Éric Fouassier

Amboise. 1498. Le roi Charles VIII meurt. Sans laisser d’héritier. Qui va donc prendre sa place sur le trône ? Une guerre de succession. Qui avait donc intérêt de la mort du roi ? Parce que vous l’aurez deviné… il s’agit d’un meurtre, et non d’une mort naturelle. Et c’est Bayard, un Chevalier du roi, qui en a fait le constat. Il partira donc en quête de l’assassin. Et sur son chemin, il croisera la route d’Héloïse, apothicaire de métier, dont il tombera sous le charme. Ensemble, ils trouveront… mais la recherche sera criblée d’embuches. Le contexte historique est bien là, mais avec beaucoup de politiques, qui rend la lecture un peu ardue. J’ai bien aimé le personnage principal féminin, et c’est elle qui me donne envie de continuer la découverte de cette série. À suivre…

Avant toutes choses je souhaite souligner le talent d'écriture de Eric Fouassier. Que l'intrigue se déroule au XIXeme ou au XVeme siècle, il utilise le vocabulaire et les tournures de phrases de ces époques, ce qui nous permet réellement de nous fixer dans le temps.

Autre point qui souligne le talent de Eric Fouassier, partir d'un fait historique, ici la mort surprenante de Charles VIII et tisser toute une intrigue autour.



Pour entrer dans le vif du sujet et quand a mon avis sur le roman, je n'ai pas été transportée comme pour "Le bureau des affaires occultes".

Malgré de bons éléments de départ, avec une ambiance des plus mystérieuse, et un dénouement digne d'un Agatha Christie (cf les enquêtes de Hercule Poirot), il y a pour ma part quelques longueurs, ce qui ralentit le rythme de lecture.



Je suis également déçue du peu de présence de certains personnages (je reste vague car je ne veux rien révéler qui pourrait entacher votre lecture), mais de ce côté là je reste sur ma faim.



Le dénouement de l'enquête, reste lui, grandiose, digne d'un grand polar.



Malgré mon avis mitigé, je conseille tout de même de lire, car si pour ma part je suis passée à côté, peut être qu'il en sera autrement pour vous.

Ce polar médiéval est construit sur une revisite originale de la mort de Charles VIII sur un fond historique bien documenté de luttes intestines familiales pour le pouvoir suprême.

L'écriture est élégante, avec juste ce qu'il faut de termes d'époque pour resitualiser historiquement l'intrigue sans être par trop envahissants.

Le roman introduit un héros enquêteur inattendu en la personne du chevalier Bayard, qui hormis ses qualités de militaire, de tennisman, de gentleman "sans peur et sans reproche" se révèle fin limier désintéressé ;n'en jetez plus cela finirait par nous rendre jaloux...

Une amourette se noue entre ce dernier et Heloïse, brillante fille d'un apothicaire s'immisçant dans l'enquête, qui prête à gentiment sourire de par sa naïveté bien trop fleur bleue : comment penser qu'un soudard à grande prestance ayant arpenté les champs de batailles de son roi reste tel un innocent timide devant une belle rosière dont personne ne voudrait au prétexte d'un pied bot, comme si à l'époque un tel handicap pouvait couper toute velléité de relation un quelconque rustre ou soldat aguerri !

Ce côté idyllique très filmesque, mais peu vraisemblable, ne parasite neanmoins pas le roman, dont l'enquête, nerveuse et astucieuse fait passer somme toute un bon moment, et expose cyniquement ce qu'est la raison d'état en ces temps anciens.



S'agissant du premier tome d'une trilogie dont Heloïse est le personnage principal en fait, je découvrirai la suite de ses aventures avec curiosité.

An 1498. Le jeune Roi Charles VIII meurt à Amboise, après avoir violemment heurté de la tête un linteau de pierre. Alors que tout laisse penser à un accident, un jeune chevalier soupçonne un meurtre. Ce dernier n'est autre que Pierre Terrail, le chevalier Bayard "sans peur et sans reproche". Aidé d'une jolie apothicaire, Heloïse Sanglar, il va tout faire pour résoudre l'énigme.



On est plongé à la fin du Moyen-âge-début de la Renaissance.

J'ai été conquise dès le début, même si le rythme m'a semblé lent, mais il s'accélère à la seconde moitié du livre. L'intrigue est finement menée. J'ai été tenue en haleine grâce au suspens et n'ai pas découvert le meurtrier avant la fin.

