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Citations de Tiffany McDaniel (1468)


J’ai compris une chose à ce moment-là : non seulement Papa avait besoin que l’on croit à ses histoires, mais nous avions tout autant besoin d’y croire aussi. Croire aux étoiles pas encore mûres. Croire que les aigles sont capables de faire des choses extraordinaires. En fait, nous nous raccrochions comme des forcenées à l’espoir que la vie ne se limitait pas à la simple réalité autour de nous. Alors seulement pouvions-nous prétendre à une destinée autre que celle à laquelle nous nous sentions condamnées.
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Ce que je viens de te raconter, c’est le mensonge dans toute sa splendeur. Est-ce que tu as envie d’entendre la vérité dans toute sa laideur ?
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La nature nous parle. Nous devons simplement nous souvenir de l’écouter.
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Les gens croient que c’est quand ils vous supplient de rester, mais en fait, c’est quand ils vous laissent partir que vous savez qu’ils vous aiment pour de bon.
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Ce n'est pas facile d'être une femme, P'tite Cherokee. Et surtout, ce n'est pas facile d'être une femme qui passe sa vie à avoir peur de celle qu'elle est vraiment. (…) Ne laisse jamais une telle chose t'arriver, Betty. N'aie pas peur d'être toi-même. Faut pas que tu vives aussi longtemps pour t'apercevoir à la fin que tu n'as pas vécu du tout.
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Le plus bel arbre de Noël, c’est celui qu’on laisse dans sa terre pour qu’il puisse y grandir et vivre sa vie.
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Tiffany McDaniel
... les secrets que l’on enterre sont des graines qui ne produisent que du mal supplémentaire.
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Vous savez ce que c’est que devenir fou ? ...
C’est la guerre entre être la personne qu’on vous dit que vs êtes et la personne que vous savez que vous êtes.
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À ce moment-là, j’ai compris que les pantalons et les jupes, tout comme les sexes, n’étaient pas considérés comme égaux dans notre société. Porter un pantalon, c’était être habillé pour exercer le pouvoir. Porter une jupe, c’était être habillée pour faire la vaisselle.
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Les racines sont la partie essentielle de la plante, disait Papa. C’est par les racines qu’une plante se nourrit et ce sont les racines qui la maintiennent en place quand tout le reste est emporté. Sans racines, on est ballotté au gré du vent.
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La douleur est la plus intime de nos rencontres. Elle vit à l’intérieur de nous et touche tout ce qui fait ce que nous sommes. Elle s’attaque à vos os, elle règne sur vos muscles, elle capte toutes vos forces et vous ne les revoyez plus jamais. Le grand talent de la douleur réside dans la façon qu’elle a de vous toucher. C’est aussi en cela que consiste sa grande cruauté.
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- Quand une fille se maquille, elle commence déjà à mettre un pied dehors. L’ombre à paupières, le rouge à lèvres, c’est toi en train de me quitter. Pourquoi tu peux pas rester une petite fille ?
- Pour la même raison que celle pour laquelle tu n’as pas pu rester un petit garçon, P’pa
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La folie. Un violon qui nous accompagne partout lorsqu’elle est dans notre tête, un chaos absurde lorsqu’elle est à l’extérieur de nous.
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Qu’est-ce que j’avais dit, en prononçant ce mot de quatre lettres ? Je suppose que j’avais dit : Je ne veux pas que tu sois gay. Je ne veux pas que tu sois heureux, et non, ce n’est pas bien que tu aies envie d’être avec un homme. Pédé. N’est-ce pas ce que ce mot est censé vouloir dire ? Pédé ? Un mot qui disait que j’avais peur. Que je ne comprenais pas. Que jamais personne ne nous avait fait asseoir et nous avait tapoté la tête pour nous expliquer que parfois, un homme aime un autre homme et qu’ils font de belles choses ensemble.
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Ce serait tellement plus facile si l’on pouvait entreposer toutes les laideurs de notre vie dans notre peau – une peau dont on pourrait ensuite se débarrasser comme le font les serpents. Alors il serait possible d’abandonner toutes ces horreurs desséchées par terre et poursuivre notre route, libéré d’elles.
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Tu sais quelle est la chose la plus lourde au monde, Betty? C’est un homme qui est sur toi alors que tu ne veux pas qu’il y soit.
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Que fait-on lorsque les deux personnes qui sont censées nous protéger le plus sont justement les monstres qui nous déchirent et qui nous mettent en pièces.
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Tomber amoureux est la plus belle aventure de notre espèce, et lorsque l’amour, commençant à bourgeonner, s’enroule délicieusement autour de notre âme, nous cédons aux crocs du cœur et prions – oui, nous prions – devant l’infini pour que tout amour puisse avoir sa chance, sa propre part de miracle.
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La pensée m’est alors venue qu’être enfant, c’est savoir que le balancement du berceau nous rapproche et en même temps nous éloigne de nos parents. C’est le flux et le reflux de la vie qui, tour à tour, nous poussent vers les autres, puis nous en écartent …….
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- Tu sais pourquoi ces collines ont été créées, petite indienne ? Elles ont été faites pour que les hommes puissent monter au sommet et faire rouler leurs péchés jusqu’en bas.
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