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Critiques de Édouard Aidans (31)
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Les Panthères : Le magicien qui n'existait pas

Marie jo Jeumont dite Valentine, jeune vendeuse en Provence, rêve de devenir actrice.

elle va faire la connaissance de Raphaël renneby qui lui promet la gloire.

elle monte à Paris, mais s,appercoit que Raphaël est un beau parleur, qu'il vis dans un hôtel nimable. mais elle va faire la connaissance de Françoise une femme d, affaire et de Janine

dite chouka, les trois jeunes femmes vont s, aidé à réussir, tous en étant mêle à des histoires policières. de beaux dessins d, Hermann ( Jeremiah, Bernard prince, comanche) et des dialogues de Greg ( Achille talon ) qui met en scène trois héroïnes sympa, Janine apportant la touche humoristique.mais qui me connaîtra que trois tomes.pour toute la famille 👍
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Tounga, tome 8 : Pour sauver les Urus

Tounga, qui une nouvelle fois est parti seul à la découverte du Monde, se retrouve sur une terre inconnue, où il rencontre un peuple menacée par une puissante tribu ennemie... N'écoutant que son courage, Tounga va tenter de sauver ces gens, grâce à des ruses subtiles et l'aide d'un vaillant zèbre.

Une nouvelle fois de superbes images dans une nature sauvage, un des classiques de ma bédéthèque.
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Tounga, tome 5 : Au-delà des terres froides

Pour moi un des meilleurs sinon le meilleur de la saga; notre héros est en plein doute, et la traversée des montagnes, où les obstacles seront nombreux et terribles le poussera à retrouver une foi et un courage qu'il croyait perdus à jamais...

Un excellent dessin au service de combats féroces et de paysages splendides...
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Bernard Prince, tome 16 : La dynamitera

le flora verde doit se rendre au manador ,mais une avarie l,oblige à faire escale au monteguana .

et qui est sous la coupe d,

un dictateur.mais la révolution gronde et Barney va retrouver quelqu'un qu'il a quitté 25

ans plus tôt.

une histoire pleine d,humour,avec des répliques vraiment drôle,et de l,action.on ne s,ennui pas.
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La toile et la dague, tome 3 : Le prince fo..

Bon, je n'aime pas dire du mal, alors je vais essayer de faire court.



Cet album nous plonge enfin dans l'assassinat-qu'il-faut-empêcher-à-tout-prix dont on nous parlait depuis le premier tome. Vous vous souvenez ? Ce complot qu'il était si urgent d'arrêter. Tellement urgent qu'il a fallu digresser sur le passé d'Andréa (notre héros) durant tout le deuxième tome avant d'y pavenir...



On y est, donc. Et question traquenards, tortures et autres complots dans le complot, le tout assaisonné d'un soupçon de magie, on n'est pas déçu. L'action est bien rythmée, sans temps mort, et se déroule jusqu'au dénouement final, fidèle à la réalité historique.



Mais le héros dont on nous avait raconté le passé avec tant de détails dans les deux premiers albums, il brille par son absence. Tout juste fait-il de la figuration ici et là, le temps d'une confrontation (avec son ennemi / ex-ami ) à laquelle le lecteur ne comprend rien faute d'éléments appropriés pour y parvenir.



A décharge des auteurs, ils avaient prévu de conclure cette histoire en cinq tomes. Malheureusement (on suppose pour de triviales questions de lectorat trop faible), seul trois tomes furent publiés. Les deux suivants, restés dans les cartons, apportaient peut-être les explications nécessaires afin de lier les différents tomes en un tout cohérent. En l'état actuel des choses, il n'y a que trois albums bancals auxquels il manque curellement une conclusion digne de ce nom. Là, ça ne ressemble à rien...
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La toile et la dague, tome 2 : La nuit des ..

J'avais reproché au premier tome sa trame narrative qui compliquait inutilement une histoire somme toute assez simple. Pour résumer, le héros, Andréa, cherchait à avertir Laurent de Médicis d'un complot visant à les assassiner, lui et son frère Julien, lors de la venue d'un émissaire du Pape. Cette histoire assez classique tenait sur quelques pages seulement, le reste de l'album étant constitué de flash-backs racontant le passé du héros, et on se demandait en quoi ça pouvait faire avancer le récit.



