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3.91/5 (sur 44 notes)

Nationalité : Irlande
Né(e) à : Dublin , le 9/04/1915
Mort(e) le : 22/11/1983
Biographie :

Leonard Patrick O'Connor Wibberley est un écrivain éclectique et productif, auteur de plus de 100 livres publiés sous son nom ou sous 3 pseudonymes : Patrick O'Connor et Christopher Webb (livres jeunesse) et Leonard Holton (policiers)

Il est connu surtout pour 5 livres satiriques se déroulant dans un pays imaginaire, Grand Fenwick, parmi lesquels The Mouse That Roared.

Il écrit pour les adultes autant que pour les jeunes, des romans, des nouvelles des pièces et des poèmes, de l'histoire et des biographies.

Comme journaliste, il a collaboré au Sunday Dispatch, au the Daily Mirror. Il est allé aux Etats-Unis en 1943, a été correspondant pour the Evening News pendant la guerre. Il est resté en Californie et a travaillé pour Los Angeles Times. Il s'est installé et a écrit à plein temps à Hermosa Beach, California.

À partir de 1959, sous le pseudonyme de Leonard Holton, Wibberley a également fait paraître une série de onze romans policiers ayant pour héros le père Joseph Bredder. Cet ancien marine, devenu aumônier du couvent des Saint Innocents, collabore souvent avec son ami, le lieutenant Minardi de la police de Los Angeles, afin d'élucider des énigmes criminelles par des voies plus « spirituelles » que matérielles.



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Source : http://en.wikipedia.org/
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La souris qui rugissait


Citations et extraits (9) Ajouter une citation
-Bon. Regardez maintenant ce petit bouton, sur le levier de contrôle. Il commande les mitrailleuses. Si quelqu’un essaie de vous barrer la route, pressez dessus.
-C’est que… dit Mme Searwood, ça m’ennuierait de le tuer.
-Vous n’aurez pas le choix. D’ailleurs, il s’agira de quelqu’un que vous ne connaissez pas. Cela ne peut donc vous ennuyer en aucune façon de le tuer. C’est le gros avantage des guerres : on n’assassine que des inconnus…

(Chapitre 14. Mission accomplie)
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Les juges anglais ont coutume, quand un homme se supprime, de rendre un verdict de « suicide par aliénation mentale ». Sans doute ont-ils peur de vexer les gens qui ne se suicident pas. S’ils admettaient, en effet, qu’un individu sain d’esprit ait pu se tuer, on serait en droit de nourrir quelques doutes sur les capacités mentales de ceux qui s’obstinent à vivre.

(Chapitre 5. Veillée d’armes)
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-Je ne suis pas allée à l’école, dit Mme Searwood. J’ai eu un précepteur.
-Ce devait être un homme très remarquable.
-Très, répondit-elle, songeuse. Il m’a enseigné tous les bons principes, puis il est parti avec ma mère. C’était un Français, on ne peut pas lui en vouloir.

(Chapitre 6. Old Grady)
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Mme Searwood adorait les fleurs. C’était le côté « home fleuri » du prospectus qui l’avait incitée à venir habiter la résidence Hakluyt. Elle ne se doutait pas que, dans un jardin carré, les fleurs plantées en petits carrés, dans des plates-bandes carrées, prenaient fatalement un petit air carré.

(Chapitre 2. Une tasse de thé pour deux)
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- […] Si vous restez à Pupton, le Révérend ne pourra pas vous dire bonjour sans que tout le village en parle pendant une semaine… Dans ces petits pays, où il n’y a ni assassinats ni cambriolages de banques, les gens sont bien obligés de se rabattre sur les scandales locaux ; et s’il n’y en a pas, d’en inventer.

(Chapitre 20. Le retour)
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C’était ce qu’on appelle une personne exubérante : exubérance de la gorge et des épaules, qui remplissait son corsage à le faire craquer... exubérance de paroles, les mots et les idées se bousculant dans sa bouche comme la foule de six heures du soir aux portillons des métros.
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Piloter est la chose la plus simple du monde, à condition de ne pas y penser. C’est une émotion, ce n’est pas un effort mental.
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La réaction officielle des Etats-Unis à la déclaration de guerre solennelle du Grand-Fenwick avait été un gros rire du consul, qui avait reconduit Mountjoy à la porte avec une bonne claque dans le dos et cette question pour le moins humiliante :
– Vous connaissez celle de l'éléphant qui rencontre une souris ?
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Aucune erreur n'était possible : cet individu avait au moins six pieds de haut, son teint était basané ; et si l'on excepte une vague draperie qui lui servait de caleçon, il était tout nu.
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