Je me suis régalée :-)



Une histoire où l’on retrouve les personnages du précédent opus et j’adore ça :-)



Une auteure qui tout en restant bien documentée sur les us et coutumes de l’époque s’oriente vers les cas difficiles. Pas juste une belle histoire d’amour, pas juste une passion dévorante, juste une rencontre qui bouleverse toute une construction intérieure et c’est plutôt réussi :-)



Quand Leah, la sœur de Darius, rencontre Nicolas, il n’y a pas vraiment d’étincelles : une jeune fille qui a vécu une belle histoire qui se termine dans le sang et un jeune homme qui bien que séducteur se condamne au célibat ou au mariage blanc, pas vraiment le tableau du couple parfait :-p Et pourtant, les deux veulent se comprendre et se protéger et l’aventure peut alors commencer ;-)



Un récit rythmé par la situation difficile et délicate de l’héroïne, du suspense lié au passé incompris du héros, beaucoup d’humour et toujours cette touche de ‘rouge’ que l’auteure maîtrise particulièrement bien.



Une lecture plaisir que je vais prolonger avec le tome suivant ;-)

CHARLES, LE ROI DÉMON



Rin fait l'amour avec "Charles" "Le démon" (Nous possédons le même prénom!) oh la la je vais encore pécho (lol)... L'histoire démarre au milieu x) ... Qu'est ce que l'univers m'envoie comme message ahah?... "Reste avec moi des centaines de milliers d'années..."



En même temps, Charles, c'est typiquement un nom de Roi.



Le couple est très mignon et ça m'a tout l'air d'être une relation Vanille. Même si Rin semble avoir peur de l'abandon, un peu...



Rin enseigne à Charles le monde des humains.



"Peut-être que sa promesse n'était qu'un délire passager...?"



Un virage très Ecchi...



Je le savais qu'ils allaient encore me faire cocu !



On dit que Charles est le Roi des démons ! Je trouve que la façon dont on l'apprend fait un peu cheveux sur la soupe.



Mais Charles a de la concurrence ! En la personne de Shô.



Le Roi Charles possède un temps précieux, et il en passe beaucoup avec Rin, une simple roturière, il lui dit qu'elle pourrait montrer un peu de gratitude. Les codes du manga nous habituent à ce que l'autre parti se révolte et clame son importance, là on a un "merci" et un câlin.



Bonne Lecture.



En bref____

Rin & Charles passent leur temps à Faire l'Amour, le Roi des Démons et une Humaine Lambda. Un manga réaliste. Ecchi. Rin s'inquiète pour l'avenir.



Positif____

Cela s'enchaine très vite sans temps mort.

Un plaisir d'entendre mon prénom.



Négatif____

Un énième manga qui se passe au Lycée.

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Phoenix

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Pas mal du tout !



Déjà difficile d’être un cadet et quand en plus on a un père méprisant, violent et incompétent, il vaut mieux se tenir à carreau et se débrouiller seul. Plus facile à dire qu’à faire car sur son petit domaine, il faut finir les fins de mois et payer le personnel aussi réduit soit-il ! Une seule solution, devenir gigolo et c’est pas vraiment drôle tous les jours surtout quand on a un grand cœur et qu’on veut protéger sa famille des cancans qui s’ébruitent vite dans la haute société.



Difficile aussi d’être une vieille fille pourtant mariée depuis cinq ans à un homme bon et vieux et miné par les souvenirs enchantés de son épouse décédée. Déjà, il a fait une bonne action en épousant, au décès de cette dernière, sa dame de compagnie dans le collimateur de son beau-père. Pas facile non plus de perdre non seulement son épouse bien-aimée mais aussi ses deux fils et donc, ne reste qu’une solution, sa jeune épouse doit se retrouver enceinte au plus vite !



Et voilà l’aventure qui commence par un mois d’apprentissage d’amour en chambre entre un perfectionniste de la chose et une douce innocente qui n’a pas sa langue en poche. Surprenant donc de commencer un roman par la partie érotique et bien rouge qui passe pourtant très bien car poétiquement écrite avec beaucoup de tendresse et d’humour. Après, et bien l’histoire se complique car s’il y a des gentils tout plein, il y a aussi des personnages bien mal intentionnés dans ce récit.



