Gallimard BD [corriger]

Yopougon est un quartier plus qu'animé de la ville d'Abidjan. Le récit se centre autour d'Aya, une jeune femme sérieuse et ambitieuse, mais sa présentation n'est pas vraiment immédiate. Nous commençons par explorer le cercle social qui l'entoure. Malheureusement, je ne suis pas familier avec le langage spécifique des Ivoiriens. J'aurais peut-être dû commencer par les notes de fin pour apprécier pleinement chaque terme employé.



Les actions de ses amies, Adjoua et Bintou, m'ont d'abord déboussolé. Puis, j'ai été consterné par l'attitude des garçons dans leur entourage. Cependant, c'est précisément dans ces interactions que j'ai commencé à apprécier les actions de chacune dans un monde où les relations amoureuses sont étroitement liées à la qualité de vie. Une scène en particulier, qui a lieu dans un marché de nuit, est glaçante. Je tiens à saluer la réaction d'Adjoua. J'ai adoré les couleurs et les dessins sur ces planches.



Je découvre alors Aya, une jeune femme inspirante, ambitieuse et rigoureuse. Les adultes dans le récit ont un côté attachant que je ne saurais décrire. La narration est habile, mêlant avec succès les défis sociaux et l'humour pour nous offrir une fresque vivante de cette époque. J'espère que le deuxième tome permettra de voir les ambitions de chacune évoluer et qu'il ne traînera pas en longueur. C'est en tout cas avec plaisir que je continuerai cette lecture.

Lightfall tome 1.

C'est une grande aventure avec des personnages qui n'existent pas dans la vraie vie. C'est une fille qui habite dans la forêt et son grand-père cochon est parti.

Elle part à l'aventure pour le rechercher. La jeune fille rencontre un galdurien qui s'appelle Cad. Il parcourt le pays et rencontre beaucoup de monstres comme le crabe grand, des abeilles dangereuse, les tikarries (des oiseaux méchants).

J'ai aimé ce livre car j'aime les BD d'aventures et de suspenses. Au début du livre, je n'ai pas compris, mais à la fin, on comprend mieux.

J'ai adoré ce livre !



Tyméo.J

Dyslexique =dysorthographique.

la saga du clan des otori est un plaisir ineffable.

Entre les volumes du clan des otori et Shikanoko, vous voilà partis dans un monde fantasmagorique, historique, honirique et passionnant.

Il faut juste avoir le temps 🤗😊

Personnellement cela m'a passionné.



Même si je n'ai jamais pu comprendre l'essence des japonais.

Mélange du raffinement extrême dans la beauté et dans l'horreur.

Pour moi, la quadrature du cercle,

Mon esprit occidentale est un obstacle à l'esprit asiatique, et surtout japonais.

(Comme exemple : Deux langages-où prononciation-celui des femmes et celui des hommes !)

Relire Stupeur et tremblements