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Citations de Wendy Thévin (47)


…Elle n’est pas n’importe qui…
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…Elle me désarçonne. Elle me fait me sentir vivant, bien plus vivant que je ne l’étais avant d’être mort. Comment est-ce possible?
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Suis-je condamné à ça ? Devoir me satisfaire du peu que j'ai à défaut d'avoir celle que je veux ? Je n'ai qu'une vie, dois-je la passer à ressasser ce que j'ai perdu ?
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J’attrape son visage, soude mes lèvres aux siennes. Je sens sa bouche me quitter et descendre plus bas sur mon corps, il empoigne fermement un de mes seins, le gobe, le suce avidement comme s’il s’attendait à en voir sortir du lait. Il me torture plus qu’il ne me fait éprouver du plaisir. Pour le détourner de sa tâche, je glisse une main entre nous, empoigne fermement son membre durci de désir et commence à effectuer des mouvements de va-et-vient. Quand j’entends son souffle s’accélérer, que je sens ses mains s’impatienter sur mon corps, sur mes seins, j’attrape une capote de la boîte le tiroir de ma table de chevet et en couvre son sexe tendu à l’extrême.
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J'ai envie de le sentir en moi, de lui offrir mon corps mais également mon âme. Mon cœur, cela fait des années que je lui ai déjà mis à ses pieds.
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Je t'aurai Ju' et quand je te posséderai, je ne te lâcherai pas.
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Je perds l'équilibre, me retrouve sur ses genoux. Sa main libre glisse sur mon visage alors que son regard s'arrime au mien.
Une tempête fait rage au plus profond de moi. J'ai l'impression de mener un véritable combat contre moi-même, contre mes désirs, mes pulsions.
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je l’ai aimé d’un amour inconditionnel. Il n’était même pas encore là que j’aurais donné ma vie pour lui. Alors peu importe qu’une fausse couche arrive à quelques semaines ou à quelques mois, la douleur reste la même car l’amour et l’espoir qui naissent en nous à ce moment-là n’ont pas d’âge et ne se comptent pas en semaines ou en mois.
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— Et toi, pourquoi enchaînes-tu les filles ? Je prends une longue inspiration, fixe un point invisible devant moi.
— J’ai vu à quel point l’amour peut détruire un homme, je ne suis pas prêt à vivre ça. Aimer, c’est devenir faible. Offrir à l’autre tout ce qu’on possède, son corps, son amour mais aussi son âme.
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Mon fils, c’est toute ma vie. Je suis loin d’être une mère parfaite, mais existe-t-elle ? J’ose croire que tout comme le prince charmant, cette dernière n’est qu’une illusion qu’on nous force à avaler pour suivre un standard qui n’est le quotidien d’aucune mère. Personnellement, je fais de mon mieux et je tente d’espérer que c’est suffisant.
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Une fois que je l’aurai faite mienne, je n’aurai plus qu’à la détruire.
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Depuis ce jour, c’est le calme plat et comme dirait Iris, mon vagin est aussi sec que le désert de Gobi et ma grotte est digne d’une expédition pour Indiana Jones.
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Peu importe les formes qu’elle possède, j’aime tout d’elle. Le physique d’une personne est important au premier abord mais ce qui crée de véritables liens entre deux êtres, ce sont les facettes de l’âme.
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— Si tu veux un conseil Émy, garde tes distances avec lui.
J’opine. Pas certaine de vouloir écouter son avertissement. Je pourrais me brûler les ailes à vouloir voler trop près de ce soleil mais c’est si bon de voler…
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— Ouais sauf que vous êtes toutes en capacité de tenir une queue entre vos mains. Moi à part éplucher les concombres et les courgettes de ma grand-mère, je ne vois pas l’ombre d’une forme cylindrique.
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Elle a des formes prononcées, une poitrine généreuse et des hanches bonnes à cramponner comme qui dirait ma grand-mère Martha. Pour autant – toujours selon ma grand-mère – les hommes sont comme des chiens, ils préfèrent de la bonne viande à mâcher qu’un os à ronger. Ce que j’en dis, moi, c’est qu’il est toujours préférable d’avoir quelque chose à palper plutôt que de caresser une planche à repasser.
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— Parfait, j’ai une autre règle à ajouter qui n’a rien à voir avec nos séances d’études.

— Je t’écoute.

— Tu ne me feras faire aucun sport, on peut aller sur le terrain, mais ne compte pas sur moi pour courir ou quoi que ce soit.

— Dommage, il y a des sports pour lesquels on peut prendre beaucoup de plaisir, me dit-il d’une voix suave.
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— Donc, tu devras toujours écouter et faire tout ce que je dis et sans protester, énonce-t-il en se tournant vers moi et en surprenant mon regard.

Mes joues s’empourprent aussitôt si j’en crois la chaleur vive qui me prend tout à coup. Je baisse les yeux, reporte mon attention sur mes notes et griffonne ce qu’il vient de dire.

— Qu’est-ce que tu entends au juste par « tout » ?

Nico étouffe un rire et lorsque nos regards se croisent, il redevient brusquement sérieux.

— Pour nos révisions.

Bah oui bien sûr… Nico ne va pas t’attacher, te fouetter et te demander de l’appeler « Monsieur ».
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Mon corps appelle le tien dans l’unique but de pouvoir sentir tes mains se poser sur ma peau, je frisonne de désir et j’anticipe chacun de tes mouvements dans l’espoir de pouvoir en être l’objet .
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— Tu veux que je te dise pourquoi je m'évertue à te rejeter ?
J'opine, il continue.
— Tout simplement parce que plus rien rien n'a d'importance lorsque tu es près de moi.
Ma poitrine se soulève et s'abaisse au diapason de la tension qui m'anime à cet instant. Je ressens exactement la même chose quand je suis en sa présence.
— Les sensations que tu fais naitre en moi sont terribles, parce que ça fait des décennies que je n'avais rien éprouvé. Ni souffrance ni joie. Tu es à toi seule ma punition dont le plaisir que je tire serait à la fois mon châtiment et ma délivrance. Je suis mort depuis de nombreuses années,
Maliya, et pourtant, depuis que tu es là, j'ai limpression de me sentir de nouveau vivant
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