J’adore la plume de cette auteure qui s’est très bien documentée sur les mœurs de l’époque que ce soit concernant l’éducation des enfants, les enfants illégitimes et les problèmes liés à la grossesse et à l’accouchement. Un rythme soutenu au début par les leçons d’Amour et ensuite par les difficultés des protagonistes à rester à distance. Des personnages super bien campés où les personnalités sont bien développées et du coup, on a beaucoup de mal a les quitter quand la dernière page se tourne.



Une auteure que je suis donc, il me reste huit tomes à lire pour conclure la série des « Lords solitaires » et le tome 2 me fait déjà un clin d’œil ;-)

Une lecture légère et sans prise de tête, passionnant et haletant, j'ai adoré. La trame de l'histoire est bien faite, les personnages sont attachants, le style est fluide, c'est ce que l'on appelle un roman à l'eau de rose mais ça fait du bien de temps en temps.

Je lirai la suite avec plaisir !

UN ECCHI STANDARD ...



Le couple va formidablement bien l'un avec l'autre.



Mahiro & Rei se fréquentent de façon très intime mas ils ne sont pas Frères et Soeurs par le sang, c'est juste leurs parents qui se sont mis ensembles. Enfin, ça devrait être assez pour que les fans d'inceste ne culpabilisent pas trop.



Rei est jalouse... Mahiro trouve cela charmant...



Eh oui "Teach me love !" c'est aussi des tragédies... Jalousie, amour, déception, engagement Réciproque ou non.



Le personnage de Mahiro est pas compliqué. Tout lui va. Enchainer les meufs?! Ok! Être l'Homme d'une seule?! Ok aussi!



En bref ____

Liés par l'union et leur parents, Rei et Mahiro passent leur temps à se tripoter. Cependant leurs sentiments sont véritables, mais le parcours n'est pas dénué d'embuches.



Positif____

Sexy.

Les personnages sont bien écrits.

Un poil d'humour...

Une partie érotique bien menée.

Une histoire d'amour qui à des choses à raconter...



Négatif____

La relation "en cachette" qui fait trop teenager à mon goût.

Des longueurs...

Recyclage du gag "pris sur le fait" ...

Ce aurait pu s'appeler "Teach me Sex"

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Phoenix

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La sportive, c'est l'histoire d'une femme qui fait du sport. Bon, jusqu'ici, ça se tient. Mais non en fait. Elle fait deux sport sur deux pages et baise pendant trente autres. Activité physique certes, mais sport... Discutable. Côté scénar, on n'aura pas mal aux cheveux : la miss fait un footing, croise un mec, et paf ! Une telle maîtrise de la narration laisse admiratif (ou pas).

Pendant ce temps, une autre femme, pas sportive elle (donc qu'est-ce qu'elle fait là ?) se tape aussi des mecs de son côté. Y a pas tellement entre ce "fil narratif" (entre guillemets, parce que v'là l'intrigue de folie...) et l'autre.

Rien n'a donc de sens dans cette BD, comme dans tout ce que font Nill et Doni.

Et pour bien faire, c'est mal dessiné (comme dans tout ce que font Nill et Doni, bis), donc de ce côtélà non plus, il n'y a rien à sauver.
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Si vous chercher le joyau du Nil, passez votre chemin. Celui-ci, de Nill, prend deux L et son album n'a rien d'un travail d'orfèvrerie serti de pierreries resplendissantes. Le dessin est médiocre, comme il l'a toujours été sans le moindre progrès depuis ses débuts. Ça doit faire 10, 12, 15 ans qu'il exerce sans jamais avoir appris en quoi consistait le métier dessinateur.

Le scénario, pas mieux. Voire pire. Oui, c'est possible. Inceste à gogo, faut aimer la thématique glauque, moi elle me donne envie de gerber. Rien à sauver de cette BD.
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Scénario inexistant, personnages falots, dialogues creux, dessin grossier et amateur et des scènes de boule déjà vues mille fois en mieux, le tout dans un environnement cliché d'une banalité consternante.

Ni fait ni à faire, une parfaite catastrophe.
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L'avis d'Ophélie:

J'avais quelques doutes sur ce deuxième tome, mais après avoir tournée les dernières pages, je peut dire que c'était une assez belle fin.



Dans ce deuxième tome, nous avons fait un "petit bond dans le temps" au côté de Marjorie. On la retrouve après l'événement finale du tome 1, complétement détruite et vidée. A la suite de cela, elle va essayer de se battre contre son traumatisme et contre la Confrérie. Il faut le dire tout de suite, ce tome est assez bouleversant avec des thématiques très lourdes et des personnages "torturés" par leurs émotions.