Ce deuxième tome ne s'encombre pas de fioritures : au diable l'histoire principale ! Andréa passe tout l'album à raconter ses souvenirs de jeunesse à Laurent de Médicis, visiblement passionné par les premiers émois amoureux du héros et par les nombreuses jeunes personnes, souvent en tenue d'Eve, qu'il a croisées lors de sa tumultueuse adolescence. A peine apprend-t-on que le héros fut jadis au service du pire ennemi des Médicis, mais qu'il a changé de camp depuis. Pourquoi ? Mystère et boule de gomme.



Tout ça reste assez plat (sauf si on aime les jolies filles dévêtues), et on a surtout l'impression de faire du sur-place. Au final, le lecteur s'ennuie.



Bon, il reste un troisième tome... Espérons qu'il ne sera pas rythmé uniquement par des "Oh zut, ma robe a glissé".



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La toile et la dague, tome 1 : Le mort sur ..

Tiens, qu'est-ce que c'est que ce truc ? Trouvé au fin fond du grenier dans un carton qui prenait la poussière, je n'ai aucun souvenir d'avoir lu cette BD un jour - et pourtant les preuves semblent affirmer que si : après tout, c'est mon carton dans mon grenier. Relecture.



Verdict après lecture : toujours aucun souvenir de cette histoire, mais je comprends mieux pourquoi. Le scénario était sûrement très chouette sur papier, mais la transposition en images n'est pas très réussie. Nous sommes à Florence en pleine période Renaissance. Un jeune homme se remémore un passé qui semble le hanter. S'ensuivent une série de flash-backs mal définis, que ce soit par le choix des couleurs (certains flash-backs sont en gris, les autres avec les mêmes couleurs que le présent du héros), le découpage des cases ou l'âge du jeune homme (il est difficile de faire la différence entre le héros enfant, adolescent ou adulte, il a toujours la même tête). Les flash-backs sont intégrés à une histoire principale à laquelle on ne comprend pas grand chose (normal, en 44 planches et avec tous les retours en arrière, on ne peut pas correctement développer une intrigue), sauf qu'il est question de complot visant une grande famille dont le héros est proche. Ou peut-être pas. La fin laisse clairement place à une suite. Ca tombe bien, elle est aussi au fond de mon carton.



Je lis tout ça et je verrais bien.

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Tony Stark : Les Voleurs de nuages

pour les amateurs de western,ici pas de duels,ni

d attaque de banque 🏦,ni

de poursuites a cheval.

le héro n'est ni sheriff,ni

autre représentant de la loi.c'est juste un auteur de

romans,et c'est combats sont pour la préservation de la nature.les dessins de herman le père de Bernard prince et de Jeremiah sont comme toujours super.même si il est pas crédité comme le dessinateur.pour les amoureux de grands espaces,et de chevaux.
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Tony Stark : Le lion d'un million

une histoire pleine de charme,un premier opus très réussi par un tandem qui par la suite donnera vie

a xlll et thorgal.c'est drôle et tendre,pour tout les amoureux de la mature.
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Les Panthères : Le magicien qui n'existait pas

Cette histoires est sortie en "chapitres" dans l'hebdomadaire Tintin...

Au lieu de sortir en une ou deux pages hebdomadaires, le lecteur avait droit à une histoire semi-complète.

Les Panthères, ces trois jolies filles artistement dessinées par Aidans, se prêtaient bien à cette narration en "chapitres".

Les décors parisiens du début, sont assez pittoresques avec leur lot de personnages assez louches.

L' épisode ne manque ni de fraîcheur, ni d'une certaine naïveté optimiste!..

Mais bon, Tintin était lu par les jeunes!

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Tony Stark : Opération Jonas

de grands espaces,de grands sentiments,un grand dessinateur pour une nouvelle grande série





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Bernard Prince, tome 16 : La dynamitera

Le deuxième (ou premier?) Bernard Prince illustré par Aidans. Une histoire attachante, qui en révèle un peu plus sur Barney Jordan.
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Bernard Prince, tome 17 : Le Poison vert

Un excellent Bernard Prince de l'après-Hermann.

Aidans y fait merveille.
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Tounga, tome 16 : La mort du géant

Le tonnerre, la foudre, la pluie et les vents déchirent la première page de cet album.

En 1995, Tounga est de retour !

Il aura fallu attendre presque dix ans pour le retrouver.

