Les Nouvelles Éditions Oswald (NEO) sont une maison d`édition créée dans les années 1980, spécialisée dans la littérature populaire au sein de plusieurs collections, notamment dans le fantastique et le roman noir.
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Dernières critiques
Voici un classique anglais plein de ce charme légèrement désuet qui me plaît beaucoup .
C'est gothique, c'est un thriller avant l'heure, ça se lit avec une grande facilité et un grand plaisir.
Le roman est découpé comme un roman choral pour servir au mieux l'intrigue et faire monter le suspense. Et ça fonctionne plutôt bien, d' autant que cela ne manque pas de rebondissements.
Les personnages m'ont amusée et touchée car ils sont un peu simplistes, comme l'histoire d'amour qui ne semble reposer que sur la beauté de la demoiselle. Mais voilà, c'est aussi son charme. Sans compter le personnage de la "vieille fille", brillante et courageuse, qui vient équilibrer tout ça.
L' ambiance est là, l' intrigue posée dès les premières lignes, la galerie de personnages bien plantée , il n' y a plus qu'à se laisser porter...
C'est gothique, c'est un thriller avant l'heure, ça se lit avec une grande facilité et un grand plaisir.
Le roman est découpé comme un roman choral pour servir au mieux l'intrigue et faire monter le suspense. Et ça fonctionne plutôt bien, d' autant que cela ne manque pas de rebondissements.
Les personnages m'ont amusée et touchée car ils sont un peu simplistes, comme l'histoire d'amour qui ne semble reposer que sur la beauté de la demoiselle. Mais voilà, c'est aussi son charme. Sans compter le personnage de la "vieille fille", brillante et courageuse, qui vient équilibrer tout ça.
L' ambiance est là, l' intrigue posée dès les premières lignes, la galerie de personnages bien plantée , il n' y a plus qu'à se laisser porter...
« L'esprit est un organe différent le jour et la nuit. »
Avec malice, ce livre est toujours à la tangente entre humour et horreur, fantastique et réel trop indicible, amour et malheur, richesse et pauvreté, dignité et perversité, vie en société et isolement, intelligence et idioties, langage châtié et roturier, certitude et doute. Il mérite à coup sûr le détour si on est prêt à prendre du temps pour savourer sa galerie de personnages dont on sent intuitivement que, pour chacun, l'auteur s'est attaché à dépeindre les traits.
Avec malice, ce livre est toujours à la tangente entre humour et horreur, fantastique et réel trop indicible, amour et malheur, richesse et pauvreté, dignité et perversité, vie en société et isolement, intelligence et idioties, langage châtié et roturier, certitude et doute. Il mérite à coup sûr le détour si on est prêt à prendre du temps pour savourer sa galerie de personnages dont on sent intuitivement que, pour chacun, l'auteur s'est attaché à dépeindre les traits.
Un bon Masterton, qui commence gentiment, et qui fini en Apocalypse. On reste tout le roman dans un Los Angeles puant, dans le milieu des gros et gras pontes de Hollywood, les décideurs, les millionnaires, producteurs puants et starlettes mal élevées. On y suit un scénariste qui gagne sa croûte en écrivant des scenarii de feuilletons, et qui rêve du gros coup. Et quand le "maléfique" arrive, avec ce miroir, la réalité prend une nouvelle dimension, et Masterton s'en donne à coeur joie. Il nous offre quelques scènes terrifiantes, avec des créatures sorties tout droit de l'enfer, une petite visite bien dérangeante de l'autre côté du miroir, et un petit gars blondinet qui sait ce qu'il veut :)
