Théo Grosjean

J'ai bien aimé cette histoire parce qu'il y a plein d'aventures. Elliot est un personnage très drôle et peureux. Il a peur de presque tout, comme de Aya au tout début ou de la prof de SVT. Il a aussi son ami imaginaire, l'angoisse, et un autre ami qui s'appelle Hari. Bastien est méchant avec Eliott et Hari, il se moque d'eux.

C'est avec grand plaisir que je retrouve Elliot dans ce second tome. Alors que le premier se consacrait sur la rentrée dans une nouvelle école, cette bande dessinée suit le jeune héros ressentant de nouvelles émotions (amour, déception, pardon), sans oublier sa boule d'angoisse qui le suit partout !

J'ai apprécié la présentation d'autres boules d'angoisse. Je trouve que, pour les jeunes ou les moins jeunes, cela permet d'avoir une autre vision de certains comportements.

C'est un plaisir de retrouver Eliott que j'avais accompagné lors de sa rentrée en sixième dans le premier tome. Rien de nouveau sous le soleil, son angoisse sous la forme d'un petit personnage le suit toujours comme son sombre et en cette rentrée, c'est le moment idéal pour elle de lui souffler tout plein de pensées désagréables. Est-ce que cette année sera comme la précédente ? Au fil des pages, nous allons découvrir que ce n'est pas du tout le cas et qu'Eliott est finalement capable d'oser plein de choses.



Tout part d'une vidéo Tictoc avec son meilleur ami Hari où Eliott improvise une danse pour prouver que cette appli n'est pas intéressante et qu'en deux ou trois mouvements de danse, on peut être connu et reconnu, pour pas grand-chose finalement. Et c'est ce qui se passe lorsque la vidéo d'Eliott fait le buzz.



Alors entre sa subite notoriété, son amitié avec Hari, Églantine qu'il perçoit différemment, ça va faire beaucoup de choses pour Eliott, surtout avec son angoisse qui ne le lâche toujours pas.



Un joli album sur l'adolescence et ses chamboulements mais également sur les priorités qui finissent par apparaître sous nos yeux. Une histoire touchante sur l'amitié, les premières amours mais également des moments plus profonds concernant les personnages secondaires que l'on découvre un peu plus et qui permettent une vision d'ensemble.
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Sous des dehors naïfs, "Elliot au collège" est pourtant une série tout public profonde à mettre entre toutes les mains, celles des jeunes et des moins jeunes.
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Théo Grosjean confirme, avec "Réseaux et sentiments", la qualité du premier opus. Plein d'humour et de tendresse son "Elliot au collège" s'affirme comme une valeur sûre.
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J’avais beaucoup aimé le premier tome d’Elliot au collège, l’histoire de ce jeune collégien ultra stressé qui se balade avec sa boule d’angoisse représentée par un petit monstre jaune et qui ne l’aide pas du tout ! Dans ce deuxième volume, Elliot devient, un peu par hasard, une star des réseaux sociaux. Tout son petit monde va se retrouver chamboulé, à commencer par ses relations avec les autres.

Une nouvelle fois, @theo.grosjean touche juste, décrivant parfaitement cet âge difficile et ambivalent qu’est l’adolescence. En espérant qu’il en fasse réfléchir plus d’un.e !

Elliot est en 5e, sur tictoc et dans le pétrin avec ses amis. Tout ça à la fois.



Ce second tome confirme de nouveau la réussite de cette série. Le collège est parfaitement bien représenté, les situations font alterner réalisme et absurde délirant, le rire survient à chaque chute et les planches se dégustent page après page. Elliot, on ne peut que l'aimer !

Théo Grosjean a réellement su inventer un univers original et un concept extrêmement drôle : on adore et on recommande !
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J’aime beaucoup la saga "Éliott est au collège". Ce deuxième aborde le rapport aux réseaux sociaux, l'évolution des amitiés.



Eliott rentre en 5e et il réalise que différentes amitiés peuvent nous nourrir pas de la même manière.



Je trouve que Théo Grosjean aborde un point important dans cet album. Nous sommes tous, en quelque sorte, accompagnés par des créatures étranges, invisibles aux autres, dans notre quotidien, que ce soit l’anxiété ou autre (handicap, trauma, émotions envahissantes).



L'ensemble est empreint d'humour et d'autodérision. J'ai hâte de découvrir la suite.

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Réseaux et sentiments, tome deux de la série Elliot au collège de Théo Grosjean.

Après une année de sixième mouvementée, le « légèrement stressé » Elliot est entré en cinquième avec toujours une véritable boule d'angoisse à ses côtés.

Elliot devient rapidement populaire grâce à une vidéo de danse complètement improvisée qui le transforme du jour au lendemain en star de Tic Toc. Il va se rapprocher d'Églantine.. et s'éloigner de son pote Hari. Mais sa nouvelle popularité va faire que décidément, la cinquième va être, une fois de plus, une année difficile à vivre pour notre héros !

