Yusuke Osawa

Si vous connaissez déjà le pitch de la série The Mandalorian, je ne vais rien vous apprendre en vous présentant ce manga puisqu’il reprend scène par scène l’histoire qui est parfaitement respectée.



Je me suis renseignée parce que je vais pas vous mentir, moi j’ai pas encore pris le temps de mater la série !!!

On va donc suivre Din Djarin un chasseur de prime originaire de Mandalore qui va se voir confier une mission par un ancien officier de l’Empire.

Il lui demande de récupérer un colis âgé de 50 ans et de lui rapporter mort ou vif. S’il parvient à réussir sa mission il serait grassement payé et de son côté l’Empire pourrait peut être renaître de ses cendres…



On sent immédiatement que ce n’est pas le destin du monde et les enjeux politiques qui intéressent notre héros mais l’appât du gain. Il va donc accepter la mission sans savoir que la rencontre d’un petit bonhomme vert de 50 ans va changer sa vie !!!



J’ai beaucoup aimé ce premier tome que j’ai trouvé hyper dynamique et plus d’être vraiment sympa côté dessins. On est tout de suite dans l’ambiance et les scènes de combats sur claires et bien foutues, c'est plutôt important dans ce genre d’histoire. Pour ne rien gâcher, notre chasseur de prime préféré est un as de la gâchette, il est doué, débrouillard et intelligent, grâce à ça, on se rallie très rapidement à sa cause et on a envie qu’il réussisse ses missions.

Je ne vais pas vous cacher que pendant une bonne partie du tome, j’ai attendu le petit Grogu mais il n’arrive qu’à la fin du tome 😱 Voilà en tout cas une bonne façon de nous donner envie de lire la suite !!!


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Ran est un exterminateur. Un jour, alors qu'il est appelé par un chef de village pour se débarrasser d'un monstre, il croise la route de True, une ménestrelle.



Le guerrier accepte que la jeune fille le suive dans ses aventures.

Mais le danger est énorme car Ran chasse des Karmas, des créatures impitoyables nourries des mauvaises pensées humaines.

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La ballade de Ran est un seinen de dark Fantasy.

L'histoire s'accompagne de son lot de créatures à combattre, de violence et de scènes sanglantes.

Le tout est contre balancé par une pointe d'humour.

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C'est le genre d'univers pour lequel l'auteur aurait pu créer une série à rallonge. Mais la ballade de Ran est une histoire complète en seulement deux tomes.

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Si vous avez l'occasion lisez le manga. Il est plutôt pas mal pour les amateurs du genre et le dessin du mangaka est lui aussi plutôt sympa.
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J’avais beaucoup aimé le premier tome, ce fut un très belle découverte. J’avais un peu d’appréhension avec ce second tome. Puisqu’il s’agit d’une duologie, j’avais un peu peur que la fin soit baclé ou qu’elle ne soit pas à la hauteur de mes espérances. Et bien je dois dire que j’ai été ravie de ce dernier tome. Je trouve même qu’au final, deux tomes était largement suffisant. Ni trop ni trop peu. Juste ce qu’il faut. Et l’avantage au moins, c’est que ça ne traîne pas en longueur. On va droit au but et ça ça me plait.



On retrouve les différents personnages en plein carnage. En effet, Sagaris, désormais transformé en un démon assoiffé de vengeance se dirige vers Narvana. Mais il ne vient pas seul.. En effet, il embarque avec lui Taskan, un monstre qu’il a crée à partir de souillure… Ran va donc lui aussi vers la capitale pour y livrer le combat décisif. Le combat qui mettra faim à ce véritable carnage. Ran empoigne son épée et va tout faire pour briser les chaînes du destin!



Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce tome est haut en couleur. On a clairement pas le temps de tergiverser, place à l’action! Ce tome regorge de scène d’actions à tout va. Et quelles scènes! Franchement, elles sont tellement bien dessinés et elles sont d’une intensité absolument dingue! J’ai vraiment énormément aimé découvrir tous ces combats, c’était fascinant à voir. Et clairement, c’était tout ce que j’espérer. Ce second tome était vraiment parfait et conclut parfaitement cette duologie.



Ce fut une très belle surprise de découvrir ce manga. Je ne pensais pas qu’il me plairait autant mais comme quoi. C’était palpitant, c’était drôle avec des personnages vraiment intéressants à suivre. L’histoire est plutôt bien faite et ça fonctionne parfaitement bien. Je ne peux que clairement vous la conseiller. Si vous êtes fan d’héroic fantasy, franchement ce manga est fait pour vous!
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Je remercie les Éditions Doki doki pour l’envoi de cette lecture. Un manga que j’ai vraiment aimé, mais j’aurais apprécié en avoir un peu plus ! De l’humour et de l’action, voilà ce qu’est La ballade de Ran.



