Tim Dup

Alternant les souvenirs de Pierre, le texte nous présente les blessures passées et celles, encore vives mais gérées, d’un aujourd’hui. Les bonheurs et les joies sont aussi racontées parce que si Pierre a perdu sa mère à l’âge de 18 mois, il a été élevé dans une famille aimante qui lui a offert tout l’amour possible et une vie la plus normale qu’il soit. Un récit qui nous ballade dans le temps et l’espace, entre virée à moto, découverte de l’amour, souvenirs de sa mère, exploration de la généalogie familiale et quelques explosions de rage.



Pierre n’a que l’absence de ses parents et cette idée d’écrire sur une des conséquences d’un féminicide est une très bonne idée. Comment grandit-on quand on est l’enfant d’un meurtre et que l’on a que le souvenir de sa propre mère? Les souvenirs que l’on se construit au travers de quelques photos encore accrochées aux murs, des bribes de phrases et anecdotes que l’entourage nous murmure ou d’un carton poussiéreux dans un grenier.



Pierre a des failles et si elles sont faites de colère, elles sont surtout colmatées de silence. La libération du père meurtrier va décoller cette chape et immanquablement invoquer les rancœurs. Pourtant le lecteur est peu touché par ces émotions. C’est un texte vivant mais trop bien construit qui nous est livré. Tout est très maitrisé, parfois très littéraire, souvent trop décrit et l’émotion en devient superflue. Je suis fait de leur absence est de ces romans où l’on peut sauter des pages, rien de grave en soi, sauf qu’il en fait à peine 250, de pages. Alors oui, il y a des passages délicats et émouvants; Tim Dup sait parler de l’intime et quand il le fait c’est très beau sauf que ces confidences sont trop rares.

Un premier roman qui a tout pour bien faire et qui, justement, fait bien. C’est dommage car il aurait pu faire mieux.

Tim Dup est avant tout un artiste musical et à ce sujet, son talent d’écriture est indéniable. A la fois mélancolique et charnel, il infuse une poésie délicate et espiègle dans ses chansons. J’aurai aimé retrouver ces qualités dans son premier roman. Pourtant j’ai passé un agréable moment en compagnie de Pierre et sa famille et je ne manquerais pas de replonger dans un nouvel ouvrage de l’auteur qui, j’en suis sûre, trouvera sa plume littéraire comme il a trouvé sa musicale.

Un texte bouleversant et aussi prenant que celui de Philippe Besson « Ceci n'est pas un fait divers ».

Je ne connaissais pas l'auteur, en tant que chanteur.

Ce premier roman nous parle au plus prés d'un féminicide.

Pierre, un jeune homme, vient s'installer dans la maison familiale, avec sa compagne enceinte. Un moment de bonheur en perspective, mais comme le dit si bien le titre, Pierre est fait de leur absence. Ces absences, ce sont celles de sa mère et de son père. Ce père qui a tué sa mère.

Le narrateur va nous narrer sa vie après ce meurtre, sa relation avec les autres membres de la famille, en particulier, son oncle, frère de sa mère, qui l'a pris sous ses ailes après le drame, les grands parents.

Ce texte parle très bien des ressentis, des "après" des proches après un féminicide. Comment continuer son chemin après un tel drame ? Des pages terribles sur les conséquences de cet assassinat au sein d'une famille. Des pages sensibles sur les façons de chacun d'essayer de comprendre, de continuer à vivre avec... De belles pages de relations familiales, que ce soit avec l'oncle, le grand père, qui perd la mémoire en maison de retraite et a l'impression de revoir sa fille...

Des pages sensibles, terribles jalonnent ce texte et beaucoup de questions sur la gestion des avant des drames, pendant puis après. Il y a des moments de poésie, de "souffle", d'étouffement. Il y a des pages qui restent en mémoire, lorsqu'on a fini ce texte.

Un texte qui nous parle très bien de ces drames et des conséquences. Il aborde aussi la manière dont sont gérés ces drames, ses avants, ses après.

