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Casterman [corriger]

Fondée en 1780 par Donat Casterman, la maison Casterman débute avec des publications religieuses et des ouvrages destinés à la jeunesse, puis intègre le monde de la bande dessinée dans les années 1930 en éditant les albums de Tintin. La production est sélective (moins de 100 nouveautés par an) mais fait office de référence dans le monde de la BD. Aujourd`hui, près d’une bande dessinée sur 7 vendues dans la francophonie est un album Casterman.

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Dernières critiques
D.R.U.G.S.

J’adore ces auteurs, j’ai adoré tous les livres que j’ai lu et celui-ci ne fait pas exception. Cela a été un véritable coup de cœur, l’histoire est passionnante et touchante.



Dans cette histoire, les drogues sont personnifiées, j’ai trouvé cela très intéressant. De plus même s'il y a 4 points de vue, c'est vraiment centré sur les drogues qui sont à la première personne. Je trouve qu’avoir choisi cette façon d’écrire permet de vraiment mettre en avant les vices de ces dernières, à quel point elles peuvent amener à la perdition. Et même si elles peuvent sembler cruelles, elles ne sont pas les seules responsables de ces tragédies.



Au fil de la lecture, on y voit la déchéance petit à petit, les chutes, les rémissions, les tentatives pour s’en sortir et les différentes fins de ces consommations excessives….



Personne n’est à l’abri des addictions, même les choses les plus anodines peuvent tourner au pire….
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Deathco, tome 7

C’est sans surprise aujourd’hui que je vais vous dire que j’ai aimé Deathco.

Voilà, fin du post, merci bonsoir.



Ah? Je dois développer? D’accord.



Tout d’abord, j’ai adoré l’esthétique, comme toujours avec Atsushi Kaneko. Il joue énormément avec les contrastes, les ombres, créant des dessins simples mais maitrisés. On sent que son style a déjà évolué et s’est affiné par rapport à Bambi qui date de 1998 - alors que Deathco a été publié en 2014.



Bref, ça on le savait déjà, que j’aimais son univers graphique.
Mais l’histoire, elle dit quoi?



Bah elle dit -feur. Non, j’ai pas osé faire ça. Bah si. Sorry not sorry!



Pardon, je me reprends. Donc!

Deathko est une jeune fille animée par une seule chose : tuer. C’est donc sans surprise qu’elle est membre d’une guilde de tueurs à gage, surnommés ici les Reapers. Sous la protection de Madame M, une femme obèse qui ne pense qu’à ce qu’elle pourrait engloutir devant sa télé, Deathko passe ses journées à créer des jouets machiavéliques mortels et à attendre qu’une tête soit mise à prix.



Et même si les deux premiers tomes semblent plutôt redondants, une trame de fond se met petit à petit en place et m’a tenue en haleine jusqu’au dernier chapitre. Le trio principal -dont je ne vous dévoilerais pas le troisième luron- est intéressant et pleins de mystère avec des personnalités très différentes. Le passé de certains personnages sont dévoilés, ce qui permet de mieux comprendre leurs état d’esprit ou leurs enjeux.



Deathco a su se frayer une place dans mon top 3 de Kaneko, après Evol et Bambi, of course!

Une belle lecture qui m’a fait passer un très bon moment avec un final qui était excellent à mes yeux.



Une série complète en 7 tomes, encore disponibles en neuf mais également d’occasion!
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Le château des animaux, tome 1 : Miss Bengalore

« La ferme des animaux » revisitée.



Le taureau Stilvio, entouré de sa garde rapprochée de chiens féroces, règnent, en maître et par la terreur, sur son peuple constitué d’oies, lapins, ânes, chats.



Allégorie qui résonne particulièrement, dans notre monde contemporain rendu fou par des tyrans aux manettes de grandes nations.



Petit bémol sur cet ouvrage: sentiment de« rester sur sa faim » à la fin de la BD: pas de « the end », mais, comme tout scénario de série, une dernière scène qui pousse à lire la suite.
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