AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Yumi Unita (121)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Une drôle de famille, tome 1

Des tranches de vie quotidienne d'une mère au foyer, d'une famille.

Rien de transcendant...
Commenter  J’apprécie          00
Un drôle de père, tome 1

Cette série n'est pas toute récente, et après avoir lu Père & Fils de Mi Tagawa (que j'ai adoré), j'avais peur d'être un peu déçue, et aussi d'avoir une impression de déjà vu.



Même si effectivement, cela m'a rappelé un peu Père & Fils, ce n'était pas le même esprit, pas la même époque, bref, quelques similitudes sur l'idée, mais assez différents pour que j'accroche bien à ce livre et que je ne vois pas passer les 200 pages.



C'est sympa, les personnages principaux sont vite attachants, et on a envie de voir comment Daikichi va s'en sortir. Pas trop mal pour le moment !

Le dessin est lui aussi plutôt réussi, en particulier dans les expressions des visages selon leurs sentiments.



Alors, le passage au travail de Daikichi suite à sa demande de changement m'a semblé un tantinet trop long, mais c'est surtout que c'est une situation assez typique du Japon : les collègues qui le font culpabiliser de partir car cela va nuire à la société, et lui qui s'excuse...



Bref, j'ai vraiment envie de découvrir la suite.
Commenter  J’apprécie          30
Une drôle de famille, tome 2

Deux tomes qui ne payent pas de mine mais dont la simplicité du propos permet de développer une justesse et une tendresse qui fait mouche. Et l’ensemble rappellera sans aucun doute beaucoup de choses, qu’on soit parent ou non.
Lien : https://www.actuabd.com/Une-..
Commenter  J’apprécie          00
Une drôle de famille, tome 1

J'ai rapidement reconnu les traits de l'auteure ! D'autant plus quand le nom de la série se rapproche de sa précédente ! Par contre, le style et l'implication sont vraiment différents du Drôle de père. Ici, c'est sans vrai fil conducteur : nous suivons la vie mouvementée d'une famille énergique composée de 2 parents et de leurs 2 enfants. Clairement, cette drôle de famille nous fait sourire par ses tranches de vie. La tendresse et l'amour des parents pour leurs enfants se ressentent fortement, c'est adorable mais est-ce suffisant ? J'ai lu que ce serait une courte série, je ne me retiendrais pas pour lire le suivant. L'épaisseur du tome est important, c'est étonnant.
Commenter  J’apprécie          40
Un drôle de père, tome 2

Ce qu'ils sont mignons, Daikichi et Rin ! J'ai adoré cette scène où Daikichi essaie de faire des couettes à Rin : c'est plutôt raté mais elle est tellement heureuse que c'en est chou. On a pas mal de petites scènes comme ça, c'est adorable !

L'environnement de Daikichi s'est élargi depuis que Rin est là, il fait la rencontre de nouvelles personnes, de nouveaux collègues, son mode de vie est différent (et surtout plus sain, Rin n'aimant pas le désordre) ... Malgré cela, il cherche à entrer en contact avec la mère de Rin pour peut-être tenter de les réunir, même si Rin n'en a pas spécialement envie. Pour lui cette situation n'était censé être que temporaire. Seulement, voilà, il retrouve la mère de Rin, et cette dernière n'est pas telle qui se l'était imaginé...

On se pose encore pas mal de questions sur les parents de Rin, ça nous donne envie d'en savoir plus.
Commenter  J’apprécie          20
Un drôle de père, tome 1

C'est un manga très touchant, on se prend d'affection pour ce drôle de duo formé par Rin et Daikichi.

Lors de l'enterrement de son grand-père, Daikichi apprend que ce dernier a eu une fille de 6 ans, ce qui choque toute la famille (et bien sur, la mère est introuvable - on ne sait même pas qui elle est). Tant et si bien que ces derniers refusent de s'occuper de la petite, cherchant des excuses ou des motifs peu convaincant. Ce qui énerve Daikichi, qui se met à la place de la petite Rin - qui entend tout : ni une, ni deux, il décide de la prendre en charge. C'est ainsi que va débuter l'histoire de ce "drôle de père"; qui va apprendre que ce n'est pas aussi facile que ça de s'occuper d'un enfant...



