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Critiques de Éric Fouassier (1099)
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Et puis le silence

Une histoire bien écrite, un univers et une atmosphère bien pensé, mais malheureusement je n'ai pas autant accroché que ce que je l'aurais aimé. Je pense que cela est dû aux nombreux flash-back sur la vie des protagonistes. Je trouve que l'on décroche de l'intrigue principale au fur et à mesure...
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Et puis le silence

Ça commence mal.



Romane, Matteo, Yves-Marie, Cristina et Drago sont coincés dans une grange. On avait besoin d’aide dans les montagnes, ils se sont laissés convaincre avant de réaliser, trop tard, que c’était peut-être une embuscade. A deux pas de là, Patrick se vide de son sang. L’heure est au chacun pour soi.



Je ne savais pas trop à quels niveaux se situerait la violence, où elle serait la plus extrême. Je dirais d’Et puis le silence que c’est de la violence de situation, bien pire que le détail qui fait tourner de l’œil. J’ai eu l’impression de rester enfermée une éternité dans cette grange. Ça sent le soufre et les larmes, la rancœur et la peur. Vient le moment où on se dit qu’ils ne peuvent que s’entretuer. On tourne les pages à toute vitesse.



Tour à tour, l’auteur présente ses personnages, et nous apprend leurs motivations à rejoindre l’aide humanitaire. On croit d’abord que ces flashbacks nous apporteront un peu de répit, mais en découvrant Romane, on prend une nouvelle claque. Yves-Marie est odieux, une vraie gangrène. Ces deux-là m’ont marquée. Si on ignore où se déroule l’histoire, on pense parfois au nazisme. Ce qu’on sait c’est qu’on étouffe. Et qu’on n’est qu’à un pas de la folie chaque fois que la nature humaine se dévoile par le biais de l’un ou l’autre. Qui prendra le risque de sauver Patrick? Qui décidera de se sauver lui-même?



J’ai vraiment passé un mauvais moment, et j’ai adoré ça.
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Et puis le silence

Yves Magne est le pseudonyme d'un auteur s'étant distingué dans des œuvres de pur divertissement, alternant des romans policiers et des romans historiques.



Avec Et puis le silence, l'auteur nous plonge dans un huis clos psychologique, nous promenant entre le présent et les flashbacks présentant chaque protagoniste.



Nous faisons ainsi connaissance de Romane, Yves-Marie, Mattéo, Cristina, Drago et Jolan et de ce qui les a amenés dans l'humanitaire. L'horreur de la situation du présent se fait écho de la violence psychologique et de l'horreur qu'ont vécu chacun des survivants.



Yves Magne nous livre un roman très sombre, qui met le lecteur mal à l'aise. On se sent enfermer avec eux dans cette grange pendant toute la durée du roman en ayant le plus grand mal à en trouver une échappatoire.



Si les lieux ne sont clairement pas nommés, on imagine sans peine tant l'écho avec des conflits existants ou ayant existés est bien présent dans nos mémoires.



Un livre donc très sombre, qui manie bien le huis clos, bien que les longs flashbacks, nous sortent de la situation présente tout en attisant le côté anxiogène du roman.

Une lecture intéressante avec une jolie plume éveillant l'empathie du lecteur.
Lien : https://aufildesevasionslivr..
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Et puis le silence

"Et puis le silence" est un roman bref qui se lit d'une traite, mais d'une puissance narratrice très fort. On y découvre Drago, Romane, Cristina,Matteo et Yves-Marie, prisonniers d'une grange, dans la ligne de mire d'un sniper. A l'extérieur un de leur camarade blessé, appelle à l'aide.



Et vous que feriez-vous ? Iriez-vous lui porter secours au péril de votre vie ? 



Pour tenter de répondre à cette question l'auteur nous entraine dans le passé de chaque personnage nous permettant de découvrir leurs faiblesses, leurs personnalités et essayant d'anticiper leurs réactions. Ce roman rappelle des scènes et des événements actuels mais permet surtout de s'interroger sur la nature humaine. Car quand le huis-clos s'installe, quand la tension monte, les personnalités se révèlent, et qui sait le héros n'est peut-être pas celui que l'on croit!



Un récit très plaisant, très intense, dont l'ambiance étouffante séduira les amateurs de huis-clos psychologique. A lire! 
Lien : http://livresforfun.overblog..
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Et puis le silence

Je suis assez déçue par ce roman. J'adore les huis-clos pour leur atmosphère mais ici je n'ai ressenti aucune angoisse, aucune menace réelle même si elle est bien là et la fin m'a paru tout à fait normale, sans grande surprise...