Mais c'est aussi un texte littéraire avec de belles pages de description de paysages, de relations humaines...

Malgré un sujet terrible, un premier roman très réussi et je vais maintenant écouter les textes de Tim Dup, en attendant son prochain texte romanesque.

#Jesuisfaitdeleurabsence #NetGalleyFrance

C’est un roman sombre, et poignant que je viens tout juste de terminer.

Un roman dont je ne savais rien avant de l’ouvrir.

Reçu dans le cadre du coup de coeur du mois de #versionfemina, je n’ai pas cherché à en savoir plus avant de le commencer.



Au fil de ma lecture, j’ai senti le profond mal-être du personnage principal, Pierre. J’ai compris qu’un drame avait marqué son enfance, j’ai aussi ressenti toute la colère qu’il avait en lui, et combien les non-dits familiaux lui pesaient.



Le récit alterne entre passé et présent, et les chapitres du passé viennent petit à petit nous éclairer sur le présent, nous dévoilant l’inacceptable, nous plongeant vers la douleur écrasante qui pèse sur le coeur de Pierre.



J’ai beaucoup aimé ce roman, la plume de l’auteur et son intensité.

J’ai toutefois été « perturbée » par toute cette douleur, cette alternance d’espoir de retour à la lumière, et de retombée dans la noirceur. Cette inquiétude face à l’avenir, à l’amour, cette colère enfouie, cette violence retenue !



Pour autant, je suis certaine que c’est bien malheureusement là le reflet émouvant et réaliste de ce que peuvent vivre et ressentir des enfants /adolescents, qui ont vécus ce même drame familial. Quels adultes deviennent-ils ?

Comment se relever, s’épanouir avec une telle tragédie dans sa petite enfance ?! Comment se construire face à la culpabilité et face à l’impuissance des proches. Comment vivre avec cette absence, ces manques qui déchirent, et ce passé qui toujours vous saute au coeur !

Sur un sujet toujours bien trop présent dans notre actualité, le féminicide, l’auteur nous livre un premier roman à l’écriture à la fois brutale et sensible qui ne laisse pas indifférent.

Merci aux @editionsstock et @netgalleyfrance pour avoir acceptés que je découvre ce livre.



Ce roman m'a déstabilisée, il m'a fait perdre le fil de mes pensées parfois, il m'a surprise aussi.



Le début est dans un mood positif, on parle d'une famille qui doit vendre une maison à laquelle elle est attachée, de grands parents qui ont élevés leur petit fils Pierre, les souvenirs refont surface. Puis très vite, on sent un poids, des idées noires ressassées par le personnage principal, le passé concernant le drame familial qu'ils ont vécus. C'est une atmosphère étrange, qui dérange mais nous appelle.



C'est l'histoire de Pierre et sa famille.

C'est l'histoire d'un garçon perdu.

C'est l'histoire d'une famille brisée.

C'est l'histoire d'un féminicide.



"La culpabilité, je la vois naître dans mes rêves. Elle prend toujours la même apparence, celle d’une grive, dont les ailes ne sont pas faites de plumes, mais de feuilles et de fleurs séchées. Les pétales s’en vont les uns après les autres, chaque fois que l’oiseau essaie de s’envoler. Il n’y parvient pas, me supplie de l’aider. J’ai beau lui dire qu’elle n’a pas les ailes qu’il faut, elle s’entête à bondir, et retombe chaque fois au sol, ses ailes en fleurs s’évanouissant autour. Dans le ciel qu’elle tente de rejoindre, il n’y a qu’un noir épais."

J'ai du mal à formuler une critique pour ce qui est de ce texte !



L'idée est louable, ambitieuse et la construction du texte est originale et maitrisée. Le propos est grave : les violences faites aux femmes et se dévoile peu à peu. Le drame qui se joue ici a des répercussions sur tous les protagonistes et c'est très palpable car on oscille entre différents temps du récits. Cette violence innerve chaque lieu, chaque époque et c'est en ce sens très réussi.



