Ten Wing Media Interviews Margaret Weis (2015).
The Con Men interview New York Times best selling author, Margaret Weis about her career, her animals and what it's like to think like a kender...
Pendant mon enfance, mes parents m’emmenaient à la bibliothèque chaque semaine jusqu’à ce que je les quitte pour aller à l’université. Le jour où j’ai reçu ma première carte « d’adulte » de bibliothèque reste marqué comme un événement particulier de ma vie. Ils m’ont offert le plus beau cadeau qui soit après la vie : la lecture.
C'est à ça que ressemble nos vies, déclara le jeune homme. Prisonniers du temps, nous n'existons que dans l'instant présent. Il n'y a rien devant nous, rien derrière nous.
Les gens ont besoin de croire en quelque chose – même si, au fond d'eux, ils savent que c'est faux.
Quand mes enfants étaient encore jeunes je parvenais à les convaincre de me laisser écrire tranquille en leur promettant que nous irions à Disney World si l'un de mes livres se vendait correctement. Nous sommes allés à Disney World. David avait seize ans et Lizz treize, mais nous y sommes allés.
Travail et moi, nous ne faisons pas bon ménage. On se raccomode de temps en temps, mais ça finit toujours par des disputes. Travail exige que je le poursuive avec persévérance, alors que je suis plutôt enclin à l'abandonner souvent pour faire un petit somme ou boire une coupe de vin à l'arwat. Travail finit toujours par me quitter sur un coup de colère, et je me retrouve sans rien d'autre à faire que dormir, sans argent pour acheter à manger et à boire.
[les auteurs] Tandis que nous rédigions nos romans, nous éprouvions régulièrement la sensation de ne pas tant créer une histoire que de relater les événements survenus en des lieux qui existaient réellement.
La bestiole est en osier, chuchota le nain à toute vitesse. Tass s'est introduit à l'intérieur. Les membres sont articulés. On peut actionner les ailes et le faire parler par un tuyau relié à la gueule. Ça doit être de cette manière que les prêtres s'en servent pour se faire obéir. Quoi qu'il en soit, c'est Tass qui bat des ailes et menace de dévorer Caramon.
- Nous voulons tous les deux avoir ces nomades de notre côté, Imam!
- Avec une différence, ô Roi, dit Feisal, pas du tout décontenancé par le regard courroucé de l'Émir. Tu veux leur corps. Moi, je veux leurs âmes.
Vois-tu, les âmes des enfants à naître sommeillent dans les cieux, dans une belle contrée où les djinnias prennent soin d'elles. Le Dieu Errant visite chaque bébé et lui accorde ses bienfaits. La plupart dorment tandis qu'il passe, mais parfois il s'en trouve un qui s'éveille, ouvre les yeux, et contemple le visage du Dieu. Le rayonnement l'éblouit. Il fait ses adieux à sa santé d'esprit et vient ainsi au monde.
- Ta sagesse ne vient pas du nombre de tes ans, mais de ta capacité à lire dans les coeurs de ceux qui t'entourent. C'est un don dangereux, car cela te pousse ensuite à les aimer. Leur souffrance devient ta souffrance.