Réseaux et sentiments est un second tome dans la lignée du premier, aussi réussi.

Nous retrouvons Eliott, Hari, Capucine et bien sur le détestable Bastien. Tout ce petit monde est maintenant en cinquième mais les boules d'angoisse d'Eliott et Capucine sont toujours là, bien présentes à leurs cotés.

On pourrait croire qu'une fois la sixième passée, cela serait plus facile pour eux d'appréhender la suite du collège mais en fait, non. Etre adolescent n'est pas facile, et cette nouvelle année va apporter bien des tourments au jeune Eliott.

Il accède par hasard à la notoriété grâce à Tic Toc, ce qui ne va pas le rendre très sympathique par moment. Il va se rapprocher de Capucine mais se fâcher avec Hari. Son comportement parfois arrogant va faire quelques dégâts car le jeune garçon a pris un peu la grosse tête ! Ce qui est facile quand on est soudain apprécié de tous et copié !

Décidemment ce n'est vraiment pas facile d'être un adolescent et cette année de cinquième ne se déroulera pas comme un long fleuve tranquille.

J'ai apprécié ce second tome autant que le premier.

J'ai toujours autant accroché avec les dessins et la colorisation. Le scénario est bien conçu.

La fin laisse présager des surprises pour la suite, j'ai hâte de découvrir comment Eliott et les siens vont évoluer à l'avenir.

J'ai adoré l'épilogue bonus avec une aventure d'Eliott pendant les vacances d'hiver.

Je vous recommande Réseaux et sentiments sans aucune hésitation et le note cinq étoiles bien méritées :)

Elliot rentre en 5ème et alors qu'il est toujours persécuté par Bastien, Eglantine va s'intéresser un peu plus à lui. De plus quand Hari, son meilleur ami, va poster une vidéo de lui sur Tictoc, Elliot va avoir un réel succès.

Un super second tome très bien travaillé avec de vrais thèmes vraiment bien traité.

J'ai beaucoup aimé ! Les dessins évoluent en fonction des scènes et c'est super agréable.
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C'est simple, j'adore Elliot au collège. C'est un retour plein de maturité sur une période que l'on a tous connus et il est difficile de ne pas s'identifier aux personnages et aux situations. Grosjean s'impose de plus en plus comme un auteur à suivre car les oeuvres passent et ca fonctionne à chaque fois sur moi. Humour subtile, de la profondeur et surtout un style simpliste mais qui est dans l'essentiel : transmettre les émotions. Cela semble simple, mais on est sur une oeuvre vraiment intelligente et bourrée de qualités.

👉 Quoi de mieux en cette saison que de retrouver une bande dessinée drôle, touchante, attendrissante, sur l’amitié, l’échec, la réussite… et la vie au collège. Un bon mélange d’émotions qui parlera à l’enfant qui sommeille en vous !



🔎 Ma critique express : j’ai aimé ❤️

- Retrouver le style de Théo Grosjean sur de la jeunesse

- Des personnages variés

- Encore et toujours l’angoisse (si j’en avais une aussi mignonne, je prend !)

- Le scénario de fond autour des réseaux sociaux



🔎 Pour ceux qui veulent en savoir plus :



👉 Elliot est un collégien souffrant d’anxiété, mais dans ce tome 2, son anxiété semble peu à peu disparaitre le jour où il rencontre le succès avec un « Tic Toc » ! Mais que se passe-t-il quand un ado ne pense qu’aux réseaux sociaux en oubliant ses amis et ce qui l’anime dans son quotidien ?



❤️ J’étais réellement impatiente de voir si le coup de coeur du premier tome allait se poursuivre sur la suite de la série… Et clairement oui ! J’ai même préféré cette année de 5eme, puisqu'elle pousse à plus de réflexions autour des réseaux sociaux. Moi-même, je me questionne casi tous les jours sur l’importance d’être ici et de la place que ça a pris dans ma vie ! Finalement, je me suis complètement retrouvée dans cette BD écrite pour les plus jeunes.



🖌 Graphiquement, c’est toujours aussi réussi, avec des couleurs et la ligne qu’on connait de l’artiste.



Le petit moins de cet album, c’est sans doute l’histoire inédite à la fin de la BD qui m’avait tant plus dans le premier album, m’a moins touchée dans ce tome. Mais est-ce grave ? Absolument pas !
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Si j’avais un peu peiné à accrocher au premier, je lui trouvé une idée sympa de matérialiser l’angoisse et décrire ce qui peut faire peur au collège.

Dans ce second tome, je trouve qu’on passe à côté de tout à mon goût.

L’angoisse symbolisée devient anecdotique, voire accessoire, alors que c’était l’idée intéressante.