Cinq humanitaires sont pris malgré eux dans une guerre civile. Un sniper ayant touché l'un des leur, ils se réfugient dans une grange, pour attendre qu'on vienne les cherche ou que ça finisse. Patrick, celui qui a été touché, se vide de son sang de l'autre côté des murs, appelant à l'aide. Personne n'ose sortir, de peur d'être dans la ligne de mire du sniper. Rongés par la culpabilité, apeurés par la guerre et le manque d'informations sur ce qu'il se passe dehors, chacun essaie de gérer la situation...



L'avantage des huis-clos, c'est que le côté psychologique prend pleinement le dessus et l'angoisse est donc censée être grandissante. Je n'ai pas du tout ressenti ça dans ce roman, et je pense que c'est en grande partie à cause des flash-back qui nous sortent complètement de la situation présente à chaque fois. Il y en a pour tous les personnages présents dans la grange, ils sont alternés avec les chapitres qui concernent le présent, donc à chaque fois que l'on retourne dans la grange avec eux, on en ressort presque aussi vite pour en découvrir plus sur eux. Je les ai trouvés très important pour les connaître davantage, pour bien les situer, car ils nous montrent quel genre de personnes ils sont vraiment mais, pour ma part, ça a cassé le rythme du huis-clos et de la tension qui devrait y être rattachée.

De plus, il n'y a pas vraiment de rebondissements ou alors rien de bien marquant, pas de réelles surprises à la fin... C'est bien amené et ça se lit d'une traite mais il m'a vraiment manqué de la tension, du suspense et de bons rebondissements pour que j'y trouve mon compte.



Finalement, ce qui m'a le plus intéressée, c'était les flash-back, ces petits moments de vie des protagonistes. J'ai adoré les découvrir plus en détails, constater à quel point ils sont fidèles à eux-mêmes dans la grange, face à la peur...

Yves-Marie est un individu égocentrique et mesquin. Dans tout ce qu'il entreprend, c'est toujours dans son propre intérêt. Un comble pour un médecin... Il est révoltant, du début à la fin, autant dans les flash-back le concernant que dans la grange. J'ai apprécié que ce personnage soit présent, ça a permis quelques débats avec les autres personnages qui sont tous bien différents de lui...

Romane m'a beaucoup touchée... C'est quelqu'un qui a le cœur sur la main, qui donne sans compter et, elle le sait, peu ferait tout ce qu'elle fait pour les autres.

Drago, Cristina, Matteo... on en sait davantage sur chacun d'eux, tous ceux qui sont présents dans la grange, mais ceux-ci ne sortent pas spécialement du lot.



En conclusion, je suis assez déçue de ce thriller. J'en ai vu des bons avis, de très bons même, mais je n'ai pas du tout retrouvé ce que j'aime dans les huis-clos, à savoir la tension et l'influence que ça a sur les personnages. Finalement, j'ai trouvé l'intrigue assez banale pour un sujet aussi fort...
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Et puis le silence

Ambiance sombre où Romane, Matteo, Yves-Marie, Cristina, Drago puis Yolan sont enfermés dans une grange.

Un huit-clos oppressant où chaque détail renforce la violence de la situation.

L’histoire est entrecoupée par le récit personnel de chacun des protagonistes. Page après page on espère une respiration mais ce sont des existences brisées par la vie, les accidents et la guerre, pas de répit pour le lecteur.

Les personnages ont tous en commun l’humanitaire mais ils n’ont pas tous rejoint cette cause pour les mêmes raisons.

Le rythme est haletant, j’ai vraiment tourné les pages rapidement pour connaître le dénouement de la scène finale qui se déroule au présent.

L’écriture de l’auteur est subtile et nous laisse supposer un soupçon d’espoir, noircit au fil des pages.
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Et puis le silence

Une guerre quelque part en Europe, récemment. Aucune indication de lieu ni de date. Ce pourrait être en Ukraine, au Kosovo ou ailleurs. Cela n'importe pas. Sept personnages, hommes et femmes, nous sont présentés. Ils sont enfermés dans une grange. Dehors, tout près, un sniper embusqué. Entre eux et lui, un des leurs, touché au ventre, agonise dans la cour et appelle au secours.

Qui aura le courage d'aller le chercher pour le sauver ou, au moins, pour le soulager ?

Roman sombre, occasion de portraits tracés à coup de réminiscences qui laissent entrevoir comment, dans une situation extrême, réagira face au danger celui ou celle dont, auparavant, le comportement dans la vie courante est décrit. Les petits abandons, la mesquinerie et la lâcheté au jour le jour, mais aussi la compassion et la générosité se révèlent de manière amplifiée quand la vie --donc la mort-- est en jeu.

Le huis-clos qui aurait pu être oppressant ne m'a pas convaincu. Yves Magne se contente de dresser sept portraits, chacun dans un chapitre, sans qu'il y ait réellement de débat entre les protagonistes.