Les descriptions peuvent sembler longues mais elles m'ont plu, pour mieux comprendre la vie, us et coutumes à cette époque. Et puis il faut dire que c'est bien écrit, jusqu'au langage désuet de cette période, aux mots, expressions employés alors (merci au glossaire à la fin).

Le contexte historique est bien documenté. Bien sûr l'auteur fait parler son imagination en prenant des libertés sur un prétendu assassinat. Mais j'ai bien aimé cette façon de mêler des personnages et faits imaginaires à des faits réels et personnes connues.



J'ai adoré le personnage d'Heloïse, cette femme intelligente et indépendante au savoir pharmaceutique transmis par son père. D'ailleurs les connaissances en pharmacie de Éric Fouassier (docteur en droit et pharmacie) sont nettement mises en valeur dans ce roman et apportent un plus, que j'ai particulièrement apprécié !



Quant à Bayard, il m'a plu, courageux et fort en bataille. J'aurais aimé quand même le trouver plus téméraire et moins farouche devant la gente féminine !



Sinon on a notre dose en meurtres, torture, et autres passages sanguinolents, juste ce qu'il faut pour nous plaire, sans en faire trop!

La mort mystérieuse du roi Charles VIII est le point de départ de l’intrigue. Une enquête discrète est confiée au chevalier Bayard et Héloïse par la reine Anne de Bretagne. Nous nous retrouvons dans un polar médiéval où les conspirations, alliances et trahisons sont monnaie commune. La Renaissance balbutie, les antagonismes franco-italiens sont là. Mais il ne faut pas s’attendre à une narration centrée sur des faits historiques éclairant la période. Cela reste une enquête au dénouement certain, bien écrite avec des termes de vieux français qui agrémentent le récit. On passe un agréable moment.

A Amboise, Charles VIII meurt et voilà Anne de Bretagne veuve. Cette mort qualifiée d'accidentelle est remise en question par le chevalier Bayard qui y voit plutôt un assassinat. Il s'allie alors avec l'apothicaire Héloïse Sanglar afin d'élucider ce meurtre, ce qui ne manquera pas de les mettre en danger: certains sont déjà à l'affût du pouvoir et les intrigues politiques ressurgissent.



Eric Fouassier a su recréer une époque et Vincent Violette, grâce à sa lecture nous entraîne dans cette intrigue savamment construite. L'auditeur est tout de suite plongée dans l'atmosphère de ce récit et suit avec beaucoup d'intérêt les aventures du chevalier Bayard et des autres personnages historiques. Le tout est savoureux et l'on a hâte d'aller découvrir le second tome.



Merci à #lizzie_livresaudio et à #NetGalleyFrance pour ce beau moment

Éric Fouassier est un homme-orchestre ou un change-peau – j’hésite ! On parle d’un auteur capable de se lancer dans diverses séries ayant des temporalités différentes, des intrigues diamétralement opposées mais tout tient parfaitement la route et rend le lecteur complètement accro !



Ce qui est particulièrement appréciable dans ce polar historique, c’est le mélange de réalité – rappelons que la plupart des personnages présents dans cette intrigue ont réellement existé – et la fiction autour de la mort de Charles VIII, avec l’arrivée de la Renaissance en France. D’ailleurs, il faut souligner qu’Éric Fouassier immerge le lecteur en plein dans la période avec l’arrivée en France des maîtres italiens et des descriptions très réalistes des châteaux qui donnent l’impression que l’auteur était présent sur place.



L’intrigue est rondement menée et même si parfois il y a quelques grosses ficelles qu’on sent venir, il faut avouer que le dénouement est totalement inattendu et prend de court le lecteur ! Un vrai maestro ce Monsieur Fouassier !



Le rythme est intense, l’écriture est fine, on sent que l’auteur s’amuse avec la langue française et l’utilisation du vocabulaire d’époque. On se régale et pour ma part, je n’ai qu’une envie : lire la suite !
Lien : https://ogrimoire.com/2024/0..

Belle surprise pour ce roman à l'époque médiévale de la fin du XVe siècle. Il mêle histoire, intrigue policière, roman chevaleresque.

Ce sont les deux personnages principaux Héloïse et Bayard qui m'ont permis d'accrocher avec l'histoire dans un premier temps puis l'enquête mystérieuse et plein de suspects qui m'a tenue en haleine.

Bayard c'est le chevalier preux, fidèle et intrépide qui se dévoue à la couronne.

Héloïse, maligne, discrète et émancipée jeune fille, qui grâce aux connaissances que son père lui a inculquées en pharmacie et apothicairerie, est la figure moderne dans une époque où il n'est guère intéressant d'être une femme si on n'est pas princesse (et encore d'être une femme tout court).



