AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Thomas Legrain (132)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Bagdad INC.

Un très bon thriller. Une œuvre qui fait aussi réfléchir sur ces guerres actuelles et que je vous recommande vivement !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
Bagdad INC.

Bagdad Inc. secoue et interpelle ainsi davantage par son contexte économico-politico-militaire réaliste que par son aspect "policier".
Lien : http://www.auracan.com/album..
Commenter  J’apprécie          30
Bagdad INC.

Pendant la guerre du golf un tueur en série tue des personnes les mutiles et en laissent des messages.La mutilation va servir pour faire une oeuvre d'art.Horrible mais bien construis cette bd est en plus bien dessinées. A lire
Commenter  J’apprécie          30
Bagdad INC.

Une belle BD avec des graphismes réalismes qui sont en phase avec l'histoire. J'ai trouvé que les boîtes de dialogues ne sont pas toujours bien adaptées aux dessins... c'est un détail. N'étant pas très informé sur ces sujets politico-financiers, je me suis accroché pour suivre l'histoire mais c'est un détail !
Commenter  J’apprécie          20
Bagdad INC.

Bienvenue en Irak, dans un monde de guerre ultra-violent, composé de mercenaires, de militaires et de terroristes.

Un serial-killer sévit dans ce monde apocalyptique et l'enquête ne s'avérera pas simple. Une BD rythmée, documentée, avec des dessins plutôt bien réalisés qui permet de plonger dans cette ambiance sombre.
Commenter  J’apprécie          00
Bagdad INC.

Un one shot que tout amateur de thriller aura plaisir à avoir entre les mains.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
Commenter  J’apprécie          00
Bagdad INC.

Stephen Desberg et Thomas Legrain instaurent un implacable thriller
Lien : http://bdzoom.com/90110/lart..
Commenter  J’apprécie          20
Bagdad INC.

À lire pour (re)découvrir l'histoire extraordinaire et tragique d'un génie.
Lien : http://www.auracan.com/album..
Commenter  J’apprécie          30
Bagdad INC.

Un album salutaire, donc, qui nous montre le dessous des cartes et dénonce un univers dont, bien souvent, on ne devine pas l’existence, celui des mercenaires et des guerres « privées ».
Lien : http://www.avoir-alire.com/b..
Commenter  J’apprécie          50
Bagdad INC.

Malgré des petites imperfections, ce récit a tout pour séduire les amateurs du genre.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
Commenter  J’apprécie          00
Bagdad INC.

Un one-shot qui en fait parfois des tonnes, mais qui demeure solide et bien conçu.
Lien : http://www.bodoi.info/bagdad..
Commenter  J’apprécie          20
Bagdad INC.

Enchainer cette BD après Les Jours sucrés c'est passer d'un monde à l'autre … Mais le décalage n'a pas empêché l'appréciation de cette BD qui fait également dans les outils classiques de narration, sans pour autant tomber dans le cliché.



"Bagdad Inc." est avant tout une BD sur la guerre en Irak qui se sert du prétexte de retrouver un tueur en série dans Badgad bombardée pour parler de la guerre à l'américaine et mettre en avant comment le monde évolue désormais. C'est écœurant, jusque dans l'idée de base : alors qu'on massacre et bombarde, on cherche un type ayant tué 3 personnes. Le paradoxe de base est d'ailleurs soulevé par les personnages du récit qui mettent également en avant la réalité de la guerre d'aujourd'hui. Mercenaire, frappe "ciblée", violence en tout sens, démocratie à coup de bombe et invasion économique ... La fin est limpide sur le sujet traité par l'auteur : cette guerre est une invasion économique destinée à imposer les intérêts occidentaux dans le monde arabe. Tout le monde en est conscient, tout le monde accepte cette réalité sordide.



Je dois dire que le récit reste sur du très classique dans son déroulé et qu'il ne prend pas de risque, mais essaye d'étoffer et développer ce qui se trame autour. On voit les manigances du pouvoir avec diverses entreprises pour assurer la "sécurité" grâce aux mercenaires, les commandes de nourriture à coup de millions du contribuable américain, le tout pour ruiner un pays économiquement et militairement, afin d'avoir une main d'œuvre pas chère et du pétrole. Vive la démocratie !

Cette BD est déprimante, par bien des aspects, mais aussi froidement claire : la guerre est une saloperie, les combats moderne aussi horrible que les anciens si pas plus, les justifications toujours fausses et les résultats calamiteux. Rien ne justifie ce qui se passe dans ces pays. Rien.

L'apparition du racisme à la fin du récit est un bon rappel que ce qui pousse bien des gens dans la voie du mercenariat peut être aussi bête et stupide que la crainte du grand remplacement, ou l'expression violente de sentiments racistes bêtes et méchants. Rien de neuf, donc, toujours les mêmes bêtises en boucle.



