Ce monologue parvient tout de même à décrire avec justesse la grande souffrance de vivre avec les désillusions et la certitude que «rien n'est jamais aussi parfait qu'en imagination».
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A Noël, les jours rallongent d'un pas d'hirondelle, aux Rois d'un pas d'oie, et à la Chandeleur, d'une heure. (p.79)
Il est temps de quitter la maison de ma mère et de laisser les rêves de l'enfance sagement pliés et rangés (p.27)
C'est le temps qui marche sur moi comme sur un tapis de feuilles mortes. (p.115)
Maman dit que c'est en lisant qu'on devient intelligent. (p.142)