Depuis 1962, sur des sentiers de boue et de rocailles balayés par les bourrasques, il s'est obstiné, dans les pages du journal de Tintin, à parcourir des contrées inconnues.

Tounga, le guerrier ghmour, est, ici comme presque toujours, accompagné de ses fidèles compagnons : Nooun-le-boîteux, la belle Ohama et Aramh, le redoutable tigre à dents de sabre.

Sur le territoire de la horde des gohlorks, ils vont sauver la vie d'Howook, le guerrier géant, ils vont entendre la parole de Barhook, le chaman ... la parole des ancêtres rapportée par les ancêtres des ancêtres.

De l'autre côté du lac se trouve le domaine des swirzs, le peuple des petits hommes aux fléchettes empoisonnées ...

De l'autre côté du lac se trouvent d'effrayants géants noirs ...

Cet album est superbe et inattendu.

La série y rebondit d'une manière déconcertante.

Elle y prend, par un éclairage plus adulte, une sorte de maturité qui la rajeunit.

Le coup de crayon d'Aidans n'a rien perdu de sa précision.

L'écriture du scénario et des dialogues est plus soignée que jamais.

Cet album est une véritable réussite.

Il aurait pu être un brillant point final à la série mythique si, en 2004, Tounga n'avait pas abordé "Le dernier rivage" ...



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Bob Binn : La course aux millions

Cet après-midi là, à Passy-Moche-sur-Marne, dans son "wonderful" palace, le richissime businessman américain, Archibald Mac Haron, s'ennuie.

Sa fortune est estimée à cent trente-sept milliards de milliards.

Le matin-même, il a acheté une île déserte et un cuirassé ; la veille, 100 éléphants, la tour de Pise et 250 gr de caramel au beurre ; et quelques jours avant, il a pris une option sur la planète Mars ...

Que voulez-vous qu'il achète encore ?

L'ennui est pour lui une maladie terrible et chronique ... Il est un homme bien à plaindre !

Lorsque, soudain, surgit, Aristide Melchior Balthazar Pappassis, un homme qui prétend être l'homme le plus riche du monde.

Il est venu lancer un défi à Mac Haron, celui de refaire, à partir d'un seul dollar, fortune en trois semaines.

Si il échoue, sa fortune entière, mise sous séquestre jusque-là, ira à ses héritiers ...

C'est un vrai guet-apens !

Mais Bob Binn et Archibald Mac Haron prennent pourtant la route de l'aventure ...

C'est, en 1961, dans les pages du journal de Tintin, que Bob Binn, le jeune reporter de la "Raie Alitée", va vivre sa deuxième grande aventure sous forme d'histoire à suivre.

Cette course effrénée vers la fortune va être pleine de surprises et de rebondissements.

Alors que la malchance semble être accrochée aux basques du jeune reporter et de son ami, le futur ex-millionnaire, un retournement de situation inattendu vient couronner cette drôle de chasse au trésor !

Le dessin est réalisée par Edouard Aidans et le scénario écrit par André-Paul Duchâteau.

L'humour bon-enfant est de mise.

Les personnages sont attachants et leurs péripéties sont de celles que l'on découvre avec le sourire.

Ce deuxième opus est assez réussi. Il est sympathique.

S'il n'a jamais fait, je crois, l'objet d'aucune transposition en album, c'est pourtant avec plaisir qu'on le redécouvre dans les vieux numéros du journal des jeunes de 7 à 77 ans ...





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Les Franval : Du sang sur l'ivoire

Traversant par étapes l'Afrique Centrale, les Franval, à bord de leur fameux combi Wolkswagen rouge, se dirigent vers la réserve George V où Marc, le chasseur d'images, espère filmer quelques séquences sur la vie des éléphants.

En chemin, il découvre, chez le sorcier d'un petit village, des insignes de l'Afrika Korps, recueille un étrange blessé nommé Roeder et fait la connaissance, un peu abruptement, de Parker, l'administrateur de la réserve, ce petit éden où la chasse est interdite !

La piste menant le blessé au dispensaire de M'Niamé sera semée d'embûches et de dangers ...

En 1963, à l'épilogue de "Marc Franval chasse le condor", les lecteurs du journal de Tintin avaient laissé le romancier de l'aventure, célibataire, à la louveterie, le domaine de sa tante, Mme Dubreuil ...