Quand on apprend que l'auteur utilise un pseudonyme pour ce premier roman "psychologique" et qu'il s'appelle en réalité Eric Fouassier, nom sous lequel il a publié des romans policiers, on comprend qu'il ait sans doute voulu préserver la réputation qu'il a pu acquérir dans ce dernier domaine.

Avec raison ; n'est pas écrivain du for intérieur qui veut. Il y a un monde de différences entre présenter une situation, mettre en place une intrigue et maintenir le suspense jusqu'à la fin d’un roman policier d'une part et, d’autre part, peindre les caractères, les états d'âme et l'angoisse de personnages placés dans des conditions extrêmes.
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Forever club 27

Il parait que Dieu a créé le monde en six jours et que le septième, il s’est reposé. Laurent Siegel, vingt-sept ans, est plus tenace. Il parvient à jouer à peu près potablement les sept premières mesures de Purple Haze, mais pour la huitième, ça coince toujours. Pourtant il s’en donne du mal et esquinte avec obstination les oreilles de son frère, le narrateur, de cinq ans plus jeune.



Laurent est obsédé par le nombre vingt-sept. Son âge ! Mais celui aussi auquel sont morts bon nombre de musiciens célèbres : Jimmy Hendrix, le surdoué de la Fender Stratocaster, Brian Jones, le premier guitariste des Rolling Stones, Janis Joplin la Mamma cosmique, Jim Morrisson le chanteur et fondateur des Doors, Kurt Cobain qui pensait atteindre le Nirvana, ou encore Alan Wilson. Quoi, vous ne connaissez pas Alan Wilson, du groupe Canned Heat, qui interprétait On the road again, ce tube qui trottine encore dans la tête des soixante-huitards. Tous sont décédés dans des conditions tragiques.



Entre Laurent et son frère, c’est fusionnel, come s’ils étaient jumeaux malgré leur différence d’âge. Ils vivent en banlieue, à Nanterre, dans un petit studio, au dessus de box à louer, prêté gratuitement par un copain de Laurent. Heureusement que c’est gratuit, car ce ne sont pas leurs nombreux colocataires à six ou huit pattes qui les auraient aidés. Mais le rêve de Laurent, c’est d’aller aux States, à Nashville, le temple de la musique country et de l’industrie du disque. Et pour se rendre de l’autre côté de l’Atlantique, il faut de l’argent, beaucoup d’argent.



Alors ils bricolent dans la fauche. Cela ne leur rapporte pas beaucoup, aussi Laurent à une idée, initiée par des Croates ou des Serbes. Dévaliser un diamantaire, et avec le butin, ils vont pouvoir faire un beau voyage.



C’est sans compter sur le destin qui se matérialise sous la forme d’une gentillette gamine dont Laurent s’entiche. Et c’est réciproque. Stéphanie, il l’a connue dans une boîte, sur le parquet de danse, mais je ne sais pas quel genre de chorégraphie ils ont effectués. Pas du goût du copain de Stéphanie en tout cas, qui a pu goûter aux poings de Laurent sur sa tronche. Et il se débrouille mieux dans la castagne Laurent que sur sa gratte. Le problème, c’est que le frérot ne la sentait pas cette intruse. Et il avait raison !







Cela aurait pu être une histoire convenue de deux frères petits malfrats, mais Eric Fouassier sait monter la mayonnaise dans le tube, et nous offre une chute intéressante.



Le début ravivera quelques souvenirs à tous ceux qui ont, dans les années soixante ou soixante-dix, essayé de tirer des sons pas trop discordants de leurs grattes ou se sont échinés à interpréter des airs comme Jeux interdits, fausses notes à la clé. Et l’on sait que lorsqu’une fille s’infiltrait dans les groupes, cela se traduisait souvent par des tensions entre les membres.



Le plus dur n’est pas de renouveler à chaque fois un genre, mais de s’en inspirer pour écrire autre chose. Et d’étonner les lecteurs. Or Eric Fouassier, romancier éclectique, est un véritable touche-à-tout, passant allègrement du roman noir au roman historique, de la littérature dite générale au roman d’aventures.



Et en bon pharmacien qu’il est, il soigne ses préparations, et n’hésite pas à offrir un antidote à la morosité ambiante, même si tout ne baigne pas dans l’humour.







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L'effet Nocebo

Court thriller avec un bon suspense jusqu'au bout.

Le thème est la mise sur le marché d'un médicament qui n'aurait pas dû s'y trouver.

Ce thème n'est pas nouveau; l'actualité nous alerte bien souvent sur le sujet.

L'écriture est plutôt réussie; toutefois le final est traité bien trop rapidement.

Le soufflé s'effondre, bien dommage ...

