En choisissant le Sault-à-la-Biche comme site de la nouvelle église, l’évêque veut sans doute placer les édifices paroissiaux le plus possible au centre du territoire. Il veut aussi, semble-t-il, les soustraire aux vents violents qui soufflent sur le plateau et le balayent de tous côtés ; et l’on sait que le Sault-à-la-Biche, tout comme les fonds du Domaine où était érigée la première église, est à mi-chemin entre la falaise et le niveau des grandes eaux du Saint-Laurent — donc à l’abri des fortes brises.