Charles VIII meurt. Bayard dévoile très vite la supercherie, c'est un assassinat. Mais qui ? Comment ? le roi est mort, frappé à la tête avec du bois dans un couloir en pierre sans issue.

L'intrépide Bayard mène l'enquête avec l'aide de l'intelligente Héloïse.



Ce super roman mêle à merveille réalité historique et rebondissements fictionnels. L'idylle naissante entre Bayard et Héloïse me rappelle les romans de chevaliers étudiés au lycée. La mièvrerie de la fin' amor en moins. le vocabulaire de l'auteur est recherché soutenu. Un plaisir de lecture. Eric Fouassier ajoute avec parcimonie un vocabulaire et une syntaxe d'époque qui coule naturellement dans le récit. On sent que l'auteur est dans son élément et nous partage sa passion pour l'histoire avec passion et brio.



Alors que je n'avais pas eu tout accroché avec le bureau des affaires occultes, ici je suis impatiente de lire la suite de la vie d'Héloïse.

De Eric Fouassier : Bayard et le crime d'Amboise.



En 1498 le roi Charles VIII vit et meurt à Amboise.

Celui-ci est né dans cette même ville 28 ans plus tôt.

Monarque au physique ingrat, de petite stature et malingre il était plein d'ambition avec des projets grandioses.

Rentrant d'une guerre en Italie qui n'en fut pas vraiment une, ses gouts en architecture évoluent, évoquant les prémisses de la Renaissance.

Marié avec la très jeune Anne de Bretagne, la France s'agrandie avec le comté de celle-ci.

La Reine après six grossesses dont deux fausses couches et quatre enfants décédé avant leurs trois ans ,laisse le royaume sans succession.



L'Auteur s'empare de ce décès pour construire une intrigue autour de la mort du roi.

Bayard jeune chevalier plein d'audace doute de cette mort accidentelle.

Le premier chambellan, Philippe de Commynes avec l'accord de la Reine permet au jeune Bayard de faire une enquête.

Avec le soutien de la très belle apothicaire Héloïse Sanglar, une lutte contre le temps pour découvrir la vérité avec de gros risques va s'engager.



Connaissant Amboise c'est avec plaisir que j'ai lu ce livre.

Mouif mouif mouif... J'avais pourtant vraiment aimé la série du Bureau des Affaires Occultes mais je ne pense pas poursuivre celle-ci.

On voit à peine Héloïse et elle ne sert à rien.

Quant à Bayard, le grand, le preux, l'honnête, le fort, le bienveillant, le ... Aaaaaah! Assez ! On a compris ! Et moi, il m'a suprêmement agacée par son côté naïf au dernier degré, qui le met en danger immédiat, et l'obligeant à recourir à ses gros muscles, son habilité à l'épée, sa souplesse, son intelligence tactique au combat (essaye aussi la tactique AVANT le combat, ca pourrait te changer la vie, bonhomme).... Oui bon on sait, quel grand chevalier, c'est pour cela qu'il est entré dans les livres d'Histoire... Grompf...

Dernier point, l'usage de tournures anciennes et de mots surannés pour coller à l'époque. Si je n'ai rien contre voire si j'apprécie habituellement, ici j'ai en fait une overdose. L'insertion de prononciation à l'ancienne en pleine phrase de dialogue m'a irritée. Bref, c'était trop.

Néanmoins, j'ai aimé la reconstitution de cette période, et qu'on parle sous l'angle d'un possible meurtre d'une mort qui m'a personnellement toujours laissée perplexe de par son côté un peu ridicule.



Au final, j'ai moyen aimé parce que le personnage principal n'était pas celui vendu au départ, et j'ai eu du mal avec le trop-plein de vocabulaire destiné à faire "d'époque".

Pas ma série préférée, mais je n'exclus pas non plus l'éventualité de toucher au tome 2 après quelques temps, quand j'aurai oublié pourquoi je suis fâchée après le 1.

Voici le premier livre audio que j'écoute et je dois dire que j'ai eu un peu de mal au début à concentrer mon attention sur le texte . Si dans un livre imprimé il faut compter avec la couverture , le papier et les caractère d'imprimerie sélectionnés qui contribuent à instaurer un rapport tactile presque amoureux avec le lecteur, dans le livre audio c'est la voix de l'interprète qui compte en premier, les intonations qu'il prend, le ton qu'il adopte. La voix de Vincent Violette ne m'a pas vraiment séduite tant par l'insistance sur certains effets dramatiques que la mise en évidence de tournures "médiévalisantes" qui m'ont paru n'apporter aucun plus au récit. Je dois dire que si j'avais lu ce même texte, je n'aurai pas été aussi agacée . Je constate que l'audition ne fait qu'accentuer ce qui pourrait être considéré comme une lourdeur dans le récit.

