Nârâyana, celui qui se meut sur les eaux, petit-fils d’Ang Duong, roi du Cambodge, tout pénétré de cette unité et de cette identité, se réfugie à tout jamais dans la jungle, et y mène la plus sainte vie qui soit, en compagnie des bêtes les plus féroces, et protégé par elles, parce qu’elles sont, elles et lui, identiques.
Ce roman est une succession d’apologues, qui eussent plu – est-ce là simple coïncidence ? – au pandit Nârâyana, auteur de L’Itopadésa, ou l’...
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