Ce qui - à mon humble avis - pêche, c'est le style ! Je ne suis pas très familière de ce que fait l'auteur par ailleurs, mais j'avais un a priori très positif et m'attendais à quelque chose d'à la fois grave et poétique. J'ai été déçue car je n'y ai vu que des tentatives et j'ai trouvé le tout un peu poseur et déjà vu. Il y a quelques jolies choses mais qui sont ensevelies sous de nombreuses formules ou images toutes faites et parfois un peu convenues.



Ça se lit, ça se tient mais ce n'est pas d'une grande originalité pour ce qui est du style et c'est dommage car cela prend parfois des allures un petit peu gnan-gnan (je n'ai pas trouvé comment le dire autrement...).

Comme a mon habitude je ne reviens pas sur le résumé, tout le monde le fait déjà.

Tim Dup est mon chanteur favoris, j’étais déjà donc familière avec sa plume, et c'est avec une grande impatience que j'attendais son 1er roman, je pense même que je l'attendais avant qu'il l'annonce. Avec une telle écriture, il était évident qu'il se pencherai sur cet exercice un jour ou l'autre.



Dés les premiers mots, j'ai entendu Tim me chanter son livre dans la tête, je retrouve parfaitement sa poésie, sa mélancolie (heureuse ou pas), cette alternance entre le beau et le cru. J'ai apprécié les clins d’œil (voulu ou pas) à certaines de ses chansons, j'ai apprécié la fluidité du texte, une lecture qui se déroule toute seule, pour parler d'un sujet aussi dur, aussi complexe.



En bref, si vous aimez déjà le chanteur je vous presse de découvrir l'auteur, et si vous avez aimé découvrir l'auteur, je vous conseille chaudement d'aller écouter sa musique, en commençant par l'album "Qu'en restera-t-il?"



Et pour les Toulousains, Tim Dup sera en dédicace le 19 janvier dans la librairie Gibert, venez nombreux

Pierre, dans la vingtaine, vit toujours chez ses grands-parents qui l’ont pris en charge au décès de sa mère, en absence du père. C’est une famille qui l’aime mais où l’on préfère taire ce qui ne va pas. Enfant, puis adolescent, il a dû se construire dans les non-dits et la recherche de bribes de souvenir d’une mère idéalisée. La maison, située en Normandie au bord de la mer, est son point d’ancrage. La famille est obligée de la vendre et c’est une catastrophe pour ce jeune homme dépressif, en manque de repères.

Dans ce récit construit avec de nombreux flash-back non chronologiques, on comprend très vite qu’il y a eu un drame, mais il faut arriver à la fin pour que le passé soit dévoilé. Pierre a du mal à canaliser la colère qui l’étouffe et sombre dans la mélancolie malgré sa rencontre avec une jeune femme qui pourrait le stabiliser et dont il tombe très amoureux.

Le féminicide est un thème à la mode mais l’intérêt de ce roman est dans le choix du personnage central, l’enfant. Dans un couple toxique, les protagonistes ont toujours la possibilité de partir, jamais l’enfant . Il est intéressant qu’un auteur s’empare du problème de ce point de vue.

Le récit est court malgré de redondantes descriptions du petit coin de Normandie tant aimé par Pierre. Je l’aurais aimé un peu moins brouillon. Le style oscille entre poétique et laborieux, avec des choix de mots que je n’ai pas toujours trouvé heureux. C’est un premier roman… avec ses défauts, mais c’est un auteur que je vais suivre avec intérêt.

Je trouve le choix du titre beau et judicieux.

#Jesuisfaitdeleurabsence #NetGalleyFrance
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C'est d'abord une maison de famille, là-bas, "dans un paysage d'aquarelle normande", mise en vente pour financer l'EHPAD du grand-père. Puis c'est la réapparition traumatisante du père assassin après quinze années de prison. C'est aussi l'amour naissant entre Pierre, le narrateur, vingt-et-un ans, et la lumineuse Victoria, qui décident de passer encore quelques mois dans la vieille demeure.