True est une ménestrelle qui est à la recherche de sujet pour ses chansons. Quand un jour, débarque dans la ville où elle se trouve, Ran, un exterminateur, elle y voit là sa chance. Ni une, ni deux, elle lui demande s’il est possible de l’accompagner dans ses aventures.



Contre toute attente, ce dernier accepte la proposition de True. Elle découvre ainsi comment l’exterminateur lutte contre les karmas. True fera tout pour écrire une ballade sur Ran digne de ce nom !



Ce qui m’a tout de suite surpris, c’est la présence d’humour dans ce titre. En voyant le titre et son résumé, je m’attendais à quelque chose d’un peu plus dur. L’histoire est plutôt sombre, mais la présence d’humours est justement un plus, car elle permet d’alléger l’histoire et de rendre le récit bien équilibré.



Ensuite, le personnage de Ran, parlons-en ! Il est classe et stylé. Dès la première scène de combat avec ce dernier mon cerveau a directement dit « wooooow ». Les scènes d’action sont spectaculaires et m’ont vraiment charmé. Ran est un personnage très émouvant. Dans cette petite saga courte en deux tomes, nous aurons le droit dans le second, à un petit flash back du passé dans les règles de l’art. Ce qui ne fera que renforcer notre attachement envers lui.



La fin est belle et émouvante. J’avais un peu peur qu’avec une saga en seulement deux tomes, cette dernière soit bâclée, d’avoir une impression qu’il en aurait fallu plus, mais au contraire, ces deux tomes étaient suffisants. Pour autant, j’aurais aimé que cette saga dure un peu plus longtemps, car l’univers m’a énormément plu. J’aurais apprécié continuer un petit bout de chemin avec Ran ! 😉



En bref, cette petite saga courte était un vrai plaisir. Le personnage principal est attachant. Les secondaires sont intéressants. Les scènes d’action sont de toute beauté. L’histoire est prenante et la fin bien menée. Un univers qui m’a beaucoup séduite !
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Akira est un lycéen qui projette de prendre le métro afin de rejoindre son amie d’enfance qui a déménagé et enfin lui déclarer ses sentiments… Malheureusement, en cours de route, le train est obligé de s’arrêter à cause d’un problème sur la ligne ; les passagers, impatients, décident de rallier la station suivante à pied mais dès leur arrivée, ils découvrent d’autres gens paralysés de terreur et incohérents ! Akira décide de monter à la surface pour voir ce qu’il s’y passe et là, surprise, la végétation a recouvert toute la zone ! Très vite, il se rend compte que les plantes sont mortelles pour tout autre être vivant, et il en va de même pour les insectes qui ont atteint une taille démentielle !

Les survivants se regroupent et s’organisent dans les souterrains, normalement protégés des monstres de la surface… Néanmoins, après quelques temps, le refuge où se trouve Akira n’est plus alimenté en vivres ! Accompagné de quelques camarades, ils se rendent au refuge qui les précède, lui aussi desservi… d’autres personne rejoignent le petit groupe pour aller voir ce qui se passe et débloquer la situation… Malheureusement, en chemin, ils doivent faire face à un mur qui, finalement, s’avère être un monstrueux néo-humain !..

(mon avis : )

Un manga qui me fait beaucoup trop penser à l’Attaque des Titans, malheureusement…(ça ne reste qu’une impression purement personnelle !)

Néanmoins, l’action est bien mise en place et laisse planer des zones d’ombres, même si le héros n’est pas forcément attachant… Nous avons également à faire à un nouveau genre de gore impliquant la faune et la flore et bien pensé afin d’être horrifique !



#Cat
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Extrait :

Nouvelle petite série Star Wars, que vous connaissez sans doute déjà avec sa série (sur Disney +). Pour ma part, je ne l’ai pas encore commencée, pourtant elle m’intéresse beaucoup, mais j’ai déjà plusieurs séries à finir avant… Pour résumer assez brièvement ce tome, il s’agit tout simplement de l’introduction à l’univers du Mandalorian, et surtout, sa rencontre avec l’enfant (bébé yoda). Une rencontre qui sera clé pour la suite de ses aventures.