J'ai adoré les deux premiers tomes que j'ai lu, l'auteure reste réaliste dans ce qu'elle nous dépeint, la vie de père célibataire n'est pas de tout repos et Daikichi va devoir faire des concessions. Il n'hésite pas à changer de service dans sa boite (il avait une très bonne place) pour faire moins d'heures supplémentaires, il se soucie de l'éducation de Rin et son bien-être (au lieu de s'énerver quand elle fait pipi au lit, il essaie de comprendre pourquoi, etc.). Et Rin est plus ouverte qu'au début, elle sourit plus facilement et s'est rapidement attachée à Daikichi (celui-ci ressemblerait énormément à son grand-père - au père de Rin donc). C'est très touchant de voir cette relation de confiance s'instaurer entre ces deux-là,

Ça m'a rappelé un peu la relation de Kazuma et Kyô dans Fruits Basket : personne ne veut prendre Kyô en charge à la mort de sa mère, sauf Kazuma, qui ne veut pas que cet enfant souffre de l'isolement. Ici, c'est un peu ça, mais en plus détaillé.



J'ai hâte de lire la suite !
Commenter  J’apprécie          30
Une drôle de famille, tome 1

Yumi UNITA est connue des lecteurs pour son manga en 10 tomes Un drôle de père publié en France en 2008. Mais deux auparavant, elle sortait au Japon Une drôle de famille. Ce seinen tranche de vie suit le quotidien de la famille Honda. Tarô et Ciharu sont les parents de Yuki (4 ans) et Kotarô. La construction se fait autour d’histoire courtes avec humour et train-train du quotidien d’une famille de 4. Malgré un coup de cœur pour le tome 1 d’Un drôle de père [mon avis ici] je n’ai pas pourvui ma lecture. Le facteur »manque de temps » est rentré en compte mais aussi l’écho mitigé et perplexe concernant le dernier tome. Je lirais la série en entier un jour, mais pas pour le moment. Ce premier tome d’Une drôle de famille regroupe les deux premiers tomes japonais en un, ce qui fait que le second sera le dernier en VF. Une idée de la part de Delcourt-Tonkam que je trouve judicieuse. Mais revenons en à la famille Honda. Cette lecture colle à la vision du couple japonais, la mère au foyer et le père au travail. Notons que depuis les choses ont quelque peut évoluer au Japon. Ici, les situations de la vie quotidienne parleront certainement plus aux personnes ayant déjà des enfants, avec les problèmes de doudou, les enfants malades, les jeux entre enfants, etc. La narration est dynamique et le reste grâce au format des histoires. La présence des enfants apporte beaucoup d’humour surtout que la petite fille est plus âgée que son petit frère.



C’est elle qui m’a le plus parlé du fait qu’elle ne se laisse pas intimider et qu’elle n’hésite pas à préférer les Power Rangers. Le petit bémol que j’ai eu pendant ma lecture réside dans le fait que certaines relations semblent avoir déjà un passif, sans que le lecteur ne soit au courant. C’est minime, mais ça ralenti la cadence de lecture. Ici, la place de la femme en fera bondir plus d’un(e) puisqu’elle est femme au foyer. Toutefois, elle semble assez bien le vivre malgré les difficultés que ce métier (oui c’est un métier n’en déplace à certains) comporte. La famille vivant au Japon la mangaka nous donne quelques informations concernant les traditions dans le pays, etc. Les lecteurs d’Un drôle de père ne sont pas dépayser côté dessin puisque le trait est le même malgré les 4 années d’écart entre les deux séries. C’est fluide, expressif, avec des décors très simplistes mais qui font le travail. En conclusion, une lecture qui plaira aux lecteurs des mangas tranche de vie, mais pas que. Si vous avez aimé Un drôle de père vous retrouverez ici tous le charme du début de la série.
Lien : https://lireenbulles.wordpre..
Commenter  J’apprécie          20
Une drôle de famille, tome 1

L’auteure d’ Un Drôle de Père nous revient avec une malicieuse chronique familiale, en deux tomes, composée d’histoires indépendantes, type tranches de vie, qui nous plonge dans un quotidien étonnamment réaliste, sans fard, mais débordant de bonne humeur !
Lien : https://www.actuabd.com/Une-..
Commenter  J’apprécie          00
Une drôle de famille, tome 1



En bref, Une drôle de famille narre les aventures quotidienne de la famille Honda avec des histoires courtes, justes, drôles réalistes et concrètes. L'héroïne porte ses enfants et son mari sur ses épaules, au gré des aléas de la vie. Les illustrations sont superbes.
Lien : https://www.newkidsonthegeek..
Commenter  J’apprécie          10
Une drôle de famille, tome 1

Une drôle de famille nous offre le portrait d'un couple de jeunes japonais et de leurs deux enfants en bas-âge.

