Dans le 162e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Maltempo que l'on doit à Alfred et qui est édité chez Delcourt dans la collection Mirages. Cette semaine aussi, on revient sur lactualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie du deuxième tome des Mémoires du Dragon Dragon, un tome baptisé Belgique, cest chic, que l'on doit au scénario de Nicolas Juncker, au dessin de Simon Spruyt et c'est édité chez Le Lombard
- La sortie de l'album Une nuit avec toi que l'on doit à Maran Hrachyan et aux éditions Glénat dans la collection 1000 feuilles
- La sortie de l'album Les petites reines que l'on doit à Magali Le Huche qui adapte ici un roman jeunesse de Clémentine Beauvais et que publient les éditions Sarbacane
- La sortie de l'album Hiver, à l'opéra, titre que l'on doit à Philippe Pelaez au scénario, Alexis Chabert au dessin et c'est édité chez Grand angle
- La sortie de deuxième tome de Jumelle baptisé Dépareillés, série que nous devons à Florence Dupré La Tour et aux éditions Dargaud
- La sortie de l'album À quoi pensent les Russes, titre que l'on doit à Nicolas Wild et à l'éditeur La boite à bulles
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Le verbe aimer n’était-il pas trop étroit pour y faire entrer tout ce que ressentait pour Bénédicte ?
--- Maintenant, vous allez me dire ce qu'elle a de particulier, ma maison, que je m'amuse avec vous ! Et si vous ne voulez pas me le dire, je vous casse la tête !
Et, en disant ces mots, j'attrape le gros cendrier de verre.
Cette fois, le type ne rit plus :
--- Hé ! là, doucement ! Calmez-vous, cher monsieur ! Poser ça là. Asseyez-vous !
--- Parler d'abord !
--- Mais oui, je vais parler ! Après tout, maintenant que le contrat est signé, je peux bien vous le dire...la maison est hantée !
Je prends la clé, je sors, et je vais visiter la maison.
C'était, ma foi, une fort jolie maison, coquette, bien exposée, avec chambre, cuisine, salle de bains, living-room, pipi-room et placard aux balais.
Encore une fois, j'assistais à ce qui semblait être tout à fait normal et naturel à tout le monde: la soumission de maman.
Avec Béné, il était très difficile de nous différencier..
Je percevais, à cette idée diffuse, une sensation de puissance.
Cette sensation me plaisait.
"Alors comment. HORREUR ! Comment était-il possible de ressentir pour eux cette attirance dont je ne savais que faire ? Attirée par mes futures tyrans ? Ces paradoxes m'enfermaient toujours plus dans une profonde angoisse mutique."
"Une tumeur,et un diabète, c'est inopérable".
Les justifications fusent quand on a pas d'excuses.
Reniée par les siens, Chica n'est pas morte malade. Elle est morte de chagrin.
tout en étant totalement ignorante des choses qui se passaient "en dessous de la ceinture", moi, Florence, j'avais déjà un avis très arrêté sur la question.
Si vous avez le malheur de chanter :
" Sorcière, sorcière, Prends garde à ton derrière !"
À ce moment-là, elle sort... Et c'est tant pis pour vous !
p.35.
Devoir être triste. Seule la curiosité m'animait à la vue du petit corps sans tête. Aussi je pleure pour faire "comme tout le monde", pour faire plaisir à maman. Et je pleure plus encore ce jour-là, comprenant que pour vivre parmi les humains, il va falloir apprendre à ressentir ce que je ne ressens pas. Ou bien alors mentir.