Malgré cela, le livre a une belle mentalité avec des personnages combatives et impressionnants. Un des points forts du livre, c'est le point de vue de Marjorie et de Morgan qui nous permet de comprendre à la perfection toutes l'histoire entre les deux personnages mais aussi des rebondissements que nous n'aurions pu pas savoir si nous n'avions eu que le point de vue de Marjorie. Malgré cela, j'ai été un peu dérouté par le fait que Marjorie et Morgan ont une relation sexuel assez tôt, selon moi, au vu du traumatisme de Marjorie. Certes l'autrice a beaucoup développé ce point et en ayant refermé le livre, on comprend la relation particulière qu'on les deux personnages, mais au début du deuxième tome, c'est un peu déroutant.

Malheureusement pour moi, j'avais déjà découvert un des plots twists finales. Je n'était donc pas aussi surpris que Marjorie, mais le point de vue d'un autre personnage de l'histoire me permettait de découvrir l'arrière de tout cela et de vouloir quand même finir le livre avec plaisir.

A contrario, il faut souligner qu'un des plots twists du livre concernant Loup/Morgan était une réelle surprise et j'ai apprécié que l'autrice développe ce sujet ci.



Un des points que j'ai particulièrement aimé dans ce tome, c'est le développement des personnages secondaires. En effet, dans ce livre, on en apprend plus sur des personnages secondaires que nous avons aperçus dans le tome 1. Cela rend ses personnages complet et très attachants au vu des traumatismes subit. Les deux personnages "secondaires" auquel je me suis le plus attachée, sont forcément Jimmy et Aaron/Byrne. Ce sont deux personnages qui ont vécu des choses terribles mais qui ont quand même cette joie de vivre et cette espoir de sans sortir. Je serais vraiment ravie d'avoir des spin-offs sur ses deux personnages.



Une série captivante qui soulève des problèmes importants mais compliqués. A lire mais pas avant 18 ans et surtout à faire attention aux triggers warnings.
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Le Portier des Chartreux / Jean-Charles Gervaise de Latouche. (1715-1782)

Le narrateur, éloigné à présent des vains plaisirs et des voluptés dangereuses, rend grâce au Tout-Puissant dont la miséricorde l’a retiré de l’abîme du libertinage et lui donne la force de narrer ses égarements pour l’édifications de ses frères humains. Bien sûr, tout homme est homme et les moines en particulier puisqu’ils ont eux aussi la faculté de travailler à la propagation de l’espèce, tâche dont ils s’acquittent si bien !

On va donc aborder les mémoires de Saturnin, le portier des Chartreux.

Il a vécu son enfance chez un paysan nommé Ambroise et longtemps il a cru que celui-ci était son père. En vérité, Ambroise était seulement le jardinier d’une maison de campagne où les moines Célestins allaient en villégiature. Sa femme Toinette fut sa nourrice : elle venait juste de perdre son nouveau-né, qui fut vite enterré et celui issu des moines fut mis à sa place.

Toinette était la plus fringante des femelles et notre narrateur en grandissant, s’écrie : « Ah ! je sentais bien que je n’étais pas son fils, ou que j’aurais volontiers passé sur cette qualité ! Surtout quand il l’entendait à travers la cloison de la chambre en pleine action avec un homme, ce qui attisait sa curiosité… La surprise fut de taille quand il put voir à la dérobée l’acteur en question ! ce qui éveilla en lui un feu inconnu…

À quelque temps de là, le jeune garçon fait part de ses découvertes à sa sœur Suzon, un peu plus âgée que lui et qui vient de sortir du couvent, avant d’avoir vers elle des regards concupiscents. Une visite inopinée ensemble à la marraine de Suzon lui fait découvrir encore du nouveau tout en babillant.

Saturnin, c’est son nom, ignore alors que Suzon a beaucoup appris au couvent au cours de nuits torrides avec sœur Monique, une novice comme elle, et ne craint pas de lui dire qu’elle en sait plus que lui sur le plaisir. Elle raconte alors en détail à Saturnin les délices nocturnes du couvent… Ne voulant être en reste, Suzon raconte à Monique les façons de faire de leur confesseur.

Sœur Monique explique à Suzon que pour plaire aux hommes, il faut faire montre d’un certain art et stimuler leur imagination en ne dévoilant que le minimum de leur corps. Et elle lui apprend encore beaucoup d’autres choses que Suzon va ensuite au fil de la conversation porter à la connaissance de Saturnin.