Ce premier volume est plutôt centré sur le ressenti et le quotidien de Chiharu, la maman de cette fratrie débordante d'énergie, entre épuisement et tendresse.



Un joli manga tout en simplicité et plein de douceur.
Commenter  J’apprécie          80
Un drôle de père, tome 10

Je l'ai acheté pour compléter la série surtout mais franchement les explications de l'auteur à la fin m'ont franchement agacé. J'ai l'impression de m'être fait totalement arnaquer et surtout je ne dois pas avoir la même conception des relations parents-enfants. Après si on occulte ça, les histoires sur Rin et Koki petits sont plutôt mignonnes. J'y ai retrouvé avec ce que j'avais aimé au début.
Commenter  J’apprécie          00
Un drôle de père, tome 9

Enorme déception que la fin de cette série. Malheureusement l'auteur a fait exactement ce que je cragnais et l'évolution des sentiments des personnages est non seulement désagréable, mais en plus pas crédible pour un sou. Quel dommage après de si bons débuts. Les derniers tomes me gâchent tout.
Commenter  J’apprécie          00
Un drôle de père, tome 8

Un tome qui me laisse dubitative. Je n'aime pas du tout la direction donnée aux sentiments de Rin. Autant, je peux comprendre qu'elle soit perdue et s'interroge mais que cela dure tout le volume et qu'elle semble persister dans son erreur, très peu pour moi. Espérons que l'auteur se rattrape vite.
Commenter  J’apprécie          00
Un drôle de père, tome 1

On rencontre rarement la femme de sa vie à l’enterrement de son grand-père. La femme ? pour Daikichi, trente ans, célibataire, il s'agirait plutôt de la « toute petite fille de sa vie ». En effet, lors des obsèques de Sochi Kaga, mort à soixante-dix neuf ans, sa famille éberluée apprend qu’il vivait avec Rin, sa fille, âgée de cinq ans. Que vont penser les voisins ? c’est le premier réflexe de la mère de Daikichi lorsqu’elle découvre l’existence de sa demi-sœur. Alors que la famille se déchire et que personne ne souhaite prendre en charge Rin, Daikichi – portrait craché de son grand-père – à la surprise générale, décide de repartir avec la fillette. Dans ses bagages, le carnet de santé de Rin qui comporte le nom de sa maman, et quelques vêtements. Et c’est le début d’une grande aventure pour Daikichi et Rin, qui doivent apprendre à se connaître, à cohabiter. La vie du trentenaire, célibataire, préoccupé principalement par son travail va basculer lorsqu’il doit apprendre à gérer la vie d’une petite fille : choisir la garderie la plus pratique, acheter toute une garde-robe pour Rin, aménager son appartement mais surtout aménager son emploi du temps ! Alors que la tâche ne s’annonce pas des plus faciles - Daikichi va devoir changer de travail et faire des choix, le jeune homme découvre qu'il pourra compter sur l’aide de collègues de travail, sur les conseils d'autres parents isolés, et surtout sur l’appui de sa mère, qui, un peu déroutée par l’arrivée de sa « demi-sœur », va être rapidement conquise par la petite fille.

J’ai pris beaucoup de plaisir à lire Un drôle de père, de Yumi Unita. J’ai trouvé que les thèmes principaux de ce manga joseil, l’amour familial, l’éducation avaient été particulièrement bien traités, avec beaucoup d'humanité et énormément d'humour. Les personnages principaux, les enfants, sont particulièrement bien dessinés - les rapports Daikichi/Rin bien mis en valeur.

J’ai beaucoup aimé découvrir la vie quotidienne d’un petit enfant et de ses parents au Japon à travers ce manga.



A noter, des « clés de compréhension », à la fin de l’ouvrage, permettent à tous ceux qui aiment le Japon et sa culture d’aller plus loin : elles expliquent certains mots de la vie courante, tels ayatori (jeu avec de petites ficelles), onigiri (boulettes de riz) ou mochi (préparation à base de riz) . Les façons de se comporter au Japon (comment on s’adresse à une personne, comment on vit en période de deuil, font l’objet d’explications détaillées.



J’ai hâte de retrouver très vite Daikichi et Rin… et de savoir comment va se passer la rentrée...