C'est le genre de BD qui ne remplace aucun reportage sur la guerre mais les complète, en apportant un éclairage de l'intérieur sur le déroulé d'un conflit. Un regard qui se replace au niveau des humains qui font la guerre, ce qui n'est jamais joli, mais aussi de comment tout ceci peut être perçu par l'armée elle-même. Et au final, je crois que le plus glaçant reste qu'après toute cette horreur détaillée, nous restons sur cette phrase ''Tout va bien''.
Commenter  J’apprécie          10
Bagdad INC.

Plus de 500 000 mercenaires pullulent en Irak, la moitié se trouvent dans la capitale à Bagdad. Ils sont chargés par des sociétés privées (cfr Blackwater) d'effectuer le salle boulot comme ça en cas de bavure pas de trace.

En plus de ceux-ci il y a l'armée, les terroristes et les habitants. A ça s'ajoute un tueur en série qui profite de la guerre pour mutiler ses victimes dans les ruelles de la ville. La gouvernement provisoire mis en place depuis peut n'a pas le temps de s'offrir un scandale. Le lieutenant juge-avocate Charlene Van Evera va devoir menée son enquête dans un milieu rempli de testostérone...



One shot plutôt bien ficelé et documenté par Desberg au sujet des firmes privées, rythmé et bien dessiné par Thomas Legrain (l'histoire vraie du SAS, Sisco)
Commenter  J’apprécie          40
L'Agence, tome 1 : Dossier Leda

Pure BD d'espionnage avec dans ce Tome 1 la lutte contre le traffic mondial d'œuvres d'art. Le dossier Léda, inspiré de faits réels (réapparition des années plus tard de tableaux de maîtres pillées par les nazis), voit les membres actifs de MX-22 tenter de remonter la filière pour démanteler ce réseau de contrebande.

Une histoire simple mais une narration qui manque de fluidité dans la mesure où pour un premier tome, il eut été souhaitable que l'équipe du MX-22, que nous allons retrouver dans les albums futurs, fasse l'objet d'une entrée en matière un peu plus travaillée.

En effet on peut attendre d'un T1 la "mise en place" des différents protagonistes avant l'entrée dans le vif du sujet.

Tel n'est pas le cas ici....

Le dessin, classique, ne retiendra pas une attention particulière.
Commenter  J’apprécie          40
L'Agence, tome 1 : Dossier Leda

Des histoires comme la série l'Agence en produit, j'en ai déjà lu des dizaines à la pelle. Il n'y a rien de vraiment singulier dans les aventures de cette bande d'enquêteurs. On nous présente le trafic d’œuvres d'art comme une originalité en bd. Ce n'est pas vraiment tout à fait le cas.



Le dessin est à l'image des personnages c'est à dire froid et impersonnel. On ne s'attache véritablement à personne. Il y a d'ailleurs toute la panoplie presque habituelle : la top modèle reconvertie, l'ancien agent secret, le prodige des technologies modernes...



C'est de la bd d'action où cela tire dans tous les sens et qu'on traverse sans éprouver le moindre plaisir. Oui, cela se laisse lire mais c'est tout. Je déplore un sérieux manque de créativité ! C'est vraiment l'agence sans risque.
Commenter  J’apprécie          50
L'Agence, tome 1 : Dossier Leda

« L’agence » composée de 4 personnages lutte contre le trafic d’oeuvres d’art. Dans ce premier tome nous les découvrons face à un vol qui a eu lieu à la fin de la seconde guerre mondiale.



Sur le marché mondial apparait un tableau datant du 16e peint par « le Tintoret » et ayant disparu lors d’un transfert en 1945 avec des dizaines d’autres oeuvres.



Cette enquête, menée de nos jours, entre Londres, Paris, Hong Kong nous permet de comprendre comment tous ces tableaux servent de monnaie d’échange à de grosses firmes internationales.



« Pas facile au début de suivre tous les personnages, mais très vite on se laisse happer par les rouages de l’enquête internationale ». La Documentaliste
Lien : https://cdilasalle34.wordpre..
Commenter  J’apprécie          10
L'Agence, tome 2 : Dossier Pazuzu

Une nouvelle mission pour l'agence, toujours dans le monde de l'art. Dans ce deuxième album, la raison d'être de l'agence se précise. Nous commençons à comprendre un peu plus le rôle des uns et des autres et les adversaires qui vont se dresser face au MX-22 dans les missions futures.

Le dessin reste très sobre, simple, sans vrai relief.

Définitivement, dernière lecture pour moi dans cette série, trop fade, malgré un sujet intéressant celui de l'art et des missions tirées de faits réels.
Commenter  J’apprécie          30
Latah

Avec ce surprenant récit teinté de fantastique, qu’il réalise en assumant seul les dessins et le scénario, Thomas Legrain (le dessinateur de la série « Sisco ») fait une entrée remarquée — et remarquable — dans la mythique collection Signé des éditions Le Lombard.
Lien : http://bdzoom.com/184442/act..
Commenter  J’apprécie          00
Latah

"Latah" fut un sacré coup de coeur.