Afin de parvenir à ses fins avec Suzon, Saturnin le voyeur des ébats de Toinette et de l’abbé grâce à une ouverture dans le mur de séparation des chambres, a plus d’un tour dans son sac pour la faire changer d’avis.

Afin d’éloigner un peu Saturnin de Suzon, Toinette le confie au curé au sein d’un petit pensionnat, un homme au facies malin et cultivant volontiers les vignes du Seigneur et non avare de caresses à l’endroit de sa gouvernante Madame Françoise et de Nicole, une jeune fille soi-disant sa nièce, une pouponne objet aussi des tendres vœux de tous les pensionnaires.

Mais en attendant, Saturnin espère retrouver Suzon au château de Madame Dinville, où il est invité.

Madame Dinville ne ménage en aucune façon la vue de ses charmes au jeune garçon, charmes dont juste un drap jaloux dérobe l’apparence, quand soudain s’avance Suzon ! Laquelle choisir ? L’expérience et l’ingéniosité, la ruse et le talent de Mme Dinville va faire le reste.

Le retour chez Mme Françoise et sa servante Nicole, toutes deux au service du curé va entrainer Saturnin dans des aventures rocambolesques riches de quiproquos en tout genre.

S’en suit dans une seconde partie une violente diatribe à l’encontre des moines et leurs penchants à l’oisiveté, la paresse, la paillardise, le mensonge et la lâcheté. Saturnin, d’abord novice puis profès et enfin père finira comme portier du couvent ! Perdues Toinette, Suzon, Nicole et Mme Dinville ! Mais le père André lui réserve quelques surprises avec une certaine Marianne et le père Casimir derrière les grandes orgues de l’église, et lui enjoint de faire assaut avec Gabrielle sa voisine. Une voisine très particulière…

Mais il arrive un jour qu’une trop grande dissipation entraine une inappétence chronique et que seul un mets succulent peut remédier à cet état. Et selon le père Siméon, seule une parfaite dévote pourrait rallumer les feux éteints et mettre un terme à une dommageable léthargie. Le poste de confesseur devrait lui faciliter la tâche. Et la première jeune dévote qui se présente lui réserve un jour une belle surprise.

Plus tard, Saturnin retrouve Suzon et lui narre ses mésaventures et Suzon fait de même. Ils sont heureux de se retrouver. Mais pour combien de temps ?

Jean-Charles Gervaise de Latouche fut avocat au Parlement de Paris et membre de l’Académie des belles lettres de La Rochelle. Il écrivit plusieurs ouvrages licencieux qui connurent un certain succès. Les aventures rocambolesques, libertines net licencieuses de Saturnin, moine débauché, se veut être une dénonciation sur le mode ludique, de la luxure du clergé au XVIIIe siècle. Érotique, ce roman est avant tout une initiation au plaisir en cette époque des Lumières qui voyait une liaison étroite entre bonheur et libre expression de la sexualité. Souvenons-nous notamment des œuvres érotiques de Denis Diderot. C’est un roman facile à lire, sans grande théorie philosophique ou moralisatrice, mais d’une rare efficacité dans son pouvoir d’évocation de la recherche à assouvir le désir et donc à connaître le plaisir. Le désir est consubstantiel à l’homme et à la femme : c’est une loi de la Nature. Ni remords ni amour ou presque dans cette fresque érotique hautement blasphématoire publiée en 1741 !

J'avoue, j'ai bien ri à quelques uns des gags que Zep trouve autour du sexe. C'est pas hilarant, ni la meilleure BD que j'ai lu à ce propos, mais pour un auteur comme Zep, on s'y retrouve !



Le style de dessin est celui habituel de l'auteur, on se retrouve en territoire connu même si du coup j'avoue que ça reste assez peu érotique. Cela dit, on est plus là pour s'amuser, et à ce niveau le dessin est efficace.

Les gags sont variés et sur plusieurs proposent de varier les blagues habituelles que l'on pourrait imaginer, notamment en mettant en scène des femmes plus entreprenantes qu'on ne le représente habituellement. Par contre, je dois noter quelques gags qui tombent à plat ou des idées que je trouve mal développées, étirées sur une page quand une seule case aurait suffit. Ces petits ratés m'incitent à rester sur un 3* mais je reste dans une bonne appréciation générale de l'ensemble. Recommandé !

