Zoë Beck

Le sujet de ce roman de Zoë Beck aurait pu être très intéressant... Malheureusement, on devine trop vite la fin de l'histoire... Il est également assez regrettable de constater que le mensonge sur internet est ici valorisé pour une action "solidaire"... Le livre n'est pas très long mais on se noie dans la vie (un peu "tirée par les cheveux") d'un collégien allemand, sans doute trop éloignée de ce que pourrait être la réalité.

Je suis donc assez déçu par cet ouvrage dont le sujet, le résumé et la couverture m'avaient de suite attiré en librairie.

Ce roman jeunesse je l’attendais avec beaucoup d’impatience. J’avais dévoré le précédent livre de cette maison d’édition avec avidité. Je parle bien sûr du livre : Le prof, moi et les autres. Un roman que j’ai adoré. J’ai commencé ma lecture de : Fake fake fake avec beaucoup d’enthousiasme. Mais en progressant dans celle-ci, mon enthousiasme a décru et j’ai terminé le livre avec un sentiment d’inachevé.



Edvard est un ado de 14 ans mal dans sa peau. Bon il y a de quoi. Quand on dépasse d’une bonne tête tous ses amis, qu’on chausse du 49 et qu’on n’a pas encore mué, autant vous dire que la vie semble bien pénible. Edvard n’est pas bien dans sa peau. Il est amoureux de la belle Constance mais ne sait pas comment l’aborder. Alors il décide de se créer une nouvelle identité. Un double de lui qui ne serait plus le jeune homme coincé mais un beau gosse américain qui a un charme fou. Edvard créé un profil Facebook et devient Jason. Grâce à Jason, il peut approcher la fille qu’il convoite. Ils échangent régulièrement et font la connaissance l’un de l’autre. Mais quand Edvard veut faire machine arrière, la chose n’est pas si aisée. Comment avouer la vérité à Cosntance ? (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/fake..

Edvard, 14 ans est un adolescent victime de discrimination a cause de son physique. Il est mal dans sa peau et rejeté par les autres. Trop grand, trop maigre, aucun muscle et une voix de fille, rien pour plaire a Constance qu'il aime secrètement. Elle, l'ignore totalement, ne s'intéresse pas a lui.

Alors pour lui parler, Edvard se crée un compte fake et se fait passer pour Jason. Jeune Américain, brillant en voyage scolaire, le garçon parfait au yeux de Constance.

Vont-il se rencontrer ? Edvard va t'il révéler l'identité de Jason ? Jusqu'ou vont mener tous ces mensonges? La belle Constance va t'elle découvrir la vérité ?

Rien n'est jamais perdu.



Ce livre m'a plu parce que plusieurs morales en ressortes. Il fais réfléchir. De plus il est facile a lire.

La suite de l'histoire est vraiment inattendue. Le livre étant présenter un peu comme un journal intime nous fais vivre en Edvard. On aperçois la maturité et le changement qui vient petit a petit chez Edvard. Une très belle histoire opposée au résumé en ressort.

J'ai trouvé ce livre plutôt bien, mais un peu décevant.

Ce livre parle d'un garçon qui s'appelle Edward qui est dans un collège en Allemagne. Il aime une fille se nommant Constance sauf que cette dernière ne s'intéresse pas du tout à Edward. Cependant il va créer un personnage qu'il va appeler Jason pour apprendre à connaître Constance et se rapprocher d'elle.

Mais entre temps il va se passer plein d'autres histoires avec son voisin et ses camarades de classe.

Je l'ai trouvé un peu décevant car le début était long à commencer et je m'attendais à plus d'action.

Mais il se laisse lire. Je le recommande aux adolescents.

Zoë Beck raconte l'histoire d'Edvard, un jeune collégien amoureux de Constance, la fille populaire de sa classe, et martyrisé par Henk, le gars à la mode.

Le jeune ado est terriblement gêné de ne pas avoir de poils sur le torse et sa vie tourne autour de faux profils Facebook qu'il a créés pour pouvoir entrer en contact avec Constance.

