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3.68/5 (sur 147 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Toledo, Ohio , le 28/11/1952
Biographie :

Diplômé en mathématiques en 1984 à l’Université du Colorado, David Zindell s’intéressa aussi à la philosophie et à la linguistique avant de se consacrer à l’écriture.

Sa première publication fut The Dreamer’s Sleep en 1984. Ce roman de science-fiction se déroulant dans l’univers de Shanidar, lui permit de gagner le concours Writters for the Future. Il fut nominé au John W. Campbell Award for Best New Writer en 1986.

Après quelques nouvelles de plus, il s’attaque aux romans en écrivant une nouvelle trilogie de science-fiction : A Requiem for Homo Sapiens, dont les deux derniers titres furent nominés pour le prix Arthur C. Clarke.

Au début du nouveau millénaire, il se lance dans la fantasy avec le Cycle d’Ea, une saga épique. D’ailleurs Gene Wolfe dit de lui qu’il est probablement l’un des plus grands talents actuels.

Marié en 1980 avec Melody Scott, divorcé en 1994, il est le père de deux filles et vit à Boulder dans le Colorado.
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Source : www.elbakin.net
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Le plus petit des mensonges peut grossir, comme une morsure de rat peut-être à l’origine de la peste.
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Personne ne peut supporter l’idée d’être anéanti. Personne ne peut supporter l’inexistence éternelle de la nuit.
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Il me semble avoir passé à polir et à aiguiser l'épée de mon âme, frottant la rouille et affûtant sans cesse sa lame pour la rendre plus tranchante. Et maintenant, [...] cette tâche était achevée et il ne restait rien de moi. Et pourtant, paradoxalement, il restait tout.
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Il aimait tellement le monde qu’il pensait pouvoir se charger de toutes ses souffrances. Et la douleur se transforma en un tourment auquel il ne pouvait pas échapper. En réalité, semblable à un robe de feu, elle rendait fou. Mais il se mit à douter des dessins divins qui ne créaient la vie que pour aboutir à de telles souffrances. Plus les âges passaient, plus il lui semblait cruel que les êtres soient obligés de supporter un tel supplice pour finir par mourir. Et l’amour contrarié se transforme en haine…
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Pour Atara, il y avait une bonne et une mauvaise manière de faire les choses, et le moindre de ses actes était exécuté comme si le sort du monde en dépendait.
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Les défauts d’un homme ordinaire : la jalousie, l’obstination, le doute…
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Un ange peut perdre son âme aussi sûrement qu'un homme. Et quand cela lui arrive, sa chute est d'autant plus terrible que son âme est plus grande.
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Les étoiles aussi avaient une sorte de vie, plus profonde, plus sauvage et d’une durée infinie.
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On ne peut pas sauver quelqu’un qui ne souhaitait pas l’être.
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En faisant du mal aux autres, on se fait du mal à soi-même.
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