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Citations de Victoria Dahl (55)


Elle n' aurait jamais pris l' initiative d' embrasser Somerhart. Pourtant, elle avait, en quelque sorte, attendu ce baiser.
Comment se faisait-il qu' un duc aussi flegmatique et guindé embrasse si bien? Comment s'y prenait-il pour lui insuffler tant de tendresse? Ses baisers avaient un goût de paradis dont elle ne se lassait pas_ et qui aurait résisté à la tentation d'entrer au paradis ?La jeune femme céda donc au plaisir brûlant de leurs langues emmêlées. Le duc lui prit les épaules et la considéra gravement.
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D’après ses informations, tous les hommes se masturbaient en pensant à la femme qu’ils venaient de rencontrer.
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L’anticipation, c’est la moitié du plaisir !
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L’idée, dans ce genre d’échange verbal, c’est de stimuler les deux amants, pas de satisfaire un fantasme solitaire. Tu dis ce que tu veux, le mec te le dit aussi, et tout le monde est content !
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Le paradis sur terre.
Il mourait d’envie de la pénétrer. Tout de suite. Il le fallait. Toutefois, il s’était promis d’y aller doucement. Elle méritait bien ça. A défaut de lui proposer une relation durable, il pouvait au moins faire en sorte qu’elle prenne son plaisir, elle aussi. Il ferait donc de son mieux, même s’il rêvait de la prendre sur-le-champ.
Et puis il fallait bien avouer que c’était un véritable plaisir que d’entendre ses gémissements, de la taquiner, tandis qu’elle l’attirait plus près de lui.
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Pour la plupart, il s’agissait de romans policiers ou d’espionnage, de biographies et, de temps à autre, d’ouvrages un peu plus surprenants, comme des histoires de vampires ou des romans historiques. Elle ne vit aucun livre de science-fiction, en revanche. Tant pis. Peut-être serait-il inspiré par la série qu’ils s’apprêtaient à regarder.
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l y a eu des moments où les temps étaient durs, si tu vois ce que je veux dire. Et d’autres où on échouait dans des quartiers franchement défavorisés. Cela dit, on apprend vite à se faire des amis et à se sentir chez soi n’importe où. Et puis, ma mère est vraiment super. Elle a travaillé avec acharnement pour améliorer notre quotidien, je peux te le dire.
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La seule chose qui l’intéressait, en cet instant, était son apparence. Elle battit des cils pour voir l’effet produit, puis compara les cheveux de Grace — savamment décoiffés et, depuis peu, ornés de mèches rouge vif — aux siens… qui étaient ternes, eux aussi. D’un châtain passe-partout et portant encore la marque de l’élastique avec lesquels elle les avait noués en queue-de-cheval, ce matin.
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Elle était d’un naturel joyeux. Et optimiste, puisqu’elle avait longtemps pensé qu’un jour ou l’autre, elle trouverait le bonheur. Le travail qui la passionnerait vraiment. L’amour qui la ferait passer de sa solitude de célibataire à l’état de femme comblée.
Sauf que rien de tout cela ne s’était produit. Concluant que ce genre de choses n’arrivait jamais dans la vraie vie, elle s’était alors résignée à ce que son optimisme forcené ne lui apporte, au final, que quelques années supplémentaires d’errance. Elle avait donc continué à vivre dans l’insouciance la plus totale, à se laisser ballotter par les éléments et à butiner, quitte à se perdre.
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Elle n’avait besoin ni d’un lit double ni d’une pièce équipée d’une porte. Les hommes ne se battaient pas pour la séduire et elle avait cessé de se caresser depuis plus de six mois. Son imagination l’avait désertée, vaincue elle aussi par ce désert affectif sans fin. Aussi, abandonnant la partie, s’était-elle résignée à meubler sa solitude en faisant des mots croisés sur son téléphone portable.