Heureusement qu'au détour d'une déjection canine, il fait la connaissance de M. Tannenbaum, vieux voisin astrophysicien qui va chambouler son existence de collégien et lui redonner l'appétence pour les sciences qu'il avait perdue en classe.

Ce dernier bouleverse considérablement sa vie intellectuelle en même temps que Kali, une fille pas comme les autres, le touche émotionnellement.



Un roman non dénué d'humour qui fait réfléchir sur les "Fakes" des réseaux sociaux, la "mode" végétarienne, le harcèlement au collège, etc.

J'ai lu ce livre sans déplaisir mais aussi sans réelle appétence.

Jeune ado allemand de 14 ans, Edvard a du mal à aborder l'adolescence, les transformation de son corps, d'autant que malgré sa très grande taille, sa voix n'a pas encore mué et qu'il doit subir le harcèlement d'un camarade de classe. Il est éperdument amoureuse d'une fille de sa classe qui bien-sûr l'ignore. Alors, il décide de devenir Jason sur Facebook. Il devient très populaire. Mais la machine va s'emballer et Edvard va avoir du mal à contrôler. Il est rare de trouver des auteurs jeunesse allemand dans nos librairies et j'ai trouvé ce livre intéressant par le fait qu'il nous fait découvrir une jeunesse autre que celle de notre pays ou américaine même si elles ont bien des points communs. Par ailleurs, les sujets abordés, les tourments de l'adolescence, les réseaux sociaux, le harcèlement scolaire..... sont intéressants. L'écriture sous forme de journal intime et l'humour du héros dans ses propos devrait plaire aux élèves.

J'étais bien tentée par ce roman vu qu'il parle des réseaux sociaux et que c'est un sujet d'actualité très important de nos jours. J'étais très intriguée par l'histoire et finalement, je suis assez mitigée par cette lecture.



Edvard a quatorze ans, il a un physique commun et il est attiré par Constance, qui elle, se fout complètement de lui, elle ne ne calcule même pas. De plus, il est le souffre-douleur de Henck, un garçon de sa classe. Pour attirer l'attention de Constance, Edvard a créé un faux profil Facebook, du coup, il se fait passer pour un étudiant américain auprès de Constance. Au fil de ses mensonges, Edvard va être pris dans son propre piège...



La première partie du roman est assez longue, la deuxième partie est un plus prenante et ça remonte le niveau du roman. D'ailleurs, Edvard évolue rapidement. Dans la première partie, il m'a fait lever les yeux en l'air pas mal de fois, on ne peut pas dire qu'on s'attache à lui, mais il est pris dans son action et il essaye de tout faire pour aider son ami. Au final, la partie de l'intrigue du réseau social n'est pas le sujet principal, c'est juste qu'une partie qui va permettre à Edvard d'évoluer.



Le fait que le livre soit sous forme de journal intime apporte un énorme plus. Du coup, c'est un livre qui se lit rapidement. La plume de l'auteure est simple et fluide. La fin apporte du baume au coeur, Edvard va ouvrir les yeux et ainsi sa vie va enfin commencer comme il le veut.



En conclusion, un roman assez mitigé. Il se lit rapidement, les pages se tournent seules. Certains sujets abordés sont intéressants mais le personnage principal n'est pas attachant et surtout on a envie de le secouer pendant une grande partie de l'histoire.
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Edvard est un adolescent complexé. En classe, il est souvent en butte aux moquerie de Henk. Il est amoureux de Constance qui l'ignore alors il a l'idée de créer un faux compte facebook sous la fausse identité d'un bel américain qu'il nomme Jason. Mais son stratagème fonctionne si bien que Constance semble vraiment s'attacher à ce personnage imaginaire. Il décide alors de le faire mourir ce qui est loin de mettre fin à l’intérêt de Constance pour l'ado américain.

Edvard se rapproche d'un de ses vieux voisins et découvre qu'il s'agit d'un scientifique qu'il adore. Mais le vieux monsieur va sans doute devoir déménager.



