Un roman d'initiation estivale qui interroge la culpabilité du survivant et la dette liée aux traumatismes de la guerre pour ceux qui ne l'ont pas subie.
La plume d'Erri De Luca est toujours poétique et n'échappe pas à une certaine grandiloquence mais l'auteur surprend par son alchimie littéraire, à faire de beaux romans à base de sujets archi plombés (les nazis, la camaraderie masculine, le premier amour...).
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Une histoire relativement originale et plutôt intéressante qui n’a pas été suffisamment développée à mes yeux.
Le style, pas désagréable au demeurant, varie parfois étrangement d’une page à une autre. Peut-être à cause de problèmes de traduction?
L’œuvre m’est donc apparue par moment séduisante mais tout autant déroutante. Le choix de l’auteur, peu judicieux à mon goût, de laisser nombre de questions en suspens m’a également laissé sur ma faim.
Une déception compte tenu, aussi, des nombreux avis élogieux lus ici.
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