En 1964, Il réapparaît, en compagnie de sa blonde épouse, Cathy, infirmière diplômée et de son fils, l'espiègle Didi, passager presque clandestin de quelques premiers voyages* déclinés en courts récits de quatre planches.

La famille Franval est née !

Vous qui aimez l'aventure et le mystère, vous serez comblés en la suivant dans "Du sang sur l'ivoire", une aventure déclinée en longue histoire à suivre dans le journal des jeunes de 7 à 77 ans.

Si Edouard Aidans est toujours derrière les pinceaux, Yves Duval a remplacé Jacques Acar pour l'écriture de ce nouveau scénario.

"Du sang sur l'ivoire" est une une superbe réalisation.

Le récit est palpitant.

Les dessins, très soignés, s'ouvrent sur les les grands horizons et les somptueux paysages de l'Afrique.

A la lecture de cet album, teintée d'écologie, on ne peut s'empêcher de songer à Christian Zuber et à sa célèbre émission "Caméra au poing".

Cette histoire de trafic d'ivoire, efficacement pimentée par un mystère dont on ne soufflera mot, est classique, et assez marquée par son époque.

Pourtant elle a peu vieilli et se redécouvre aujourd'hui avec beaucoup de plaisir ...



* "le seigneur crocodile", "le bulldozer de la savane" et "les Franval face à King-Kong".











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Le dossier vert

Pat Kerdec, jeune homme, orphelin, exploite, au village du Dourduff dans la baie de Morlaix, le petit parc à huîtres dont il a hérité.

Un soir, un peu par malchance, un peu par négligence, il est emporté, avec sa petite embarcation, vers la haute mer et au beau milieu de la nuit, heurté par un mystérieux navire, il y est recueilli.

Point ... point ... point : S

Point ... trait : A

Point ... point ... trait : U ... Sauvez-moi mais attention à vous !

Il y a un autre "invité" sur le bateau !

Le mystère s'épaissit !

Tom Larieux est le fils d'un banquier qui avait en sa possession la formule secrète d'un nouveau métal super-radio-actif.

Un jour "Le dossier vert" ayant disparu du coffre-fort, le banquier est arrêté !

Mais son fils, Tom, surprend, dans son bureau, Ralsky, l'associé de son père, en possession du fameux dossier ! ...

"Le dossier vert" est une aventure publié, en 1961, dans le journal de Tintin.

Edouard Aidans, le père de Tounga, en réalise les dessins et le scénario est écrit par les mystérieux J. et F. Gall dont je ne sais absolument rien !

Les deux jeunes héros, Pat et Tom, vont se trouver projetés dans un périple qui va les emmener

- jusqu'en Amérique du Sud, au Mexique d'abord puis au Pérou,

- jusqu'en Polynésie, sur l'atoll d'Anaa,

- jusqu'en Nouvelle-Guinée où ils devront affronter des chasseurs de têtes,

- jusqu'en Birmanie,

- jusqu'en Irak ...

Et pourtant, tout simplement, l'aventure prendra fin dans le métro parisien !

Teintée d'espionnage, parfois un peu"naïve", cette BD est très caractéristique des années 60.

Immanquablement, elle me fait penser à la série "les globe-trotters" avec Yves Rénier et Edward Meeks.

Poursuivis par deux infâmes crapules, Ralsky et Blomm qui sont membres d'une puissante organisation criminelle, les deux jeunes héros vont vivre des aventures palpitantes.

Réalisée en quadrichromie, le graphisme est superbe, classique, issu bien sûr de la "ligne claire".

Le scénario est virevoltant.

Il nécessite, avouons-le, quelques complaisances, de la part du lecteur.

Pourtant il est rapide et prenant.

Pat Kerdec et Tom Larieux sont attachants.

Leurs aventures, malgré que "Le dossier vert" soit tombé dans un oubli total, se redécouvrent toujours, dans les vieux numéros du journal de Tintin, avec autant de plaisir ...



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Les Franval : Les Pirates de la brousse

Une camionnette rouge fonce sur les pistes de l'ouest de la république du Centre Équatorial.

Sa mission est de réaliser un long métrage destiné aux conférences du cycle "connaissance du monde".

Le cinéaste Marc Franval, sa femme cathy et leur fils Didi en forment l'équipage.

Ils sont suivis par un hélicoptère de la protection forestière qui contrôle les accès aux réserves naturelles.