Commenter  J’apprécie          130
Un drôle de père, tome 1

Un drôle de père est de la mangaka Yumi Unita, japonaise née en 1972. Après ses études au lycée, elle entra à l’Université de Nagoya où elle fait des études de stylisme. Après avoir décroché son diplôme, elle travailla pendant quatre ans dans l’univers de la publicité. En 1998, elle se fait remarquer par Hakusensha, maison d’édition japonaise, qui publia sa première nouvelle intitulée Voice. À la suite de plusieurs publications d’histoires courtes, Unita décide de s’essayer dans les récits plus longs. En 2001, sort Sukima Suki, un one-shot sur fond de romance, en 2003, sort deux histoires Toribako House et Yonin Gurashi, respectivement deux et quatre tomes. À ce jour, sa série la plus longue est celle d’Un drôle de père, publié entre 2005 et 2011 qui donnera naissance à une série animée en 2001 ainsi qu’un film live-action la même année. Le titre est disponible en dix tomes aux éditions Delcourt depuis 2012. Actuellement, la jeune femme vit toujours à Mie avec son mari et ses enfants. 



Bien, maintenant que les présentations sont faites, parlons de l’histoire d’Un drôle de père, qui raconte comment Daikuchi, 30 ans, de retour à la maison de son grand-père pour ses funérailles, découvre que ce dernier a eu une petite fille de six ans, prénommée Rin. La petite, aussi innocente soit-elle, provoque un sentiment d’embarras au sein de la famille qui la rejette, puisqu’elle est la fille illégitime du pépé et de mère inconnue. Agacé par l’attitude de sa famille, Daikichi décide de prendre Rin sous son aile, et de s’en occuper. En prenant cette décision, précipitée, Daikichi n’imagine pas que son quotidien et son for intérieur vont être chamboulés.



Commençons par parler des personnages comme Daikichi, par exemple, qui est une célibataire trentenaire travaillant pour une grande boîte et qui a du mal à s’assumer lui-même. En ouvrant le bouquin je ne m’attendais à rien, ou à pas grand-chose. Le récit commence doucement, on découvre à travers Daikichi que sa famille n’est pas banale entre sa grande sœur qui hurle et la fille de cette dernière qui qui hurle encore plus il y a de quoi se demander si Daiki n’est pas le plus normal de tous.



Ce qui frappe en premier est la partie graphique qui est banale. Les traits sont simples, ronds par moments pour donner de la douceur aux personnages comme Rin et les autres enfants, et des traits plus carrés pour définir les adultes. Pourtant, au fur et à mesure de la lecture, la magie opère et on finit par se dire que cette histoire ne pourrait pas avoir de dessin plus complexe, car au final c’est un manga dont le graphisme et l’histoire sont mis en page pour son côté humain et réaliste des thèmes. Car des thèmes, il y en a. Entre celui de la mort d’un être cher et de son impact sur l'enfant en pleine construction, de celui du monde des parents, du divorce, du mariage, du travail, et de l’absence d’une mère dont on ne sait rien, c’est avant tout l’humanisme et les tracas de la vie quotidienne qui prédomine dans la série. Alors que cela pourrait paraître ennuyeux, on réalise que non, avoir un enfant que ce soit dès la naissance ou après adoption, rien n’est simple et rien ne sera plus jamais comme avant.



Le personnage de Rin, est une petite fille qui parait à première vue froide quand on la rencontre aux funérailles, voire renfermée. Puis, peu à peu on comprend la raison de son attitude, et on se dit que oui un enfant s’est sensible au monde qui l’entoure et que leur cerveau pense déjà à des choses compliquées. Par exemple, le sens de certains mots ou de certaines situations, la question de la mort de ceux qui régissent leur quotidien, et puis la leur aussi. En allant vivre avec Daiki, Rin s’ouvre peu à peu et n’hésite pas à plusieurs reprises à jouer le rôle d’adulte en prenant soin de son « père ».



Ce sont dans ces petites scènes du quotidien, les moments de complicités entre Rin et Daikichi, que l’on se laisse porter par l’émotion qui se dégage de l’histoire. Les mille questions que Daiki se pose chaque jour sur comment élever un enfant, mais aussi sur sa vision de sa propre vie, sont pertinentes et bien misent en avant. Au milieu du tome, on découvre d’autres personnages, secondaires ici, mais dont je ne vous en parlerai pas pour ne pas vous spoiler. Arriver à la fin de ce premier tome j’étais tellement ravie par cette histoire, pour ne pas dire en amour, que je me suis sentie frustrée de ne pas avoir la suite sous la main. Maintenant j'ai hâte que la bibliothèque ouvre mardi pour pouvoir me procurer la suite !



