Fondée en 1780 par Donat Casterman, la maison Casterman débute avec des publications religieuses et des ouvrages destinés à la jeunesse, puis intègre le monde de la bande dessinée dans les années 1930 en éditant les albums de Tintin. La production est sélective (moins de 100 nouveautés par an) mais fait office de référence dans le monde de la BD. Aujourd`hui, près d’une bande dessinée sur 7 vendues dans la francophonie est un album Casterman.
Chère Annelise Heurtier,
J’ai beaucoup apprécié lire le livre que vous avez écrit. J’ai adoré le thème et surtout le fait que tout au long de la lecture il se passe beaucoup de choses.
Dès le début, le livre m’intéressait déjà, surtout le passage de février 1930. Nous savions déjà que Maurice Seguin et Georges Bartholomoy avaient prévu quelque chose aux canaques, mais nous ne savions pas encore ce qu’ils leur réservaient ni pourquoi.
Ce passage est intrigant et m’a donné envie de continuer la lecture du livre pour en savoir plus sur cette histoire, mais surtout de savoir ce qu’allaient devenir les canaques au fur et à mesure.
Quelques chapitres de ce livre m’ont parus très tristes (surtout le 2e chapitre). Edou et son ami Henri n’avaient jamais le droit de se reposer, et devaient constamment être en train de travailler, ou d’effectuer des corvées : « Edou profitait de l’absence de surveillance pour se reposer. » page 31, « Edou n’avait aucune envie de réaliser ces travaux » page 31, « toi, tu balayes la route » page 34. Mais j’ai surtout ressenti de la peine pour Edou à la fin de ce chapitre, car les agents de police étaient venus proposer quelque chose d’intéressant à Henri, et non à Edou, il avait été rejeté par les agents sans même savoir pourquoi. J’ai trouvé que ce chapitre rendait la lecture encore plus intrigante et intéressante, car j’avais hâte de découvrir ce que les agents préparaient.
J’ai beaucoup aimé cette histoire et en particulier la fin.
Le passage de la fin où Edou préfère sauter du train pour rester avec la personne qui l’a aidée et soutenu durant son voyage difficile à vivre m’a beaucoup marquée et j’ai trouvé que c’était une très belle fin. Néanmoins j’aurais aimé qu’il y ait plus de personnages filles, j’ai trouvé qu’il y avait énormément de personnages garçons et qu’il manquait peut-être la présence de personnages féminins.
Merci beaucoup d’avoir écrit ce livre.
Débora B.
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Un manga très sympa malgré la dureté des évènements qu'on suit. Ne jamais se fier aux apparences ou aux rumeurs sera la première leçon que je retiens. La deuxième est que l'union fait la force. Suivez avec beaucoup d'attachement les aventures de ces survivants qui se réunissent pour reconstruire leur village et s'en sortir tous ensemble.
Les graphismes sont très agréables. Une bonne lecture, hâte de lire la suite.
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