En ce qui concerne le contexte historique qui est abondamment documenté, j'ai apprécié ces passages car je connaissais la période et les différents protagonistes dont il était question. Pour le lecteur néophyte, je pense que l'attention peut vraiment être distraite par moments...

Quoiqu'il en soit, le roman est populaire au bon sens du terme car il met en scène des personnages plutôt sympathiques qui trouvent leur place dans une intrigue bien troussée. Il y a de l'action, des scènes de combat, des méchants, des mystères et je retrouve avec plaisir l'univers des feuilletonistes du 19ème siècle qui utilisaient la grande histoire comme toile de fond de leurs romans.

Je n'avais pour ma part jamais envisagé que la mort de Charles VIII (manifestement décédé d'une hémorragie intra-crânienne suite à un choc violent à la tête) ait pu ne pas être accidentelle et le propos d'Eric Fouassier qui classe ce décès dans les crimes est habile et innovant.

L'intrigue amoureuse entre le chevalier Bayard et la belle apothicaire Héloise est tout ce qu'il y a de plus classique même si on peut parfois déplorer le vocabulaire employé pour décrire les émois des tourtereaux ...

Les embûches auxquelles doivent faire face dans leur enquête le chevalier et la tendre Héloise contribuent à relancer l'attention et à tisser les liens du récit avec la grande histoire et ses implications dans la politique de l'époque.

Voici un honnête roman qui peut se lire pendant un long trajet en train ou en voiture pour faire passer le temps sans la publicité qui pollue les radios, qui peut distraire une brodeuse occupée à faire travailler ses mains ou alors procurer un enchantement durable ... Tout dépend du public auquel on s'adresse bien évidemment....

Comme on me sait fan de polars, voilà qu'on m'offre la trilogie d'Héloïse, avec les meilleures intentions du monde. Et comme chacun sait, l'enfer est pavé de bonnes intentions. Quelle purge ! On y retrouve ce que j'avais déjà détesté dans Le bureau des affaires occultes, des morts en pagaille, de la violence, une façon artificielle de cacher les informations-clés au lecteur, des chapitres délayés, un peu de sexe, des comparaisons alambiquées, plus une amourette niaiseuse. le matériau historique transparaît laborieusement, à coups de vocabulaire ancien et de descriptions de vêtements. le pauvre Bayard est bien peu crédible en enquêteur, de même que la féministe Héloïse. C'est clinquant et ça sonne faux. Je me suis ennuyée, d'une force, mais d'une force ! J'ai fini par diagonaliser la fin de la lecture et je laisserai en paix les deux tomes suivants. RIP.

Dans "Le piège de verre", Éric Fouassier nous emmène dans la France de 1503, alors que le roi Louis XII est embourbé dans les guerres d'Italie. Cette confrontation avec l'Italie se répercute d'ailleurs dans le domaine artistique, avec un déclin progressif de l'art du vitrail au profit des fresques et des peintures, œuvres dont la contemplation requiert plus de lumière dans les églises, et donc moins de vitraux colorés.



L'héroïne du roman, Héloïse Sanglard, est une jeune apothicaire de la ville d'Amboise, chargée par la reine Anne de Bretagne d'enquêter sur un mystérieux complot fomenté par un groupe de maîtres verriers. Pour mener à bien sa mission, Héloïse entame un périple en plein hiver, qui l'emmène des châteaux de la Loire jusqu'en Champagne, à la rencontre de grandes figures du Royaume tel que le chevalier Bayard, Philippe de Clèves ou encore Jeanne de Valois.



Pas besoin d'être friand d'énigmes ou de romans policiers pour prendre plaisir à lire "Le piège de verre", qui est aussi et surtout un roman historique bien documenté. L'intrigue est bien rythmée, avec des chapitres courts qui ménagent le suspense, même si de nombreux développements sont assez prévisibles. La résolution des énigmes à chaque étape du parcours révèle petit à petit différentes dimensions du complot, sans complexité excessive et sans grand coup de théâtre final, ce que j'ai personnellement trouvé appréciable.



