C’est sans surprise aujourd’hui que je vais vous dire que j’ai aimé Deathco.
Voilà, fin du post, merci bonsoir.
Ah? Je dois développer? D’accord.
Tout d’abord, j’ai adoré l’esthétique, comme toujours avec Atsushi Kaneko. Il joue énormément avec les contrastes, les ombres, créant des dessins simples mais maitrisés. On sent que son style a déjà évolué et s’est affiné par rapport à Bambi qui date de 1998 - alors que Deathco a été publié en 2014.
Bref, ça on le savait déjà, que j’aimais son univers graphique.
Mais l’histoire, elle dit quoi?
Bah elle dit -feur. Non, j’ai pas osé faire ça. Bah si. Sorry not sorry!
Pardon, je me reprends. Donc!
Deathko est une jeune fille animée par une seule chose : tuer. C’est donc sans surprise qu’elle est membre d’une guilde de tueurs à gage, surnommés ici les Reapers. Sous la protection de Madame M, une femme obèse qui ne pense qu’à ce qu’elle pourrait engloutir devant sa télé, Deathko passe ses journées à créer des jouets machiavéliques mortels et à attendre qu’une tête soit mise à prix.
Et même si les deux premiers tomes semblent plutôt redondants, une trame de fond se met petit à petit en place et m’a tenue en haleine jusqu’au dernier chapitre. Le trio principal -dont je ne vous dévoilerais pas le troisième luron- est intéressant et pleins de mystère avec des personnalités très différentes. Le passé de certains personnages sont dévoilés, ce qui permet de mieux comprendre leurs état d’esprit ou leurs enjeux.
Deathco a su se frayer une place dans mon top 3 de Kaneko, après Evol et Bambi, of course!
Une belle lecture qui m’a fait passer un très bon moment avec un final qui était excellent à mes yeux.
Une série complète en 7 tomes, encore disponibles en neuf mais également d’occasion!
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