De premier abord, Edvard est tellement vrai en adolescent mal dans sa peau qui voit tout en noir et s'ennuie de tout qu'il m'a exaspéré. Ses histoires de chaussures qu'il ne peut plus porter si il a marché dans des excréments, de vacances qui ne lui plaisent pas... m'ont semblé très agaçantes.

Petit à petit, il montre des cotés plus positifs. Finalement au moment où une nouvelle fille arrivant en classe et dans son petit groupe d'amis et où il sympathise avec son voisin, il se sent plus à l'aise et je l'ai trouvé plus sympathique.

La quatrième de couverture laisse penser qu'il s'agit d'une histoire de personnage inventé sur facebook.

Il s'agit bien plus de l'histoire d'un adolescent, de la manière dont il évolue que de cette histoire de personnage imaginaire. Malgré tout, je me suis amusée de suivre l'ampleur que prend ce faux compte. Edvard sous des dessous "tout cela m'échappe" se sert plutôt bien des réseaux sociaux. Il sait partager des articles qu'il veut faire passer à tous pour retourner les élèves de son collège.

C'est d'ailleurs assez édifiant de voir les foules se lever pour quelqu'un qui n'existe pas et ignorer les gens juste à coté d'eux.

Il y a une sorte de retournement : Edvard est ignoré de Constance et moqué par Henk au début et peu à peu, les choses changent. Peut-être d'ailleurs parce que Edvard comprend qu'ils ne sont pas si importants.

Finalement, le roman m'a bien accroché. Edvard après m'avoir agacé, m'a plutôt touché. L'histoire du scientifique qui va perdre sa maison (c'est la maison de sa famille mais il l'a vendue, mais il l'habite mais elle n'est pas à lui, mais il devait y rester et puis finalement non, et puis peut-être que si...) est plutôt tourmentée avec un peu trop de rebondissements. Mais peu importe, c'est touchant et j'ai été bien accrochée quand même.

Il y a beaucoup de choses dans ce roman qui est pourtant assez court, de personnages secondaires (les parents, les amis, la fille qui arrive...) de choses dites sur les réseaux sociaux mais surtout sur l'adolescence, sur les projets de vie...








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Ce livre m'intrigait et je fus contente de pouvoir le lire, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il contient.



Edvard nous relate un épisode de sa vie sous forme d'un journal intime et çe n'est pas si mal que ça à découvrir.



Le langage est certe adolescent mais ce n'est pas génant car le style reste correct et se lit facilement.



A travers l'histoire d'Edvard et de ses déboires d'adolescent, l'auteure met en garde, sans moraliser et avec beaucoup de tact, contre les dangers d'internet et des réseaux sociaux. Pour ce point, la jeunesse actuelle, qui est très connectée, devrait lire ce petit roman; cette lecture peut remplacer n'importe quel discours d'adulte.



J'ai beaucoup apprécié le tournant que prend l'histoire, surtout le coté amitié et entraide. Le personnage d'Edvard est attachant et apporte une certaine fraicheur et de l'humour au récit.



La plume de l'auteure est très fluide et le livre se lit très rapidement. Au fil des pages, on continue car on veux savoir quelle tournure cela va prendre, bien qu'on le devine à un moment donné.



En bref, une belle histoire d'amitié et d'entraide, relatée sous la forme d'un journal intime tenu par un adolescent avec beaucoup d'humour et de simplicité, qui est aussi une mise en garde contre les dangers des réseaux sociaux.
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J'ai une question! Est-ce que la personne chargée de la quatrième de couverture à pris la peine de lire ce livre? Parce qu'on ne dirait pas. Ce résumé (ci-dessus) est complètement faussée et ça m'a réellement agacé... Je m'attendais vraiment à une histoire sur les dangers des réseaux sociaux et j'ai été vraiment déçu.

Les mensonges d'internet, l'écologie, le harcèlement, la solidarité, l'amour, l'amitié... Ce qui est sûr, c'est que ce bouquin ne manque pas de sujet. Ce qui est dommage, c'est qu'ils ne sont pas assez exploité.