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Yorkshire, juin 1844
Lady Alexandra Huntington examina la facture posée devant elle en plissant les yeux et laissa échapper le juron le plus ordurier de sa connaissance.
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- Il n'y a rien de mal à peloter un peu, ma fille. Mais vous devriez être plus discrète. Les filles étaient plus malignes , à mon époque. Je commençais à croire que votre intelligence était aussi faiblarde que votre vertu.
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- Comme vous l'avez déclaré un jour, la frontière entre la décence et l'indécence est floue.
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- C'est trop tard, quoi qu'il en soit. Je suis vôtre, désormais.
"Je suis vôtre." Quelle jolie déclaration. Tout le contraire de ce que Peter White lui avait dit. "Vous êtes mienne désormais", avait-il exulté, comme si elle était quelque chose qu'il avait acheté. C'était la différence, semblait-il, entre un garçon et un homme. Exactement comme Jude l'avait affirmé.
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Jude n'était pas parmi eux. Marissa tendit le cou, mais ne l'aperçut pas non plus dans le couloir. Elle n'avait pas la moindre idée de la raison pour laquelle elle le cherchait. Il était assis en face d'elle pendant le dîner et elle avait donc pu l'observer à loisir. Cependant, il leur avait été impossible de parler, et Marissa s'était surprise à se demander ce qu'il avait dit à la dame placée à sa droite pour la faire rire de si bon coeur. Et pourquoi la femme sur sa gauche l'avait-elle dévisagé avec des yeux si brillants, et lui avait-elle si souvent touché le bras pour attirer son attention?
Cela n'avait pas de sens. Il n'était ni beau ni élégant. De surcroits, il n'avait pas de titre. Mais elle reconnaissait qu'il était intéressant. Fascinant, même.
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A la vérité, Marissa avait attiré l'attention de Jude dès la première fois qu'il l'avait aperçue. Ses yeux vert brillaient d'une lueur indéfinissable. On n'y lisait pas de la joie, mais... une volonté de transgression. Il s'était toujours étonné d'être entouré de gens qui paraissaient la considérer comme le dernier bastion de calme et de bienséance de la famille York. Il est vrai qu'elle était grande, gracieuse et ravissante, mais n'y avait-il personne d'autre que lui qui perçoive le mouvement de ses sourcils quand elle entendait un jeu de mots grivois? personne qui ne remarque la façon dont elle examinait le corps des hommes quand elle les regardait danser?
Cette fille aimait le vin, la danse et les jolis garçons. Elle montait son cheval avec une fougue débordante et, dès qu'elle le pouvait, elle se débarrassait de ses souliers pour fouler la terre de ses pieds nus. Son côté indomptable était à peine dissimulé, et Jude le devinait chaque fois qu'il s'approchait d'un peu trop près.
Mais parce que Marissa York marchait d'un air hautain, le menton bien haut, elle était considérée comme une jeune fille convenable.
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Marissa jeta un coup d' oeil autour d'elle, à la recherche d'une chaise sur laquelle s'évanouir à son tour.
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L'imbécile obstiné parut enfin se rendre compte que sa performance n'avait pas rendu Marissa débordante de gratitude.
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Peut-être était-ce la raison pour laquelle on imposait aux jeunes filles de rester pures jusqu'au mariage. Quelque fâcheux que soit le rapport, il n'y avait alors plus de retour possible.
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Il lui avait demandé si elle l'aimait. Bien sûr que oui, et comme au premier jour. Elle aimait ses cheveux, son sourire, son rire, la façon dont son visage s'illuminait dés qu'on lui adressait la parle. Ses yeux noisette incroyablement chaleureux. Les petites attentions qu'il prodiguait sans même sans rende compte.
C'était plus profond, désormais. Elle aimait aussi ses mains puissantes, sa bouche brûlante. Les poils bouclés sur sa large poitrine. Et toutes ces choses indécentes qu'il lui faisait, de jour comme de nuit.
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