La youtubeuse célèbre qui arrive au collège peut être sympa pour montrer le côté factice de cette vie, mais c’est tellement improbable comme situation, qu’on ne s’identifie plus à Elliott, comme dans le premier tome, ça devient factice…

Enfin, si la relation amoureuse est sympa, elle est noyée dans le tout et après la nouveauté du collège, traité le premier amour de la même façon aurait pu être sympa, mais non, c’est en très fond, comme le harceleur…

Pas franchement rentré dedans…

Elliot rentre en 5ème, il a un nouveau cartable, le même que celui de ses camarades de l'année dernière, la rentrée devrait bien se passer en théorie. Pourtant, il est toujours accompagné de sa fidèle boule d'angoisse. Il a hâte de retrouver Han, son meilleur copain. Manque de bol, son cartable n'est pas du tout à la mode et il est plus petit que tout le monde. L'année commence bien...

Ce tome 2 est aussi un coup de cœur.

J'aime toujours le style des dessins et l'humour du scénario.

L'adolescence est traitée avec justesse mais j'aime surtout comment le sujet de l'angoisse est traité. Il montre bien que tout le monde peut être touché et même ceux qui ont l'air bien dans leur peau et leur vie.

D'ailleurs, quand Elliot devient populaire lui aussi grâce à TicToc, application sur laquelle il se met à danser et devenir très populaire, pourtant, il n'est pas moins angoissé et se retrouve de plus en plus seul.

Elliot tombe amoureux, perd son ami, il vit l'expérience des premiers flirts et surtout qu'il n'est pas seul à souffrir dans ce monde.

C'est un personnage auquel je me suis attachée, j'espère que nous verrons bientôt sa rentrée en quatrième.

Un bande dessinée pour adolescents et adultes que je recommande chaudement.

Ah ces années collège!

On veut se fondre dans la masse pr ne pas se faire remarquer !!!

Ce sont des années pas facile ou le regard de l'autre compte beaucoup !

J'ai envie de hurler... Ne soyez pas que des petits moutons...

Mais il faut être à la mode.... Alors ils veulent tous les mêmes baskets !

Encore plus avec de téléphone de 💩 où un abruti lancé une trend débile et que ce soit un succès !

Les amitiés sont légères de nos jours.. C'est moche !

Je suis contente d'avoir été jeune à mon époque !!!

Je lisais déjà beaucoup moi il fallait me laisser tranquille avec mes bouquins moi...

Quel stress ce collège !

On relativise quelques années après...



📖Le « légèrement stressé » jeune Elliot est entré au collège. Cette véritable boule d'angoisse qu'il ressent en permanence prend vie à ses côtés et le guide dans les méandres de la grande école.

Elliot devient rapidement populaire grâce à une vidéo de danse complètement improvisée qui le transforme du jour au lendemain en star de Tic Toc. Il se rapprocher d'Églantine... et s'éloigne de son pote Hari. Mais sa nouvelle popularité rend Elliot un peu méprisant, ce qui finit par rapprocher Églantine de Bastien, son pire ennemi.

Décidément, la cinquième va être, une fois de plus, une année difficile à vivre pour notre héros !

J’aime beaucoup ce que fait Théo Grosjean de manière générale. Je le suis depuis très longtemps sur instagram où il partageait des stripes pendant le confinement et j’étais très content’e de découvrir autre chose de cet auteur. Sa nouvelle série mettant en scène Eliott, un adolescent angoissé, apporte de l’humour dans un quotidien stressant que l’on connaît si bien. Petite préférence tout de même pour le tome 1 !

Toujours dans le même esprit que le premier tome, cette nouvelle bd retrace le quotidien angoissé d’Elliot, qui entame sa deuxième année au collège et son lot de problèmes et de tracas en tous genres. J’ai beaucoup apprécié ce deuxième tome, toujours aussi touchant, en particulier l’épilogue…

Les gags ont été imaginés par Théo Grosjean puis mis en images par Auriane Bui. Pas plus exceptionnels que ça dans leur degré d'humour ils seront toutefois accueillis avec une bienveillante curiosité par les fans inconditionnels de La guerre des étoiles.
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Je suis allé sur l'oeuvre pour Théo Grosjean et il est indéniable qu'on est ici sur une oeuvre de jeunesse. L'écriture fluctue entre des très bonnes idées et aussi beaucoup de gags très moyens.

Il manque encore de l'expérience pour mettre du recul sur le travail réalisé, mais connaissant les travaux de l'auteur aujourd'hui, je ne doute pas qu'il deviendra un auteur abouti dans le futur.

Entre crises d’acné, crise d’ado, complexe d’OEdipe et séduction… le nouveau bad guy de la franchise a encore bien des choses à prouver. Pas facile d’être le fils d’Han Solo et le fils spirituel de Dark Vador quand personne ne vous prend au sérieux ! Et Kishlo Ren en souffre.



Des situations plus ou moins cocasses, proche de la dure vie de nos chers ados.



Eux se sont pleinement retrouvés et ont bien ri des déboires de Kishlo.



Pour les fans de Star Wars qui ont des ados, mais aussi pour leurs parents.
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