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Max Planck (Allemagne) : Prix Nobel de physique 1918. En témoignage des services rendus à l'avancement de la physique par la découverte des quanta d'énergie.

Albert Einstein (Suisse) : Prix Nobel de physique 1921. Pour ses contributions à la physique théorique, spécialement pour sa découverte de la loi de l'effet photoélectrique.

Niels Bohr (Danemark) : Prix Nobel de physique 1922. Pour ses contributions à la recherche sur la structure des atomes et sur le rayonnement qu'ils émettent.

Louis de Broglie (France) : Prix Nobel de physique 1929. Pour sa découverte de la nature ondulatoire des électrons.

Werner Heisenberg (Allemagne) : Prix Nobel de physique 1932. Pour la création de la mécanique quantique, dont les applications ont conduit, entre autres, à la découverte des formes allotropiques de l'hydrogène.

Erwin Schrödinger (Autriche) : Prix Nobel de physique 1933. (avec Paul Dirac (Royaume-Uni)) Pour la découverte de nouvelles formes productives de la théorie atomique.

Paul Dirac (Royaume-Uni) : Prix Nobel de physique 1933. (avec Erwin Schrödinger (Autriche)) Pour la découverte de nouvelles formes productives de la théorie atomique.

Wolfgang Pauli (Autriche) : Prix Nobel de physique 1945. Pour la découverte du principe d'exclusion, aussi dénommé principe de Pauli.

Max Born (Royaume-Uni): Prix Nobel de physique 1954. (avec Walther Bothe (Allemagne de l'Ouest)) Pour sa recherche fondamentale en mécanique quantique, en particulier pour son interprétation statistique de la fonction d'onde.

Richard Feynman (États-Unis) : Prix Nobel de physique 1965. (avec Sin-Itiro Tomonaga (Japon) et Julian Schwinger (États-Unis)) Pour leurs travaux fondamentaux sur l'électrodynamique quantique, avec des conséquences profondes sur la physique des particules élémentaires.

Murray Gell-Mann (États-Unis) : Prix Nobel de physique 1969. Pour ses contributions et découvertes sur la classification des particules élémentaires et de leurs interactions.

Sheldon Lee Glashow (États-Unis) : Prix Nobel de physique 1979. (avec Abdus Salam (Pakistan) et Steven Weinberg (États-Unis)) Pour leurs contributions à la théorie unifiée des interactions faible et électromagnétique entre particules élémentaires, comprenant, entre autres, la prédiction du courant neutre faible.

Steven Weinberg (États-Unis) : Prix Nobel de physique 1979. (avec Sheldon Lee Glashow (États-Unis) et Abdus Salam (Pakistan)) Pour leurs contributions à la théorie unifiée des interactions faible et électromagnétique entre particules élémentaires, comprenant, entre autres, la prédiction du courant neutre faible.

Serge Haroche (France) : Prix Nobel de physique 2012. (avec David Wineland (États-Unis)) Pour les méthodes expérimentales révolutionnaires qui ont permis la mesure et la manipulation de systèmes quantiques individuels.

François Englert (Belgique) : Prix Nobel de physique 2013. (avec Peter Higgs (Royaume-Uni)) Pour la découverte théorique d'un mécanisme contribuant à notre compréhension de l'origine de la masse des particules subatomiques, et qui a été confirmée récemment grâce à la découverte de la particule fondamentale prédite [le boson de Higgs] par les expériences ATLAS et CMS menées au Large Hadron Collider du CERN

Alain Aspect (France) : Prix Nobel de physique 2022. (avec John Clauser (États-Unis) et Anton Zeilinger (Autriche)) Pour leurs expériences avec des photons intriqués, établissant la violation des inégalités de Bell et ouvrant la voie à la science de l'information quantique.