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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Un roman historique agréable à lire, fluide et sans grande complexité, ni grande originalité non plus mais il remplit sa mission, le tout sous une trame historique intéressante.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Un bon polar historique avec des accents de roman de cape et d'épée, un vrai régale. L'intrigue est bien mené, le responsable est plus ou moins identifiable rapidement, en revanche le modus operandi, lui, est un mystère jusqu'aux dernières pages. Je lirai très certainement la suite de cette saga.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

J'ai découvert cette série en cherchant quels autres livres avait écrit Eric Fouassier. Comme l'histoire en général m'intéresse et que je ne connaissais que très peu de cette période bien que je connaisse le Chevalier Bayard et l'histoire officielle de la mort de Louis XI. J'ai trouvé que c'était bien écrit. On rentre facilement dans l'histoire en la suivant de divers points de vue. Et je n'ai qu'une envie c'est de lire la suite pour retrouver Héloïse et Bayard même si il semble que les 3 tomes puissent être lus indépendamment.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Quel super moment lecture passé en compagnie du chevalier Bayard.

Depuis que j'ai découvert "le bureau des affaires occultes", Eric Fouassier fait partie de mes auteurs préférés.

Dans ce roman, il "réinvente" la mort de Charles VIII, ce malheureux roi de France mort en se cognant la tête contre un linteau.

Dévoré en deux ou trois jours, j'ai trouvé ce roman trépidant. Oui, trépidant est, je crois, le qualificatif qui lui convient le mieux.

J'ai hâte de lire la suite.





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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Il faut avouer que la mort de Charles VIII se prête très bien aux développements romanesques. On est loin de Dumas, mais ce livre est très plaisant et recrée le climat de cette fin de XVeme avec succès. Si l'identité du commanditaire se devine, celle de l'executant est une surprise. Et c'est avec délices que j'ai vu s'incarner la figure d'Anne de Bretagne. Les héros sont attachants, notamment Heloise. Bref une lecture agréable sans être transcendante.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

J'ai beaucoup aimé écouter cette enquête sur la mort de Charles VIII.

L'auteur restitue bien l'ambiance et l'atmosphère de l'époque. On sent le travail de recherche derrière. Ce qui rend crédible l'enquête et les investigations menés par notre duo.

Les personnages du chevalier Bayard et d'Héloïse sont bien construits et très sympathiques.

J'ai hâte de lire ou écouter la suite.

Le narrateur est très bien modulant sa voix quand il le faut.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Ce polar historique est passionnant ! L'auteur a su mélanger l'histoire (la grande) avec le fruit de son imagination pour nous livrer un récit prenant. Ce livre se lit comme l'on mange une bonne friandise, d'un seul coup et avec bonheur. Et même si cette affaire sur la mort de Charles VIII n'est que fiction, il se conclut sur une vérité de l'époque: que l'intérêt du royaume primait sur tout le reste, et en particulier sur le destin des femmes quelque soit leur niveau social.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Un affaire policière au milieu de la Renaissance qui touche Charles VIII.

Accident ou Assassinat? Le célèbre chevalier Bayart va mener l'enquête assistée de la jeune apothicaire Héloïse.

Un roman envoutant qu'on a beaucoup de mal à lâcher. J'ai beaucoup aimé, je le conseille vivement.
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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..



Dans ce roman nous suivons le jeune Bayard qui se retrouve à enquêter sur la mort de CharlesVIII. Il va ainsi faire la connaissance de la jeune apothicaire Heloise.



Mon avis :

C'est un roman très rythmé dans lequel on ne s'ennuie pas une minute.

Eric Fouassier arrive à meler récit historique et aventure autour d'une intrigue bien ficelée et passionnante.

J'ai passé un très bon moment de lecture.

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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Eric Fouassier est un auteur que j’ai découvert avec « Le bureau des affaires occultes » et j’avais hâte de lire ses autres livres.

J’ai apprécié ce polar historique qui se passe pendant une période que j’aime beaucoup : la Renaissance !

Héloïse est une héroïne dynamique comme on les aime et le personnage de Bayard m’a également beaucoup plu.

Le côté historique n’a pas été oublié et j’ai apprécié en apprendre davantage sur le roi Charles VIII ainsi que sur Anne de Bretagne.

J’ai hâte de lire le tome suivant 🥰


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La saga d'Héloïse, l'apothicaire, tome 1 : Baya..

Charles VIII meurt brusquement à Amboise en 1498. L'occasion pour Éric Fouassier de nous entraîner dans un roman historique passionnant que j'ai dévoré d'une traite ! Intrigue, rythme du récit, descriptions qui donnent l'impression d'être immergé tout autant dans l'époque que dans l'action, suspense... rien ne manque. Hâte de me plonger dans le deuxième volume !
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