Moi qui, en général, apprécie les histoires sous forme de journal intime, ici, ça ne l'a pas fait. Trop jeunesse pour moi, mais principalement parce qu'Edvard m'insupporte au plus haut point! Il est capricieux et j'ai eu envie de lui donner une bonne grosse gifle à chaque fois qu'il parlait de sa "merveilleuse" Constance - dont il est amoureux parce que, je cite, elle est "très joli", "très populaire" et "très bonne élève", où comment dire en sept mots : "Je suis superficielle". La seule chose qui sauve un peu ce personnage, c'est sa relation avec son voisin.

Le seul point positif que je trouve, c'est que la plupart des chapitres sont courts (parfois une ligne), alors j'ai pu m'en débarrasser très vite.

Je me rend bien compte que je ne suis pas très tendre et c'est la première fois de ma vie que je déconseille un roman, mais celui-ci m'a vraiment laissé un goût amer et je m'en vais de ce pas l'oublier.


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Quand on s'appelle Edvard, qu'on chausse du 49, qu'on a des parents décalés et un voisin bizarre dont le caniche mine le trottoir tous les jours, comment avoir une vie sentimentale épanouissante ??? Sans compter sur Henk, le caïd du collège, qui ne manque pas d'en rajouter une couche à la moindre occasion. Alors Edvard décide de créer un faux profil Facebook : désormais il s'appelle Jason, bel étudiant américain. Et quand Jason devient trop encombrant, pas de soucis il "décède" d'une tragique erreur médicale. Mais la machine s'emballe et Edvard se retrouve contraindre à mentir toujours plus pour ne pas décevoir la belle Constance, bien décidée à venger la mort du pauvre Jason...



Un nouveau livre sur les réseaux sociaux, fortement humoristique mais qui montre bien les dérives de ces relations virtuels. Rédigé sous forme de journal, c'est un roman facile à lire, léger, irréaliste mais ce n'est pas ce qu'on en attend. Collégiens et lycéens pourront y trouver leur bonheur.
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C’est un roman qui se lit très vite. Ecrit sous forme de journal (Edvard parle de blog) nous suivons presque jour après jour les péripéties de notre jeune héros. A première vue ce roman ne traite que de l’utilisation (malhonnête) de Facebook et des conséquences liées à un énorme mensonge. En réalité, il est principalement question d’amitié avec un vieux voisin contraint à l’expulsion et d’occupation de la maison en signe de rébellion. Ce roman est donc déroutant car il ne nous entraine pas là où on s’y attendait.
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C'est l'histoire de Edvard, un adolescent qui ne se sent pas bien dans sa peau et il voulait seduire Constance.

Fake : Edvard ne s’appelle pas Jason. Fake : il n’est pas américain mais bien allemand. Fake : il n’est pas populaire comme son alter ego, au contraire, Constance, celle qu’il convoite, fait comme s’il n’existe pas. En plus, les vacances avec ses parents ne se passent pas exactement comme il souhaitait…

Un roman jeunesse moderne, Facebook est au centre de cette histoire. Sauf qu’ici, ce réseau social est utilisé à des fins détournés, arriver à attirer l’attention de Constance sur lui. Vite lui, bien rigolé de cet adolescent maladroit qui enchaine les gaffes. Il a l’air bien fainéant mais il a tout de même bon fond. Par contre, cette histoire de nouvelles chaussures, ça m’étonne carrément ! Ca finit un peu vite, sans évolution de situation ou juste retour des choses mais peut-être il a peut-être un peu grandi dans sa tête. Sauf du côté de l’amour mais ça… ! Ca amène une suite mais serait-elle… ?

Un peu déçue par ce livre. L'histoire est bien écrite mais la fin choisie ne correspond pas à ce que j'en attendais . En voyant le titre Fake et le résumé, on s'attend à une chute un peu moins heureuse qu'une histoire où tout finit bien pour tout le monde et tout le monde est heureux. Non, la réalité est que des personnes essayent de se faire passer pour d'autres sur Internet et cela ne se finit jamais bien. J'aurais aimé que le livre soulève les problèmes éthiques et moraux d'un tel acte et surtout les dangers d'Internet. Un ado lisant ce livre ne comprend pas les enjeux et les impacts si il utilise lui-même une fausse identité sur le web. Dommage !