Motoki est au Bureau chez Lui et Sa « Future Ex » lui reproche de ne pas l’aimer assez. Il va devoir lui promettre une soirée entre amoureux. De son côté, Tomo à une panne de réveil et avoue avec candeur avoir trouvée une super bonne vidéo cochonne, complimentant l’actrice et proposant à son chéri de la regarder ensemble. (Bisexuelle spotted !).



Tomo parle cru « Elle est géniale ta bite ! » aha ! Son chéri le Lui reproche « Les filles ne doivent pas parler comme ça » pff… C’est tellement beau une femme qui parle mal,lol ! …



Elle finira par lui dire Stop ! Rêvant d’un ou une partenaire qui la fera mieux s’épanouir. Tomo joue aux MMORPG & quelle Geek Girl attachante !



Muratang, le JH joueur de MMORPG ouvert d’esprit sera le perfect match. Motoki ; de son vrai nom.



J’ai eu de la compassion pour ces personnages et même eu l’impression de faire l’amour avec eux.



L’essentiel du manga réside dans les dialogues très cash entre Tomo et Motoki.



On a reconnu « Dsicord » dans le manga.



Les 2 héros sont des genres de Sex Friends.



Une fois qu’ils se sont trouvés, cependant, il n’y a plus aucun suspens. Et passé l’admiration du côté atypique de Tomo, la deuxième partie est bien vide…



Merci @Erilalios de l’avoir Spotted …

Phoenix

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« Mahiro » s'explique « Désolé, je ne le fais qu'une fois avec la même fille » ça ressemblerait pas à « How I meet your mother » par exemple ? (Même si je n‘ai vu que des extraits). Un Don Juan, j'espère qu'il y aura son équivalent Féminin. (NB : Oui !).



J'ai failli acheter ce Livre mais je le retrouve ici donc c'est bien.



Mahiro s'interroge sur la nature du sexe. Qu'est-ce que c'est réellement à part de façon très concrète ? ….



« Une grosse déprime dont je ne peux parler à personne » à Cause de Rei…

La mère de Rei Sadaoka et le Père de Mahiro se marient…

« Ne m'approche pas trop, sale racaille »…



« Je ne me vois pas vivre… avec un type qui ne pense qu'au sexe. »



« Si vraiment … Je ne pense qu'à ça… Alors c'est normal que ça se finisse comme ça, pas vrai ? » Ils couchent. Sans aller jusqu'au bout.



« J'ai toujours eu envie… Que tu me prennes sauvagement » C'est pour ça qu'elle essayait de le provoquer. On parle de « Vrai Visage » « Je refuse de me renier » Obsédée sexuelle assumée.



Il y a du bondage… C'est une Livre qu'on peut utiliser pour se faire plaisir et/ou pour sa qualité Littéraire. Il n'est pas dangereux pour la conscience comme certains…

Ça reste correct…



Mahiro a pour principe de ne coucher qu'une seule fois avec la même fille mais Rei cette vicieuse lui fera transgresser cette règle. A l'attaque !



« L'amour n'est rien de plus… Qu'un jeu où on se met en valeur… Pour attirer l'autre. »



J'ai eu un rire franc quand les Lycéennes trouvent les deux héros un peu déshabillés et y a un genre de « c'est pas ce que tu crois » trop rigolo x--) …



« Je vais finir par te trouver mignonne… Même si je sais que tu es perverse »

« Teach me Love » vient du fait que Rei & Mahiro connaissent très bien le sexe mais très peu l'amour, alors ils vont apprendre car ils se ressemblent…



La fin m'a (agréablement) surpris.



Un très bon manga à Lire sans hésiter.



Phoenix

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Courte nouvelle érotique qui raconte la rencontre d'une américaine et d'un guardian en Camargue. C'est chaud, joliment troussé, on ne peut qu'apprécier si on aime ce type de récit.

Aurais-je du commencer par lire Sixella avant Lilith dont j'ai fait une critique ? Peut être mais c'est en lisant Lilith qui m'a donné envie de lire Sixella.



J'ai autant été envouté dans ce conte onirique côtoyant la belle Sixella accompagnée d'Iris un robot anthropomorphe où les deux protagonistes errent sur une planète entourés de plantes aphrodisiaques.



Si on ne sera pas trop regardant sur l'histoire qui s'avère légère en dialogue c'est surtout la patte graphique qui attire l'oeil. Janevsky utilise des tons pastels et des couleurs froide qui s'imprègnent parfaitement dans cette ambiance de science fiction poétique et sensuelle.