La série commence sur une très courte introduction, avant de repartir un peu en arrière. On découvre un Mandalorian, parmi les derniers de sa planète (je ne sais pas si on peut parler d’espèce à proprement parlé). Issus de la planète Mandalore, les mandaloriens ont une histoire riche et dramatique. La série n’est pas leur première apparition à l’écran, puis qu’ils apparaissent aussi dans l’épisode II, l’attaque des clones. Leur planète a été rasée à sa surface de toute vie par l’empire, car certains mandaloriens avaient rejoint la résistance. Certains ont malgré tout survécus, même s’ils semblent être peu nombreux. Le plus connu est d’ailleurs Boba Fett, après notre protagoniste. Ils sont reconnaissables à leur tenue, car ils sont très fidèles à celle-ci, ainsi que par leur capacité au combat. L’histoire de Mando se situe sous la nouvelle république, soit après la chute de l’empire, qui continue de sévir malgré tout dans l’ombre, en espérant un retour en force un jour. Mando est un chasseur de prime, un métier très prisé sous l’empire tant il y avait de rebelles à chasser, mais désormais bien moins payer. Pourtant, il y a sans doute pleins de personnes fidèles à l’empire à retrouver, très étrange ?



J’ai dit que le tome commençait par une courte introduction, mais au final, le tome en entier en est un peu une. Puisque l’aventure s’arrête directement après la rencontre de Mando et l’enfant. Les choses sérieuses commenceront donc plutôt dans le prochain tome, même si on peut déjà voir le caractère de Mando ainsi que ses capacités en combat. Visiblement assez solitaire et discret, il ne laisse pas les siens pour autant. Par contre, je ne suis pas sûre qu’entuber les derniers membres de l’empire soit une idée de génie, surtout en ayant été payé à l’avance. Mais pour l’instant, on ne sait pas qu’elle sera sa décision quant à l’enfant (déjà, il ne souhaite pas sa mort). Peut-être qu’il fera semblant de leur amené pour au final les dénoncer ou les éliminer lui-même, qui sait ? Sa planète ayant aussi été pillée, notamment d’un métal rare et résistant, Mando et les siens ont tendance à accepter afin d’en récupérer. Celui-ci semble très précieux, peut-être culturellement, mais aussi pour ses propriétés. Désolé aux stormtrooper, mais depuis que j’ai vu incroyable talent, des stormtrooper en train de danser… j’ai un peu plus de mal à les prendre au sérieux.



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Série terminée en deux tomes, La Ballade de Ran nous raconte l’histoire du héros éponyme, exterminateur de Karmas. Considéré comme impur et traité en paria de par sa fonction, il se voit tout de même accompagné par True, ménestrelle voyageant à la recherche d’inspiration pour ses chansons.



Malheureusement, je ressors déçue de cette lecture. Les dessins sont en général très bien, voire même vraiment chouettes, mais inégaux et parfois brouillons. Je pense notamment aux scènes d’action que je n’ai pas toujours réussi à suivre. Quant à la plume (traduction ?), c’est vraiment pas terrible. C’est mou, plat, avec beaucoup de répétitions. En toute honnêteté, j’ai même failli abandonner après le tome 1, trouvant le tout très amateur. Le volume suivant était tout de même mieux, avec une scène forte sur la fin, mais cette série reste une déception.
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Série terminée en deux tomes, La Ballade de Ran nous raconte l’histoire du héros éponyme, exterminateur de Karmas. Considéré comme impur et traité en paria de par sa fonction, il se voit tout de même accompagné par True, ménestrelle voyageant à la recherche d’inspiration pour ses chansons.



Malheureusement, je ressors déçue de cette lecture. Les dessins sont en général très bien, voire même vraiment chouettes, mais inégaux et parfois brouillons. Je pense notamment aux scènes d’action que je n’ai pas toujours réussi à suivre. Quant à la plume (traduction ?), c’est vraiment pas terrible. C’est mou, plat, avec beaucoup de répétitions. En toute honnêteté, j’ai même failli abandonner après le tome 1, trouvant le tout très amateur. Le volume suivant était tout de même mieux, avec une scène forte sur la fin, mais cette série reste une déception.
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Même si le point de départ est académique, on se laisse tout de même très vite emporter par un récit efficace, porteur de valeurs comme le courage, l’abnégation et le dépassement de soi. Mais surtout, on est séduit par un graphisme somptueux, très détaillé, au service de scènes d’action dantesques.
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La ballade de Ran T.1 et T.2 est un seinen médiéval-fantastique en deux tomes sans grande surprise mais qui offre, dans un dernier souffle d’épopée, une conclusion à son intrigue. À noter que les deux tomes sont sortis en même temps.
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J’aime bien l’heroic fantasy, ce n’est pas ce que je préfère lire, je ne vais pas non plus me diriger vers ce genre de moi même. Sauf si vraiment le titre m’intrigue beaucoup, là je vais m’y pencher. Ce fut le cas pour La ballade de Ran. Bon je ne vous cache pas que j’avais un peu peur avant de me plonger dans ma lecture. Comme je le dis juste avant, j’aime bien ce genre mais je n’en lis pas beaucoup que ce soit en roman ou en manga d’ailleurs. Et bien tous mes doutes se sont dissipés au bout de quelques pages! Ce premier tome était vraiment hyper agréable à lire.



