Victor Dixen

" il y a un temps pour naître et un temps pour mourir" (p68)

— Je suis sûr à présent que j'aimais Azur, je crois qu'il m'aimait lui aussi - et surtout, j'ai compris qu'il n'y avait rien de plus naturel que cet amour-là. Comment expliquer autrement tous ces soirs ou j'etais assis avec lui près du feu, une fois les chèvres rassemblées, avec une boule dans la gorge et cette sensation d'étouffer ! Le silence, dans ces moments-là, était plus pesant que la nuit et toutes ses étoiles. C'était comme s'il y avait des mots qui ne pouvaient pas sortir de ma bouche, ni de la sienne. Des mots pour dire que depuis notre enfance, nous nous étions tous les deux sentis différents des autres. Des mots pour raconter nos doutes croissants avec les années, notre terreur d'être rejetés par la communauté franche, nos efforts pour rentrer à tout prix dans le moule... et l'attirance irrésistible que nous ressentions l'un pour l'autre. À cause de mon logiciel, je n'ai jamais prononcé tous ces mots-là, et Azur ne les entendra jamais.

Celle que j'étais
Est morte pour faire naître
Celle que je suis.

« Les livres sont des armes pour survivre, avait-elle coutume de me répéter, leurs histoires nous aident à surmonter les épreuves de la vie. »

Une page blanche
Pour réécrire ma vie :
Une page vierge.

Viel écrivain mort.
Jeune lectrice vivante.
Dialogue de sourds.

-Roberto Salvatore, « C'est bon, la caméra est éteinte ? Maintenant, qu'on est off, laissez-moi vous dire que c'est un scandale, Serena : Merceaugnac 1969 pour ses morveux, et vulgaire mousseux pour nous ! »
-Serena Mcbee « calmez-vous, Roberto, point les prétendants n'emportent que du mousseux, eux aussi. J'ai fait coller les étiquettes millésimées sur des bouteilles quelconques
- Les vrais grands crus offerts par Merceaunac sont dans ma cave de Long Island. Nous les viderons ensemble. Quand Atlas nous versera notre bonus à la fin du voyage !

Peu importe votre job : tôt ou tard, il y aura un robot pour le faire mieux que vous.

Je ne veux pas me consumer comme un feu de paille, ce que je veux c’est durer.

Marcus : Les vieux sont des jeunes pour qui tout a été trop vite !

page 399

Parfois, quand parlaient les yeux et chantaient les coeurs, les langues pouvaient se taire.

Résumé : Il y a six filles et six Garçon dans les deux compartiment séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduir et se choisir.

3 Raisons de lire se livre :

Ces une BD
La couverture m’a plus.
Le résumé m’a plus.

Pour ceux qui ont déjà lu ce livre, une question sur le livre :

Qu'est ce que le personnage principale à dans le dos ?

Résumé : Il y a six filles et six Garçon dans les deux compartiment séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduir et se choisir.

3 Raisons de lire se livre :

Ces une BD.
La couverture est belle.
Les dessins sont bien dessiné

Pour ceux qui ont déjà lu ce livre, une question sur le livre :

Q'est ce que le personnage principale à dans le dos ?
Gabin

Rêve comme si tu vivais pour toujours, vis comme si tu allais mourir aujourd'hui (James Dean 1931-1955)

Cueille le moment.

Un affreux craquement d'os brisés[...]La pluie de sang drue retombe sur la piste.
L'orchestre entonne le roulement de tambour final.

Avant d'aller se coucher, sans savoir qu'il ne se réveillerait jamais, il m'a désignée comme son unique héritière.

La Faculté compte des inquisiteurs mortels pour traquer les hérétiques parmi les roturiers, mais ce sont des inquisiteurs vampyres qui combattent les crimes de l’aristocratie et les transmutations illégales. Chacun de ces chevaliers morts est accompagné d’un valet bien vivant : son ombre. Un tel duo est capable d’opérer vingt-quatre heures sur vingt-quatre. L’inquisiteur pendant la nuit… et son ombre pendant le jour !

... quand il découvrira ton secret !

La violence n’engendre que la violence […]. C’est pourquoi je me tiens à l’écart de mes semblables, qui veulent réparer les injustices […] par d’autres injustices. Elles perpétuent ainsi le cycle infernal. Mais moi, […] j’ai juste l’intuition qu’il nous faut emprunter la voie de la douceur […].