Quand j'ai lu le résumé j'étais plutôt attirée par l'histoire du mensonge et le petit (grand) jeune qui s'enlise dans son bobard... Mais j'ai toute de suite déchanté au bout de quelques pages!! L'histoire est pas trop mal en elle même mais le résumé ne décrit que le début du livre. Dommage!

Autant je n'ai aucun mal à me glisser dans la peau d'une adolescente pour quelques heures et au hasard de mes lectures, autant me glisser dans celle d'un ado "mâle" avec les hormones qui le travaillent , des pieds qui atteignent le 49 en pointure ) a été difficile...

[Surtout la pointure 49, ça , ça eu du mal à passer ! ]



Bref , Edvard (avec un V !) est un looser. Un pote et demi, un "copain" de classe qui le martyrise, une certaine Constance qui ignore même "l'ombre de son ombre"; franchement sa vie pourrait être plus funky .

Alors , il a une brillante idée : créer un faux profil facebook où il serait Jason ,américain et populaire ( parfait quoi...)

Mais l'histoire va légèrement lui échapper, car Constance a un peu trop adhéré au "projet Jason" .



Et à partir de là, l'auteur s'égare un peu dans d'autres histoires, qui se rejoignent à la fin bien sûr , mais le roman perd le coté percutant de la quatrième de couverture. On y parle d'écologie, de solidarité etc... Rien que de bonnes choses , c'est sûr , mais on est loin du pitch de départ. Oups! J'ai oublié de dire qu'il s'agissait d' un journal avec tout ce que cela comporte de "quotidien".

Et bien que cela reste frais, léger et agréable , ce n'est pas selon moi, une lecture indispensable .

Le ton très jeune pourrait plaire à une tranche d'age 11/ 12 ans .

Un prénom pas très fun, une voix qui n'a toujours pas mué, son corps qui s'allonge sans qu'un seul poil ne pousse, et l'amour de sa vie qui ne daigne même pas accepter sa demande d'ami sur Facebook ; décidément la vie d'Edvard est une catastrophe. Et pour que ce soit vraiment la totale, ses parents l'obligent à passer une semaine de vacances végétariennes dans une ferme bio !! Heureusement pour lui, il fait une méga allergie aux légumes ! Ah si, j'oubliais aussi, Edvard a le chic pour marcher dans les crottes du chien du voisin, qu'il ne prend pas la peine de ramasser.

Alors quand il doit retourner au collège, c'est bien sûr en trainant les pieds. Heureusement Edvard a quand même quelques amis (2 !) ; et il y a aussi Karli qui arrive dans le collège ; et ce voisin qui se révèle très étonnant ; et ses parents qu'il découvre sous un autre jour. Tout compte fait, peut-être que ce début d'année scolaire va être un peu plus rock & roll que prévu....

Sous forme de journal, ce roman est plutôt sympathique à lire, même si certains passages sont un peu tirés par les cheveux. En toile de fond, les mensonges dans lesquels on s'enfonce, caché derrière l'écran de l'ordinateur, d'où le titre.

La vie d'Edvard, 14 ans, n'est pas simple : il est complétement transparent aux yeux de Constance, dont il est amoureux, et sert de souffre-douleur à Henk, un garçon de sa classe très populaire qui passe son temps à le ridiculiser. Alors, Edvard décide de se créer un faux profil Facebook sous l'identité de Jason, jeune étudiant américain, pour pouvoir suivre la vie de Constance sur les réseaux sociaux et aussi lui parler fréquemment. Constance mord à l'hameçon, mais Edvard (qui a par ailleurs de plus en plus d' "amis" sur Facebook) est très vite dépassé par ses mensonges. La solution ? Règler le problème avec un autre mensonge ! Jusqu'où ira-t-il ?

Ou comment Edvard raconte dans son journal intime, et avec humour, l'ampleur que prend un petit mensonge sur les réseaux sociaux, ainsi que la solidarité adolescente.



Un récit plaisant et attachant.
Lien : http://delaplumeaucoeur.blog..