Citations de William Vance (67)
Quand on vous pendra, et que vous gigoterez au bout d'une corde, je serai au premier rang !
Fichu métier ! Ces maudits chevaux ont toujours soit ou faim !
Demi-tour, les gars ! Et foncez si vous tenez à vos scalps !!
Depuis la dictature de Sylla, en 82 avant J.C, démocrates et conservateurs se disputaient âprement le pouvoir en de sanglants conflits ...
("le dernier des romains - tu dors, Brutus" texte Yves Duval et dessin William Vance)
Une tentative d'évasion vous couterait la vie.
Le groupe de choc qu'il commande maintenant doit accomplir la mission que lui a confiée Alphonse VII.
Il s'agit de sauver à tout prix l'honneur de la Castille !
[Sophia Paramount] En bonne anglaise, j'aime la pluie.
- ça me rappelle le combat de Don Quichotte contre les outres à vin.
- Tu ne penses qu'à boire. Il n'y a pas de vin dans ces outres-ci...
[Monsieur Ming] Ce que j’aime avec vous, Commandant Morane, c’est que la lutte n’est jamais inégale.
- L’avion est détourné ! Restez tous tranquilles ! Il ne vous arrivera rien !
[Bill Ballantine] Et allez ! La corrida recommence ! On leur fait le coup de ta-tête-ne-me-revient-pas-c’est-pour-ça-que-j’te-mets-les doigts-dans-l’nez ?
[Bob Morane] Pas question. S’il n’y avait que nous, passe encore, mais il y a les autres passagers. Et puis, on est en vacances.
[Bill Ballantine] En vacances ! Tu parles de vacances ! Je me demande où on va se retrouver cette fois.
[Bob Morane] A Cuba sans doute. C’est la tradition par ici… Cuba ? Après tout, pourquoi pas ? Il y a bien longtemps que je n’ai pas revu ce vieux Fidel !
Au XIVe siècle, on ne s’amusait pas tous les jours.
Au pays des illusions, la vie est belle !
- Un armée de fantômes, d’épouvantails à moineaux ! Et c’est avec ça que vous comptez conquérir le monde ?
- Je doterai tous ces hommes d’armes terrifiantes. L’Histoire se souviendra de moi comme du Fléau du Dieu.
- Le Fléau de Dieu ? Tiens, tiens, j’ai déjà entendu cela quelque part. Et vous, commandant ?
- Après Alexandre, César, Napoléon, Hitler, voilà aussi qu’il se prend pour Attila.
- Vous savez, Bill, qu’on a de l’excellent whisky au XXVIe siècle.
- Pas du Zat 77 quand même. Votre whisky doit être un dérivé quelconque du pétrole, du synthétique quoi.
- Pas du synthétique, au contraire ! Du vrai Zat 77, ramené du XVIIe siècle par nos bootleggers spatio-temporels. Ça vous dit quelque chose ?
- Si ça me dit quelque chose. Du Zat 77 mis en tonneau au XVIIe siècle vous vous rendez-compte. N’importe quel moutard de chez nous ne rêve que de ça…
[Monsieur Ming] A la guerre comme à la guerre.
[Bill Ballantine] Ouf ! Il était temps que je reprenne mon état normal. Mon cœur commençait à battre la chamade. Comme si j’avais pris une sérieuse cuite. A croire qu’on t’a plongé dans un tonneau de whisky à ta naissance.
[Bob Morane] C’est l’effet de l’état de vibration prolongé, tu le sais. Quant à la cuite, j’en doute. Tu n’as jamais été saoul de ta vie.
La Patrouille du Temps (Time’s Patrol) est une organisation du futur, chargée de surveiller le cours des événements dans le passé et l’avenir. Comme ses règlements lui interdisent d’intervenir directement, elle emploie des agents extraordinaires appartenant à des époques différentes de la sienne. Occasionnellement, Bob Morane et Bill Ballantine collaborent avec elle.
- Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Est-ce que Bertrand aurait perdu la boule ? C’est éclairé comme s’il avait signé un accord secret avec l’EDF…
- Voyez, la grille n’est pas fermée !
- Ça ne ressemble pas du tout à Bertrand… De plus en plus bizarre…
- Pourquoi trouvez-vous cela si bizarre ?
- Qui te dit que je trouve cela bizarre ?
- Vous avez dit « de plus en plus bizarre ».
- Moi, j’ai dit « bizarre » ?... Tiens, comme c’est bizarre !
[Bob Morane] Ce que j’ai toujours détesté chez toi, Bill, c’est ton pessimisme. Tu pousserais au désespoir une bouteille de Beaujolais.
Le gourmand creuse sa tombe avec les dents.