Les souvenirs affleurent dans des allers et retours simplifiés par des têtes de chapitre très précises. Comment grandir entre une mère morte et un père incarcéré : "l'absence d'amarrage à mes parents manquera toujours." Toute une enfance, toute une adolescence sans les bras maternels, remplacés par des grands-parents et un oncle certes aimants, mais écrasés par la culpabilité.



C'est un récit contemporain d'un jeune auteur engagé, qui aborde les violences conjugales et ses ravages désastreux sur les survivants. Ce drame familial où se côtoient la vie, la mort et l'amour est dépeint dans une prose intime, poétique et puissante. Certaines pages sont très fortes : la jolie définition de l'amour selon la grand-mère, la scène insoutenable du féminicide, ou l'implacable description des EHPAD, lieux de solitude et d'abandon. Il nous prend aux tripes, ce premier livre troublant et poignant, à l'écriture soignée (l'on y apprend beaucoup de mots nouveaux !), entrecoupée de-ci de-là de quelques expressions énervées où affleure toute la rage du narrateur. Qu'ont-ils à nous transmettre, ceux qui nous ont précédés sur cette terre ? Allons-nous nécessairement renouveler les mêmes erreurs ? Fatalité ou liberté ? Que va choisir Pierre ?

Un premier roman sur un sujet difficile: le féminicide et comment grandir quand son père a tué sa mère. La construction originale avec des chapitres oscillant entre passé et présent rend la lecture agréable : tout se construit comme un puzzle tragique. J'avoue être restée un peu en retrait du personnage principal mais l'évocation de la maison d'enfance comme lien au centre de ce drame m'a beaucoup touchée !

Comme je ne connaissais pas du tout l'auteur et qu'il est auteur-compositeur, je vais aller voir ce que ça donne !

Je connaissais Tim Dup pour sa musique et j'ai donc souhaité le connaître aussi pour sa plume et je ne suis pas déçue. Il nous offre un très beau texte sur le féminicide et les conséquences sur l’entourage, notamment sur le principal intéressé, le narrateur, le fils de cette femme morte sous les coups de son père. Un père qui va sortir de prison, une maison qui va être vendue. On y découvre la violence, les non dits, le déséquilibre familial. C'est dur et beau à la fois

Très bon premier roman. Je l'ai lu aptes une rencontré avec l'auteur, il s'exprime aussi bien qu'il écrit.

Une histoire prenante, pleine de poésie malgré un sujet très complexe. Certains moments étaient très difficiles à lire emotionnellement.

TW : violences conjugales

"Je suis fait de leur absence" de Tim Dup, plonge le lecteur dans une prose chargée de poésie, oscillant entre la beauté des descriptions et la noirceur des thèmes abordés dans l'ombre de la souffrance. L'auteur, dans une maîtrise remarquable pour un premier roman, explore les recoins sombres de l'âme humaine à travers les yeux d'un protagoniste central qui tente désespérément de verbaliser les tourments qui l'ont hanté depuis son plus jeune âge.



Au cœur du récit réside la douleur profonde du protagoniste, marqué par l'absence de sa mère, le silence étouffant de ses grands-parents et de son oncle. Tim Dup réussit brillamment à dépeindre une atmosphère où les non-dits et les non-réponses se mêlent pour former une chape de plomb pesante, enveloppant l'événement qui a fait de ce personnage un orphelin.



L'auteur excelle dans la description des lieux et des personnages, créant un univers poignant où chaque mot semble soigneusement choisi pour plonger le lecteur dans une réalité pas vraiment gaie. Les phrases cinglantes résonnent comme des coups, exposant les thèmes universels de la jalousie, des insultes, du dénigrement, du contrôle, de la surveillance et de l'emprise.



