Citations de Yûsuke Kishi (110)
Une vie n’appartient pas à une seule personne ! Lorsque quelqu’un décide de s’ôter la vie, c’est tout son entourage qui souffre profondément… Se suicider, c’est voler la vie des autres.
la violence ne résout jamais rien
utiliser la violence pour se faire entendre est un comportement inacceptable.
Les femmes du bureau faisaient parfaitement leur travail et les tâches qui leur incombaient mais préféraient éviter les responsabilités. On leur avait enseigné de toujours se référer à des employés plus compétents. En conséquence, le poids sur les épaules de Wakatsuki et de Kasai se trouvait démultiplié. Ce qui se ressentait dans leurs émoluments, incomparablement plus généreux que ceux de leurs collègues féminines.
Lombroso croyait que l'humanité évoluait vers une société sans crime, c'était un idéaliste. C'est pourquoi il considérait les délinquants comme des ratés de l'évolution humaine. Alors qu'en réalité, les psychopathes représentent une nouvelle souche de l'humanité, qui s'adapte à nos nouvelles conditions de vie.
De nos jours, on considère les festivals comme des évènements joyeux, mais on oublie souvent qu'ils sont nés de la terreur de la maladie et de la mort.
Non, vraiment, le politiquement correct est la pire barbarie que l’on puisse infliger à la culture ! Ces prétendus termes discriminants ne le sont que pour certains qui se sentent concernés.
Il y a toujours un moment où l'élève [de sexe féminin], quelle qu'elle soit rend les armes et s'offre sans aucune résistance. Il faut pour cela lui faire passer des étapes de plaisir, de terreur et de souffrance. Hasumi ne comprenait pas pourquoi les professeurs du monde entier ne se penchaient pas plus sur la question.
Quatre-vingt-dix pour cent des tueurs avaient un modus operandi qu'ils répétaient, ce qui attirait fatalement l'attention des enquêteurs. Comme tout travail, le meurtre demandait de la passion, du soin, une capacité à toujours se remettre en question et à juger son oeuvre d'un oeil critique...
"Moi qui voulais les orienter vers la piste du pyromane récidiviste, voilà qu'une de mes chères élèves est dans la ligne de mire! J'étais vraiment furieux... j'ai assuré au proviseur adjoint qu'elle n'aurait jamais pu faire une chose pareille et que toute cette histoire était grotesque. Rina n'a évidemment pas pu faire le coup puisque celui qui a fait cramer Katsushi Kiyota, c'est moi!" # Hasumi
- Dites-moi, Watatsuki ... Qui, des loups ou des humains, vous semble les plus intelligents dans cette histoire ?
L'enfer est pavé de bonne intention. (page 148)
Le problème, c’est l’influence qu’ils exercent sur le reste de la société. Un seul individu psychopathe peut influencer mille personnes et démultiplier ainsi le nombre de méfaits. Il s’agit bien évidemment d’une mauvaise influence.
le nombre de psychopathes dans notre société ne fait qu’augmenter, et si l’on ne fait rien, avant peu ils la dirigeront.
Tu penses vraiment qu’il existe sur terre des personnes qui sont entièrement dépourvues de cœur ?
— Oui. Je pense qu’il en existe.
c’est curieux, l’humain… Les types se pointent, et après quelques échanges, ma foi… une sorte de lien se crée.
Où donc allait cette énergie vitale lorsqu’elle était évincée d’un corps qui perdait la vie ?
La société nippone dans son ensemble prenait désormais le chemin des Etats-Unis, qui faisaient face à une crise de la moralité effrayante. Les qualités de coeur étaient méprisées au profit de la glorification de l'argent. La pensée, l'imagination s'appauvrissaient. Les plus faibles étaient traités sans compassion.
[...] Si l’on est en présence d’un déficit d’émotions, et qu’on y ajoute un manque de maîtrise de soi et une personnalité colérique, nous avons de grandes chances d’avoir affaire à un sociopathe.
[...] Wakatsuki se demandait à chaque instant si l’homme n’allait pas éclater. Et cet homme s’était mutilé pour de l’argent… Il avait, très probablement, tué pour de l’argent.