J’ai adoré ma lecture. J’avais un peu peur que ce soit un peu trop sérieux à mon goût et finalement pas du tout! L’histoire est super à suivre, les personnages sont vraiment drôles, surtout Ran en vérité. Un parfait mélange entre action, humour et épopée légendaire. Et ça marche vachement bien! Je regrette presque le fait que c’est une série en seulement deux tomes. Ce premier tome est vraiment une réussite pour moi j’ai plus qu’aimé.



On va suivre le personnage de True, une ménestrelle qui voyage à la recherche de sujets pour en faire des chansons. Elle débarque dans un village où elle fait la rencontre de Ran. Ce dernier fait parti des exterminateurs de Karmas. Ce sont des créatures monstrueuses qui se nourrissent du mauvais karma. De ce fait les exterminateurs sont considérés comme des êtres impurs et sont traités comme des parias.. En découvrant Ran se battre et côtoyer la mort de si près, True prend une grande décision: elle va écrire une ballade sur lui!



J’ai adoré le personnage de True, elle m’a fait beaucoup rire. Elle est très drôle mais elle est aussi très courageuse je trouve. Ran est clairement mon préféré. J’ai tellement ris avec lui, surtout quand il essaye de sourire. Si vous l’avez lu vous me comprenez haha. C’est surtout le fait qu’il soit drôle à son insu et ça c’est génial. Il est également très courageux. Vivre comme un paria comme ça juste parce qu’il est un exterminateur, ça doit vraiment être dur. Et puis combattre les Karmas mérite un courage exemplaire.. J’aime bien le duo qu’ils forment tous les deux. On sent l’amitié qu’ils se lient se former au fil de l’histoire.



Graphiquement parlant, ce manga est une vraie merveille. Les scènes de combat sont remarquables à regarder. J’en ai pris plein les yeux et c’était vraiment hyper agréable à lire. L’intrigue est super à suivre, le monde des Karmas est très intriguant mais surtout vachement bien fait. J’ai hâte de lire le second tome et surtout le dernier tome. J’espère que tout ne sera pas précipitée et que ça va nous offrir une belle fin!
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Récit complet en deux tomes : une petite "dark fantasy" sans grande surprise, mais à la lecture plaisante et aux graphismes sophistiqués, sans temps mort, avec une dose de drame, une autre d'espoir, et beaucoup d'action.
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Amateurs de combats spectaculaires et d’ambiance dans la veine de The Witcher, ne manquez pas La Ballade de Ran : une série en deux volumes qui régalera vos yeux !
Lien : https://www.manga-news.com/i..

Amateurs de combats spectaculaires et d’ambiance dans la veine de The Witcher, ne manquez pas La Ballade de Ran : une série en deux volumes qui régalera vos yeux !
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En deux tomes, cette Ballade de Ran suscitera un grand plaisir de lecture pour les fans du genre, sachez seulement qu'un côté comique classe ce diptyque dans un registre divertissement davantage que dans celui du frisson.
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La Ballade de Ran est la seconde création de Yusuke Osawa et propose une courte et sympathique histoire évidemment inspirée par le monument Berserk. Si le trait assez précis de l’auteur s’inscrit dans l’école Miura, le format (deux tomes avec une sacrée différence de pagination entre les deux volumes) et le ton adopté se rapprochent plutôt du Shonen, même si l’aspect monstrueux des démons cible un public plutôt adolescent. Le récit nous narre la chasse aux créatures démoniaques (les Karma) du meilleur des Exterminateurs. Résolument timide et inadapté socialement, il est suivi par une jeune menestrelle décidée à devenir célèbre en contant ses aventures. Au fil d’affrontements (qui rappellent par moment le joli Alpi de par l’absorption de la Souillure maléfique par l’exterminateur) grands format il va rencontrer différents guerriers qui montreront que l’union fait la force contre un mystérieux manipulateur de démons qui s’avère relié à Ran…



L’aspect Dark fantasy est assumé mais est plaisant en évitant les aspects les plus malsains du genre. Le design général est franchement réussi avec des monstres bien cracra et énormes qui procurent des combats épiques très lisibles. La personnalité du héros le laisse paradoxalement un peu en retrait et il faudra plutôt chercher la complexité dans le passé du personnage et sa relation au méchant. Dans un format court l’auteur parvient à développer un univers solide avec une galerie de personnage que l’on aurait plaisir à retrouver, bien que l’histoire se termine a priori définitivement. Manga bref à l’ambition modeste, La ballade de Ran permet à de jeunes lecteurs de se frotter sans mal à un genre particulier et assume une structure simple où l’aspect Geste chevaleresque et l’équilibre général permettent un agréable moment de lecture.



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Un nouveau survival, en milieu tout aussi urbain que végétal.
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