Ce roman offre une exploration introspective des traumatismes qui peuvent conduire à des actes désespérés. Tim Dup réussit à captiver le lecteur en dévoilant les couches les plus sombres de la psyché humaine, tout en maintenant une poésie qui transcende la noirceur du sujet. "Je suis fait de leur absence" se distingue par son style narratif puissant, invitant les lecteurs à réfléchir sur les conséquences dévastatrices des blessures non cicatrisées.



En conclusion, Tim Dup signe un premier roman remarquable, offrant une plongée immersive dans les tourments d'un protagoniste en quête de voix pour sa souffrance. "Je suis fait de leur absence" laisse une empreinte indélébile, rappelant que même au cœur des ténèbres, la beauté de l'écriture peut émerger.

Premier coup de cœur 2024.



Avec la Normandie pour décor, Tim Dup nous embarque aux côtés de Pierre et de sa famille, aussi présente qu’absente. De sa plume pleine de poésie et pourtant incisive, il nous raconte les tourments et les espérances d’un jeune homme fait de blessures, d’un orphelin bientôt père.



À travers les années, c’est son histoire qui se dessine et qu’on découvre. On apprend d’où vient Pierre, qui était sa mère et ce qui lui est arrivé. Un drame qui façonne une vie (des vies).

Plus les pages se tournent, plus la fatalité semble évidente. Et pourtant.



Je ne veux pas vous en dire plus, tout est dans ces pages, entre les lignes. C’est à la fois doux comme le chant des vagues et violent comme une tempête normande.



Merci Tim Dup pour le cadeau qu’est ce roman. Il retourne et fait du bien à la fois.

Ce roman est écrit à l'encre d'une plume sublime.

L'histoire est profonde et emplie de sentiments, le lecteur se sent profondément à la place du jeune Pierre torturé par son passé familial atroce.

Nous, lecteurs, sommes portés entre ce passé macabre et cette touchante histoire d'amour entre Pierre et Victoria, la seule qui parvient à lui donner un semblant de goût à la vie.

Premier roman d’un chanteur qui s’extrait, je crois, haut la main des erreurs que représente le risque du passage de la chanson à la littérature. Il fallait déjà le faire… Certains en rêvent et ne s’y emploient jamais. C’est vert, c’est vrai, surtout dans le premier tiers, mais cette ingénuité (je ne trouve pas d’autre mot) a quelque chose de sage et de flamboyant, comme si l’auteur n’avait aucune référence ou influence écrasante qui puisse l’empêcher d’écrire… La première force de ce livre est là, une écriture fine et diablement imagée. Voilà pour l’auteur. Pour le récit, parfaitement maîtrisé, je retiens la puissance cinématographique, la psychologie généalogique, le cadre social, le déterminisme, et bien-sûr la thématique du féminicide, dont le phénomène d’emprise glace le sang. Un roman libre, qui me laisse avec beaucoup de questions en tête, et qui trace la voie d’un jeune écrivain qui a bien le temps devant lui pour parfaire ce qu’il y aurait à parfaire…

Roman haletant qui nous plonge dans les souvenirs d'enfance du personnage. Avec une émotion qui nous submerge, il nous transporte à travers ses incertitudes, son amertume et ses remises en question. Un récit poignant qui aborde avec rudesse les violences intra-conjugales et ses dommages collatéraux. Un beau premier roman !

Dans Je suis fait de leur absence, Tim Dup raconte une enfance marquée par l'absence. Délicat et juste.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..

À travers la vie bouleversée de Pierre, dont la mère a été assassinée par son père, l'auteur-compositeur Tim Dup livre un premier roman sensible.
Lien : https://www.la-croix.com/cul..

L’auteur-compositeur-interprète Tim Dup ajoute une nouvelle corde à son art en publiant son premier roman.
Lien : https://www.ouest-france.fr/..

L’auteur-compositeur-interprète Tim Dup ajoute une nouvelle corde à son art en publiant son premier roman.
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