Le style de l'auteur est très accessible, parfois même un peu trop didactique à mon goût. Par endroits, il rappelle le rôle et les actions d'un personnage, au cas où le lecteur les aurait oubliés, comme au chapitre 37 avec des expressions du type "Malavoise– car, bien entendu, c’était lui". Quant à la trame romantique, elle est un peu fleur bleue mais on s'y laisse prendre. Au chapitre 28, je me suis même demandée si l'auteur ne se moquait pas un peu lui-même du genre romanesque en faisant un clin d'œil aux romans de chevalerie voire au Don Quichotte de Cervantès ("La jeune femme se demandait si tous leurs efforts n’étaient pas vains et ne la détournaient pas de la seule chose qui comptait vraiment à ses yeux : l’amour qu’elle portait au chevalier sans peur et sans reproche." puis "Elle avait désormais la désagréable impression qu’ils ne poursuivaient qu’une chimère.").



Au final, un roman distrayant que je serai capable de relire avec plaisir lors d'une prochaine visite dans la région. J'ai même pris plaisir à reconstituer le parcours d 'Héloïse sur une carte.
Lien : http://histfict.blog/191

J'ai beaucoup aimé ce roman historique et ses intrigues machiavéliques. Le personnage d'Héloïse est intéressant, femme moderne, forte pour l'époque. Cependant, trop de détails tue le détail ! Surtout dans la description des bâtiments. Il en faut mais point trop ! De plus, je regrette l'insistance de l'auteur sur la beauté et l'intelligence de son héroïne.

Roman à lire. Enquête romancée dans un contexte historique et des lieux réels.

Une bonne intrigue et un rythme entraînant. Sympa à lire.

Une chevauchée historique en 1503 en compagnie d'une héroïne idéale, belle, intelligente, autorisée à être apothicaire. Au prétexte d'un complot contre le roi, le lecteur est embarqué dans la résolution d'énigmes menant les héros d'abbayes en cathédrales.

Une écriture fluide, rythmée, un récit historique passionnant et une intrigue certes au ressort éprouvés mais pleine d'entrain.

Je conseille vivement, un très bon moment

Alchimie, féminisme, enquête, pouvoir. Ce livre (comme son précédent) fut un gros coup de coeur, je l'ai dévoré. On est dans un policier historique très bien rythmé et équilibré. Avec un savant mélange d'enquête policière, d'histoire de France, de place de la femme dans la société, d'éducation, le tout avec un soupçon d'amour. Les personnages sont bien creusés ; l'héroïne attachante. ON se prend au jeu et la pages tournent rapidement. Je recommande plus que vivement la lecture du Piège de verre ; Allez-y, Foncez!!

Vraiment déçue. Après avoir lu le profil de l'auteur, je m'attendais à mieux!

j'ai trouvé l'écriture scolaire et, je ne sais pas pourquoi, n'ai pas été happée par le suspens, peut être trop cousu de fil blanc.

Quand même je ne m'attendais pas à la toute fin.

Au demeurant, j'ai passé un bon moment historique!

Vitrail aux pouvoirs mortifères, sciences occultes, disparitions mystérieuses... les menaces pleuvent sur Héloïse, bien décidée à venir à bout des adversaires du roi. Mais les temps sont difficiles quand on est une femme.

Un livre qui combine à merveille la romance, le danger, l’Histoire de France au moment de la Renaissance et l’élucidation d’énigmes.

Cependant des incohérences historiques persistent tout au long de la lecture.

Tout d'abord merci à Netgalley et aux éditions JC Lattès pour cette lecture . Ne connaissant pas cet auteur , je me suis lancée dans l'inconnu en tournant les premières pages de ce polar historique bien singulier.



J'ai ainsi fait la rencontre d'Héloïse , jeune femme affirmée qui a trouvé sa place dans un métier et une société gouvernée par les hommes. Elle est chargée par la reine de résoudre trois meurtres particulièrement atroces. Et la voilà partie , sur les routes de France, accompagnée du chevalier Comballec, pour résoudre ce mystère.



Tout d'abord j'ai été séduite par les personnages, Héloïse, femme forte et déterminée qui ne s'en laisse compter par personne, si ce n'est le chevalier Bayard dont elle est éperdument amoureuse.



Ensuite j'ai été séduite par l'histoire, la résolution de cette série de meurtre bien sûr, mais aussi le coté aventure. Le récit ne s'arrête jamais, c'est ultra-rythmé, et on tourne les pages rapidement. L'aspect historique est très bien fouillé et documenté, et on prend plaisir à rencontrer les personnages réels et imaginaires, qui peuplent cette époque.



En bref, un très bon roman alliant, mystère, histoire, amour et aventure , que j'ai pris plaisir à découvrir.
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