Le pilote Daniel Casey et les gardes forestiers doivent être très vigilants car des braconniers opèrent dans la région...

La nuit est tombée.

Les Franval se sont endormis au diapason de la nature.

Lorsque soudain...une fusillade éclate !

Le point d'eau, si tranquille quelques heures plus tôt, est maintenant le théâtre d'une scène d'une insoutenable brutalité.

Aveuglés par la lumière d'un projecteur braqué sur eux d'un hélicoptère, terrorisés, les hippopotames tentent de se mettre à l'abri.

Inexorable, la mort les frappe l'un après l'autre.

Son sinistre travail terminé, l'hélicoptère, tous feux éteints, s'éloigne rapidement et soudain, jaillissant des hautes herbes, des silhouettes noires armées de sagaies et de machettes gagnent silencieusement l'endroit du massacre....

Signé par Edouard Aidans, par Yves Duval et par Mitteï, cet épisode, paru initialement en 1968 dans les pages du journal de Tintin, est, peut-être, le plus réussi de la série.

Un terrible soupçon envahit Marc Franval : l'hélicoptère assassin était du même type que celui qu'utilise habituellement la protection forestière.

De là à en conclure que Casey était à ses commandes...

D'autant que ce dernier a fourni un alibi le mettant hors de cause....

L'aventure est de facture classique.

Réalisé en quadrichromie, le dessin est soigné.

Le rythme de l'action est soutenu.

Le propos, teinté d'écologie, est intelligent et la famille Franval est attachante.

Ses aventures sont toujours aussi passionnantes.

Les éditions "Dargaud" en 1969, puis "le Lombard" en 1981, feront de celle-ci le cinquième album de la série qui en compte douze en tout.



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Tony Stark : Le lion d'un million

Ce Tony Stark ne porte pas d’armure rouge et or mais est la réédition d’une série née à la fin des années 70, avec au scénario, un scénariste débutant qui n’était même pas crédité : Jean Van Hamme ! De l’eau a depuis coulé sous les ponts et ça se ressent à la lecture. Tony Stark est une de ces BD old school qui sent bon la nostalgie.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..
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Tony Stark : Le lion d'un million

Avant de devenir le scénariste de best-sellers que l’on connaît, Jean Van Hamme a écrit - entre autres - les aventures de Tony Stark publié par l’hebdomadaire allemand Zack entre 1977 et 1982. Aujourd'hui, les éditions Artège proposent, pour notre plus grand plaisir, la réédition de la première histoire. Une belle occasion de découvrir les œuvres de jeunesse du père de « XIII », de « Thorgal » et de bien d’autres héros à succès...

Pour fêter la sortie du dernier livre de Tony Stark, auteur à succès, son éditeur organise une soirée privée à laquelle s'invite un puma... N'écoutant que son courage, encouragé par Karin Stern, venue étudier la faune des montagnes rocheuses, Tony réussit à capturer l'animal. Mais alors qu'ils s'apprêtent à relâcher le fauve dans la nature, ce dernier, en fuite, avale au passage une bague d'une valeur d'un million de dollars appartenant à une riche invitée. Celle-ci décide de mettre à prix la tête du félin. Une course à la montre, opposant ceux qui courent après l'appât du gain et ceux qui ne cherchent qu'à protéger le puma qui va bientôt mettre bas, est lancée...



Magnifiquement mise en images par Aidans dont le registre graphique est, on le sait, efficace et très étendu, le scénario de Van Hamme qui nous a construit une aventure prometteuse, avec l’exposition de personnages extrêmement bien caractérisés, aboutit à une aventure passionnante. Les décors et les ambiances très cinématographiques saisissent dès la première page. Si on se doute que rien ne se passera comme prévu, les plans serrés et la mise en page renforcent un climat haletant et pesant à souhait.



Cette histoire de quête, sur fond de protection de la nature, grâce à la facilité avec laquelle Aidans utilise les couleurs et les ressources d’un découpage sans faille, donne cette atmosphère si particulière, en totale osmose avec son sujet.



Cet album qui oscille entre roman graphique et recueil luxueux se présente sous une maquette soignée et séduisante.



Une raison de plus pour l’ouvrir et ne plus le lâcher !



On attend la suite avec impatience !
Lien : http://www.espritlivres.kara..
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