En conclusion, ce premier tome d’Un drôle de père est une véritable pépite, un gros coup de cœur pour ma part, qui devrait en intéresser plus d’un entre vous. En tout cas, j’espère que si vous avez la chance de tomber sur cette série que vous ne passerez pas à côté. C’est simple mais efficace, doux, réfléchi, éducatif, touchant, bref, je crois que la liste des adjectifs est trop longue tant j’ai adoré cette découverte. 
Lien : http://wp.me/p8tDdS-2ke
Commenter  J’apprécie          30
Un drôle de père, tome 7

Avec ce tome vient la question, enfin, des origines de Rin (je n'ai pas lu les quatre premiers tomes, désolée!). On y entrevoit son père, un vieil homme gâteux qui s'occupait d'elle



Cette mère d'ailleurs semble bien puérile et finalement, il n'y a que Rin et la mère de Koki qui s'en sortent avec maturité, dans cette série.

Ce tome est plus grave que les précédents et posent des questions sur la filiation et l'amour. Je l'ai trouvé bien plus intéressant que les trois précédents.
Commenter  J’apprécie          70
Un drôle de père, tome 6

Ce tome particulièrement est plutôt pour ado et tourne autour des difficultés de l'amour face à une rivale manipulatrice.

Ce que j'en retiens quand même, c'est finalement le peu de liberté qu'a Rin pour se promener le soir après l'école si elle n'est pas accompagnée d'un chaperon et tout dans cette série montre à quel point le Japon est encore une société très patriarcale et traditionnelle, malgré ce qu'on peut en voir dans les médias.

Du coup, je me demande quel accueil cette série peut avoir dans d'autres pays qui le sont moins...
Commenter  J’apprécie          80
Un drôle de père, tome 5

Ce n'est peut-être pas très judicieux de commencer la série par le tome 5 (il y en a 9), mais on me l'avait conseillé et je n'ai pas su attendre que les 4 premiers reviennent en rayon.



Daikichi, la quarantaine célibataire et un physique ingrat - il fait même franchement peur, non? - s'occupe de Rin, orpheline aujourd'hui adolescente, et qui n'est autre, en soi, que sa tante.

Sans avoir lu les tomes précédents, donc, on devine assez vite que cette paternité lui a donné une certaine stabilité et responsabilité qu'il n'aurait pas eu sinon, et il semble vraiment très bien veiller sur Rin, qu'il protège, conseille et console le cas échéant, tout en la soutenant, lui qui semble assez paumé dans sa propre vie.

Quant à Rin, elle se présente comme une jeune fille sérieuse, très sérieuse, douée en tout, jolie, admirée, et pourtant un peu fragile. C'est qu'apparemment elle a longtemps aimé et souffert d'aimer Koki, son ami d'enfance beaucoup moins discipliné qu'elle et qui est passé par une crise d'adolescence assez forte. Fils unique d'une mère divorcée, il a fait les quatre cents coups et s'assagit maintenant (du coup, j'ai vraiment envie de lire les tomes précédents pour en savoir plus).



Tous ces personnages sont franchement attachants et présentent une forme de mélancolie ou de solitude qui donne une profondeur à ce manga qui aurait pu beaucoup plus jouer sur l'humour de situation et la caricature. ce n'est pas le cas.



Ce n'est pas le coup de coeur -trop vieille pour ça peut-être? - mais j'aime suffisamment pour continuer avec les tomes suivants. Bien sûr, quand les précédents seront dispos, je m'y mettrai!

Commenter  J’apprécie          100
Un drôle de père, tome 1

C'est un beau moment de lecture qui permet aussi de comprendre un peu les mœurs japonaises en matière de travail, d'éducation. J'attends la suite.
Commenter  J’apprécie          00
Un drôle de père, tome 9

Ce neuvième tome m'a fait regretté d'avoir lu cette série. Je reste sur un sentiment très négatif. Tout au long de la série, j'ai assisté à une belle relation humaine. Les personnages étaient sains et équilibrés. Le dernier tome salit tout. Je ne comprends pas comment l'auteur a pu conclure de la sorte.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Yumi Unita (271)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz Gardiens des cités perdues 2

Quel animal Sophie cherchait-elle quand elle a trouvé l'alicorne ?

Un gorgonop
Un sasquash
Un kelpie
Un apirodon

10 questions
34 lecteurs ont répondu
Thème : Gardiens des cités perdues, tome 2 : Exil de Shannon MessengerCréer un quiz sur cet auteur

{* *}