Sourcier en avait assez qu'on l'emprisonne, qu'on le torture, qu'on lui mente et qu'on se serve de lui. Et il ne supportait plus de voir mourir des innocents.
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