Récit survivaliste prenant comme toile de fond la guerre de Vietnam, on y suit un militaire américain et son escouade dans l'enfer vert, aussi tourmenté par les FNL que par l'absurdité de cette guerre. Et pourtant, tout continue ainsi, encore et encore... Sauf lorsque le groupe traverse un cours d'eau et s'étonne de ne plus voir le jour tomber. Plus de communication, une orientation impossible, un temps s'écoulant bizarrement: et que dire de ces dizaines de cadavres?



"Latah" fait naturellement penser à Predator. En tous cas, impossible de ne pas y penser sur la première moitié de l'oeuvre. On remarquera même une scène en commun (hommage volontaire?) avec les grands coups de mitrailleuse tirés sur une végétation soudainement vide.

Sauf qu'évidemment, et vous l'aurez compris à la note, "Latah" va un peu plus loin qu'un "simple" Predator (que j'adore littéralement par ailleurs). Sans trop vous spolier, la funeste cause des malheurs de notre groupe est bien ancrée à la peine d'un peuple chez qui la douleur est une façon d'appréhender la vie....



C'est un excellent récit, intelligent, aux dessins absolument somptueux, dynamique et réellement prenant.

C'est par ailleurs un magnifique objet.



Donc allez-y, quoi!



En clôture de cette critique, et même si cela n'a rien à voir, on fait un rapide point sur les lectures de 2023. 52 livres lus, dont 11 graphiques.

Pêle-mêle, mes meilleurs souvenirs :

- "Harrison Harrison" de Daryl Gregory, vrai bon ouvrage "lovecraftien" (pour une fois que le terme est utilisé correctement...).

- "La Forêt Sombre" de Liu Cixin, deuxième tome du problème à trois corps. Absolument dévastateur, un ouvrage géant. Un de mes romans de SF préférés.

- "Tschaï" de Jack Vance: j'ai rapidement compris pourquoi c'est un classique. C'était juste excellent, un divertissement remarquable et dépaysant.

-"Ca" de Stephen King, une relecture confirmant encore et toujours la qualité d'écrivain de notre conteur du Maine...

- Je n'ai pas noté "Vision aveugle" de Peter Watts à 4,5 ou 5 étoiles, mais il aurait pu le mériter. C'est un roman de SF (trop) exigeant, mais faisant durablement réfléchir...

-"Eschatologie du vampire" de Jeanne A. Debâts: un recueil de nouvelles superbe et complètement décalé. Du pur plaisir, comme pour le premier tome.

- "Ethan Frome", roman classique maîtrisé d'une main de maître. L'exemple idéal de ce qu'est une bonne construction de personnages...

- ET "Latah"!



Bonne fin d'année à tous, et bonnes lectures!



Commenter  J’apprécie          30
Latah

Une statuette qui passe de mains en mains dans un rituel mystique... Puis la jungle et la fumée rouge des grenades américaines. En deux pages, le contexte est planté, le lecteur est transporté au coeur des combats et du mystère.



On traverse la jungle avec un groupe de GI chargé de nettoyer les foyers de rébellion. Tous les moyens sont bons, ou presque. Leur périple les mène dans un territoire étrange où la vengeance semble les attendre... des ennemis, un démon, une malédiction ? C'est le Latah.



Pour son premier projet en solo, Thomas Legrain propose un scénario aux confins de deux genres: le récit de guerre et le fantastique. La narration maitrisée est implacable et nous mène tout droit vers une fin de non-retour dans un décor vert étouffant.



Si l'inspiration des films américains des années 80 se fait sentir (Predator, Platoon, Apocalypse now), on ne peut qu'être admiratif du travail graphique de Thomas Legrain qui réalise des décors immersifs, des personnages consistants qui se révèlent au fur et à mesure du récit, des scènes de combat intenses dans ce qui est finalement un huis-clos dans la végétation dense de la jungle vietnamienne. A noter aussi l'excellente colorisation de Mikl !



Cet album est plus qu'un simple récit de guerre, c'est aussi une réfléxion autour de la nature humaine, la morale qui vole en éclats en temps de guerre, la douleur des peuples assiégés... et qui en plus se lit comme on regarderait un film américain à grand spectacle !
Commenter  J’apprécie          80




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Thomas Legrain (275)Voir plus

Quiz Voir plus

Knock, le livre

Pièce écrite par ... (indice : le plus "récent" des quatre)

Jules Barbey d'Aurevilly
Jules Verne
Jules Romains
Jules Renard

12 questions
293 lecteurs ont répondu
Thèmes : théâtreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}